Jeu coopératif

décisions d'un commun accord, ou bien se comporter de manière individualiste. Le dilemme du prisonnier montre que l'équilibre non coopératif aboutit généralement à une situation inefficace, qui pourrait être améliorée grâce à la coopération. En d'autres termes, si un même jeu statique est répété, les individus adoptent ils des stratégies qui reproduisent à chaque période celles du jeu statique, ou bien la répétition leur permet elle de choisir d'autres stratégies plus efficaces? On peut répondre à ces questions

approche en terme de jeu. En effet, chaque entreprise doit prendre en compte les réactions de concurrence consécutives à ses propres actions. Or, la théorie des jeux étudie la prise de décision dans des situations alliant conflit et coopération, comme c’est précisément le cas en oligopole. On dira qu’il y a jeu dès que les personnes interagissent en respect d’une certaine rationalité. Les jeux de poker suivent des règles, des normes et exigent un certain degré de rationalité. Chaque jeu peut occasionner

Théorie des jeux et oligopoles non-coopératifs I - L’analyse des structures de marché imparfaites - nombre de vendeurs peu élevé - contexte interactif des décisions Cournot : approche en quantités Bertrand : approche en prix Structure de marché imparfaite courante : l’oligopole Objets d’analyse : décisions de prix, de production, et d’investissement dans un environnement de marché A - Idées de base Les décisions de chacun dépendent des décisions des autres et de leurs impacts sur le marché

du jeu: Un jeu se caractérise par des règles du jeu qui définissent le nombre et le rôle des acteurs ainsi que les variables qu’un joueur peut contrôler, par exemple les possibilités de choix, l’information et la communication entre joueurs : * Joueurs ; Actions, stratégies possibles des joueurs et informations disponibles pour choisir ; Déroulement et étape du jeu ; Rétributions et résultats. Les différents types de jeux : On distingue différents types de jeux coopératifs/ non

États-Unis sur la question de l’avortement, en France sur des sujets comme la sécurité ou l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne. Enfin, tous les éléments de la théorie des jeux se retrouvent évidemment dans les jeux tels que les échecs, le jeu de go ou des jeux plus complexes avec plusieurs joueurs comme Diplomacy. ✐ ✐ © 2010 Pearson Education France – Principes de microéconomie – Etienne Wasmer ✐ ✐ ✐ ✐ “doc” (Col. : Wasmer) — 2010/3/29 — 11:15 — page 360 — #372 ✐ 360 ✐ Partie

 PROJET JEUX DE SOCIÉTÉ LANGAGE ET JEU Les jeux de société permettent de développer de nombreuses compétences : Domaine et Compétences travaillées : - Vivre ensemble : Comprendre et s’approprier les règles du groupe ; Apprendre à coopérer ; Respecter le matériel. - Le langage : Echange verbal entre enfants ; Approche du langage d’évocation (pour prévoir qui va gagner, dire ce qu’il faut faire pour gagner, raconter un événement, expliquer et justifier une observation…) et enrichissement

ECON026 – NC9 M. Cincera III. THEORIE DE L’OLIGOPOLE (1ère partie) III.1 Introduction à la théorie des jeux (non-coopératifs) La théorie des jeux tient une place de plus en plus importante dans l’analyse des stratégies d’entreprises ; elle traite des choix d’individus rationnels et des conséquences de leurs interactions et englobe à ce titre de manière implicite les modèles de la théorie néoclassique. La théorie des jeux constitue de cette manière une grille de lecture applicable à

for Dynamic Games, l’un des deux organismes internationaux de promotion de la  théorie des jeux. Décliner tous les types de jeux et les  nombreuses combinaisons possibles  est en soi un défi. D’abord, il y a des jeux  coopératifs, où l’intérêt collectif prime, et  les jeux non coopératifs, où c’est chacun  pour soi. Les jeux peuvent être statiques  ou dynamiques, selon que leurs règles  et conditions changent ou non avec le  temps. Les acteurs peuvent prendre des  décisions à des moments bien déterminés 

prison chacun, faute d’insuffisance d'éléments au dossier. La matrice des gains de ce jeu se présente sous la forme suivante : Le dilemme du prisonnier | Prisonnier 2 | | Ne dénonce pas (NDP) | Dénonce (D) | Prisonnier 1 | Ne dénonce pas (NDP) | (1 an, 1 an) | (5 ans, 0 an) | | Dénonce (D) | (0 an, 5ans) | (3 ans, 3 ans) | Chaque case de la matrice correspond à une issue possible du jeu. Le prisonnier 1 choisit une des deux actions en lignes – ne pas dénoncer (NDP), c’est-à-dire

peu élevé. Jeu vient de la ressemblance formelle entre les problèmes de décision en interaction et ce qui se passe dans les jeux comme le jeu d’échec, le bridge, le poker, diplomacy… Le jeu renvoie dès lors à une situation où ma décision dépend de la décision de l’autre et réciproquement (interaction stratégique), et il est l’équivalent d’une situation de conflit au sens large. Le « jeu » définit en fait un contexte précis d’interaction stratégique, pour définir des solutions (issues du jeu possibles