Jusnaturalisme

C’est par le biais de la déclaration des Droits de l’Homme. Il existe deux types de pensées vis-à-vis du Droit. La philosophie Naturelle dite « JUSNATURALISME ». Ils se demandent alors pourquoi le droit. Apparemment se serait un droit immanent à toute la société Le positivisme juridique est un courant en théorie du droit qui s'oppose au jusnaturalisme et dit décrire le droit tel qu'il est. Il consiste à rejeter l’idée d’un droit idéal ou naturel, et à affirmer soit que seul le droit positif a

juridiques (constituant, législateur, juge...). Cette opposition entre jusnaturalisme et positivisme, on la retrouve dans les débats sur la supra-constitutionnalité. Le débat entre positivisme et jusnaturalisme semble clos, il n'en demeure pas moins qu'à travers certaines revendications, on voit l'idée que le droit devrait consacrer un certain nombre de choses car ces droits préexisteraient au droit. Le jusnaturalisme a véhiculé la nécessité de limiter le pouvoir civil, de protéger les libertés

à la loi naturelle Le société humaine repose sur la théorie des contrat qui est le fruit de la volonté des hommes, elle en est sa force et sa garantie. Positivisme : Le positivisme juridique est un courant en théorie du droit qui s'oppose au jusnaturalisme et prétend décrire le droit tel qu'il est. Il consiste en le rejet de l’idée d’un droit idéal ou naturel, et affirmation que seul le droit positif a une valeur juridique, et qu’il est donc la seule norme à respecter. Pour Auguste Comte, n’est

reconnue, le fait qu'elle existe comme telle, parce qu'elle a été décidée par une autorité habilitée à produire des règles juridiques. La valeur morale des règles ainsi produites est une tout autre question. La troisième objection enfin, c'est que le jusnaturalisme est une mauvaise théorie idéologique : il produit le résultat inverse au résultat recherché. Il tend à faire croire que l'Etat est soumis au Droit, alors qu'il ne l'est pas, il ne peut pas l'être. Il contribue donc à la tromperie qu'il prétend

droit. Si cela arrive on peut placer la limite entre le juste et le bon et le mal, ainsi qu’entre le légal et l’illégale. Est-ce un acte artificiel qui pose les hommes qui pose les règles ? Problème : opposition entre le positivisme et le jusnaturalisme. Il existe des règles qui sont transcendantes au-dessus de celles fixés par les hommes. Lors d’une dictature, il y a déplacement de cette limite. Exemple : le Nazisme qui a invoqué le droit naturel alors qu’il s’agissait de règles artificielles

par les représentants du peuple, par le biais de la volonté générale. Le droit positif est le droit tel que le veut le peuple, si face à cette loi on oppose la loi naturelle selon Villey, on passe pour un réactionnaire, un anti-démocrate. Le jusnaturalisme est largement dominé par le positivisme en France. Danièle Lochak dans un article La doctrine sous Vichy ou les mésaventures du positivisme paru en 1989, met en accusation le positivisme : les juristes ne se sont pas distingués par leur esprit

qui doit avoir pour but de créer une société internationale. Il doit évoluer sans cesse pour permettre aux individus d’avoir des relations entre eux au-delà des relations interétatiques. Grotius, juriste hollandais, plus grand représentant du jusnaturalisme : les Etats sont souverains mais ils doivent accepter qu’il puisse exister une société internationale qui régit le droit internationale. Pour créer cette société, cela n’exige ni morale ni religion (laïcisation du droit international) mais de

et juristes ont souvent succombé à la tentation de l'explication absolue, par les relations de pouvoir, par les relations d'échange et par les relations de partage et l'on ne peut nier l'ampleur des vues que le marxisme, le structuralisme ou le jusnaturalisme présentent de la société en général et du droit en particulier » (M. Alliot, 1983, p. 10). Pour ce représentant de l'anthropologie juridique, toutes ces théories portent l'empreinte de la culture occidentale. Aucune ne peut prétendre ainsi à l'universalité

sociologique : l’approche de Léon Duguit Il est lui aussi dualiste, mais dans son rapport entre l’état et le droit, le droit précède l’état. Cette dualité conduira Duguit à défendre la thèse de l’hétéro-limitation : elle vaudra un procès en jusnaturalisme, réhabilitation de la thèse sur laquelle le droit est naturel, il précède toute volonté étatique. Duguit va répondre à cette critique en se défendant de cette accusation jusnaturaliste, et en retournant le procès en métaphysique que lui font ces

avec la liberté de participer à la fonction publique, cependant d'un point de vue sociable, il est moins libre de choisir un conjoint). On appelle cela, Holisme. 2. Les sociétés dites « moderne » : la montée en puissance d’un nouvel individu (« jusnaturalisme » : noyau des droits fondamentaux attachés à la nature/personne humaine) La liberté des modernes, c’est la liberté de ceux qui recherchent le bonheur. C’est la liberté conçue à partir d’une conception nouvelle qui n’est plus le grand tout mais