John Locke La Loi

Thomas d'Aquin, John Locke, Hobbes..). Au 19ème siècle, les auteurs ont douté en raison des variations du droit positif, d'un pays à un autre, d'une époque à une autre, de l'immutabilité et de l'universalité de la règle de droit. Le courant positiviste s'est mis à prendre de l'importance. Les cours de droit civil s'appelait à l'époque les cours de code civil. Demolombe estimé que l'objet du travail et du juriste était exclusivement le droit positif. Il considérait que le droit est la loi civilement obligatoire

politique. La souveraineté : La souveraineté est le droit exclusif d’exercer l’autorité politique sur une zone géographique donnée. Autorité : le gouvernement et l'administration publique sont chargés de faire respecter à tout les citoyens la loi. La loi est la même pour tous. L'autorité s'éxerce sur tout le territoire . L'Etat est la forme la plus élaborée de la vie commune d'une société humaine. Il exerce son pouvoir par le biais du gouvernement. L'Etat désigne aussi l'ensemble des institutions

 II. La loi comme émanation de la volonté générale Contrat social qui permettra de conserver la liberté de chacun. => Rousseau . *Abolir la frontière entre le peuple et le pouvoir ,en faisant en sorte que le pouvoir réside dans l'ensemble du peuple .Chacun participera aux décisions.Ils obéiront à eux meme . L'originalité de la conception de l'oeuvre de Rousseau Rousseau s'est inspiré de John Locke( connu pour ses deux traités sur le gouvernement civil écrit en 1689,il est un anti Hobbes)Chez

source la loi et le pouvoir. La prétention de la royauté absolue à reposer sur un « droit divin » avait façonné la souveraineté séculière à l’image d’un dieu à la fois tout-puissant et législateur de l’univers, c’est-à-dire à l’image du dieu dont la Volonté est loi. La « volonté générale » de Rousseau et de Robespierre est toujours cette « Volonté divine qui n’a besoin que de vouloir pour produire une loi ». Des oeuvres de Cardin le Bret, de Bodin ou de Hobbes, il ressort que la loi vient du

fait plus ou moins l’unanimité dans les démocraties modernes, on note des disparités d’interprétation du principe de séparation des pouvoirs. Le principe théorique de base a été pensé par Montesquieu et avant lui par le théoricien anglais John Locke. Ces deux auteurs pensaient la séparation des pouvoirs comme moyen d’empêcher la tyrannie et l’arbitraire lié au cumul des fonctions d’éditeur (pouvoir législatif) et d’applicateur des lois (pouvoir exécutif) pouvant conduire à l’appropriation

ngrès n’adoptera aucune loi relative l’établissement d’une religion, ou à l’interdiction de son libre exercice » Religion d’État : religion dont se revendique officiellement un étatB) Une religion omniprésenteNeutralité religieuse USA ≠ interdit tte référence à la religion Depuis

Le président des Etats-Unis est-il au dessus de tous les pouvoirs ? John Fitzgerald Kennedy, le 35e président des États-Unis, entré en fonction le 20 janvier 1961 a déclaré que "le Président est un homme disposant de pouvoirs exceptionnels qu’il exerce dans d’exceptionnelles limitations." Traditionnellement, dans la théorie du régime présidentiel, chacun des trois pouvoirs est confié respectivement à trois organes différents. Toutefois, la séparation stricte des pouvoirs n’empêche pas, réciproquement

Le contrôle de constitutionnalité des lois est un mécanisme qui institue une frontière entre l'activité normative du pouvoir parlementaire et le respect des droits fondamentaux des citoyens. Il assure l'application de la loi sans porter atteinte aux libertés des citoyens et garantit le principe de la séparation des pouvoirs qui constitue l'une des conditions pour faire respecter les droits et libertés publiques.

comprendre qu’il y a une certaine nécessité « d’entente » entre les pouvoirs. Il y a donc un certain équilibrage entre les pouvoirs pour que le gouvernement puisse se perfectionner. La séparation des pouvoirs est une théorie qui a été inventée par John Locke au XVIIème siècle puis elle a été reprise par Montesquieu au XIXème siècle. Cela a été théorisé dans le but de limiter le pouvoir illimité du roi, pour Montesquieu cela est conduire le peuple dans un despotisme, ce qu’il critique. Pour lui il faut

cette polarisation du temps: la pensée d'Auguste Comte, sociologue français mi 19ième qui l'instigateur du positivisme. Dans un cours de philosophie positive, il explique que l'ordre est le principe qui explique le développement de l'histoire dont la loi fondamentale s'appuie sur des stades de la civilisation. Il décrit un stade qu'il compare à l'enfance: le stade théologique ou on essaie d'expliquer le monde par une référence transcendante. Puis la jeunesse, qui est la période qui est le stade métaphysique