Jurisprudence Aubert

droit de propriété et leurs limites puis dans un second temps de leurs divergences. I/ LA PROPRIETE ET LE DROIT A L’IMAGE La jurisprudence a d’abord admis que le propriétaire disposait d’un droit exclusif sur l’image de son bien, avant de revenir sur sa position. A/ L’évolution jurisprudentielle du droit à l’image Jusqu’en 1999, rares étaient les jurisprudences relatives à l’image des biens privés, l’essentiel des contentieux portait sur l’image des personnes physiques. La diffusion de l’image

fait des paramètres personnels de l’auteur de la faute. Effectivement le frère du bon père de famille est une personne handicapé mentale. S’agissant alors des personnes majeurs sous l’empire d’un trouble mental, le législateur de 1968 a suivi la jurisprudence : « celui qui a causé un dommage à autrui, alors qu’il est sous l’emprise d’un trouble mental, n’en est pas moins obligé à réparation » : art 414-3 du code civil. Cet article s’applique à tous les faits générateurs c’est-à-dire qu’il s’applique

repose entièrement sur le principe de la légalité. Les sources ne peuvent être que textuelles. Normalement la jurisprudence ne peut pas constituer une source de DPS. Mais il faut nuancer. L’œuvre prétorienne est essentielle en pénal. Elle permet de faire évoluer le contenu des incriminations, interprète les textes et peu à peu créer ses propres notions. Augmentation de la jurisprudence due à la qualité de la rédaction des textes pénaux. Un texte pénal doit être clair et précis. Cette clarté fait

Croisés anglais étant supposés avoir imaginé pour protéger leur patrimoine de le confier à un ami puissant afin que celui-ci le détienne pour le compte de leurs héritiers. Les principaux éléments constitutifs des trusts se sont dégagés grâce à la jurisprudence rendue en équité par des Tribunaux anglais. La justice anglaise est rendue en vertu de la Common Law selon laquelle la personne à qui un bien est transféré en devient propriétaire mais aussi conformément à l'Equity selon laquelle elle ne pourra

l'islam. Toutefois, la jurisprudence édifiée à partir de la coutume a pu parfois aller à l'encontre de la lettre de la sharia, par exemple en ce qui concerne la répudiation: alors que celle-ci prévoit, selon les sunnites, qu'elle doit s'effectuer en trois fois, la jurisprudence a toutefois entériné la répudiation en une seule fois dans l'immense majorité des pays musulmans8. La coutume n'est toutefois pas, en général, considérée comme source de droit (de même pour la jurisprudence, ou 'amal): ce n'est

rapide aux réalités économiques du moment mais aussi aux réalités juridiques. Ce droit a reconnu un bon nombre de contrat qui n'étaient pas réglementés par le législateur, la pratique a crée des contrats ensuite réglementé dans le cadre de la jurisprudence dans un premier temps ( Par ex: le contrat de crédit-bail, le contrat de franchise,...). Néanmoins l'adaptabilité doit tenir compte de la sécurité juridique notamment concernant les transactions c'est pourquoi certains actes en droit commercial

donc en cassation auprès du Conseil d’État. La convention conclue en 1991 qui mettait à disposition les locaux à la société portait-elle sur l'occupation du domaine public communal ? Le Conseil effectue dans cet arrêt un important revirement de jurisprudence au sujet de la notion d'accessoire du domaine public. A de nombreuses reprises ce dernier avait déduit la domanialité publique de locaux de leurs seules situation dans un immeuble appartenant lui même au domaine public. En effet le Conseil fait

mineurs (nouvel article 414 du code civil (modifie art 389-3)). Le décret du 22 décembre 2008 relatif aux actes de gestion du patrimoine des personnes placées en curatelle ou en tutelle. b. Le futur jurisprudentiel • • Il n'y a pas de jurisprudence future. 4) Par rapport aux domaines voisins Domaine propre → Le contrat de bail conclu par un mineur non émancipé est nul et de nul effet et ne peut donc être tacitement reconduit, ni lui être opposé. • La solution serait-elle la même s'il s'agissait

ainsi un contrôle maximum. Cette jurisprudence marque l’aboutissement d’une évolution certaine d’une catégorie de contrôle qui flirte avec le contrôle d’opportunité dans la mesure où le juge examine au-delà des motifs des faits de la décision d’autres considérations. Le risque est alors de voir le juge substituer son appréciation à celle de l’administration. B. le domaine des actes de police Ce contrôle poussé est également présent dans la jurisprudence relative aux actes de police. La

exécutif. La notion de loi se définit par rapport d'une part au contrat et au traité (qui résultent d'une négociation entre égaux (sur le plan du droit)), d'autre part par rapport à d'autres sources de droit : la tradition (us et coutumes), la jurisprudence, les lois fondamentales (constitution, « grande charte », etc.), et les règlements et autres actes écrits du pouvoir exécutif alors que la loi est l'œuvre du pouvoir législatif, souvent incarné par un parlement représentant dupeuple. Dans les pays