Juste La Fin Du Monde Tragédie

 Plan dissertation réécritures de Shakespeare “Dans ce monde où le meurtre s’impose à vous en tant que destin, contrainte et nécessité interne, un seul rêve existe: vous rêver du meurtre qui sera sortie du cauchemar et libération.” Jan Kott, Shakespeare notre contemporain. Analyse du sujet: Selon Kott, chez Shakespeare (dans ses tragédies) le meurtre est une fatalité contre laquelle les personnages n'ont aucun pouvoir. Pourtant ces derniers considèrent le meurtre comme leur unique

décors sont aussi importants et souvent très utilisés. Le public Aspect rituel On peut relever de nombreux automatismes, voir rituels théâtraux réalisés par les spectateurs. Ils applaudissent au début et à la fin de chaque scènes. Ils ne parlent pas et se permettent juste de rire à certains moments mais cela dépend des genres et registres des pièces. Aspect magique Une certaine magie s’opère sur le public lorsqu’une pièce commence : ils sont subjugués, presque « hypnotisés ». Les

et leur accès à tous9 ; bâtissent des amphithéâtres, lieux de rencontre autant que de représentation ; etc. Dans ce cadre, chaque citoyen devient responsable du niveau culturel de sa cité. C’est pourquoi les problèmes posés dans les tragédies ne concernent pas juste le protagoniste, mais la cité toute entière. C’est un théâtre politique qui se développe, questionnant ce qu’implique la citoyenneté : il pose des questions théologiques, philosophiques, métaphysiques, civiques, etc. Cette fonction « qui

aujourd’hui qui sont toutes des tragédies. Ajax Antigone Les Trachiniennes Œdipe roi Electre Philoctète 2. La tragédie grecque et la cité C’était le genre roi à l’époque. Age d’or de la tragédie au 5ème siècle avant JC à Athènes (siècle de PERICLES : -480 victoire de Salamine > -404 défaite face à Sparte). C’est la période de l’apogée grecque, cité hégémonique. Il y a un rapport entre la puissance politique et la puissance artistique. Athènes fait de la tragédie un signe de sa puissance.

SCÈNE 3 PARTIE 2– JEAN-LUC LAGARCEINTRODUCTION- JLL est à la fois comédien, directeur de troupe et dramaturge. -En 1988, il est atteint du sida et il écrit Juste la fin du monde en 1990. Malgré sa mort prématurée à l’âge de 38 ans, JLL laisse derrière lui plusieurs pièces qui rencontrerons un succès posthume. -Son œuvre interroge la difficulté des relations familiales. Les retrouvailles entre Louis et sa famille donnent lieu à des échanges tendus. L’annonce

moment de son agonie, le personnage voit en trois ou quatre "visions" les quelques raisons profondes qui expliquent in fine ce qui l’aura fait agir et vivre. Il y assiste comme un spectateur étonné qu’un sens vienne expliquer sa vie, ainsi, à l’extrême fin. Alors ce sens révélé procède comme d’un don grâcieux : connaître par quoi et pour-quoi (tenants et aboutissants en effet se rejoignent à ce moment, comme les mains de Madeleine sur la balustrade, puisqu’il ne fut question – et toujours – que de cela

Oran, Algérie, dans années 1940. Histoire : Histoire découpée en V parties comme une tragédie classique. Partie I : Rats meurent en masse, premiers morts (le concierge Michel notamment) d’une maladie mystérieuse. Nb de morts augmentent : autorités décident, sous pression de Rieux, de fermer la ville. Tentative de suicide de Cottard, sauvé par employé de la mairie, Grand, qui a beaucoup de mal à trouver le mot juste, et tente d’écrire un livre. Cottard n’a pas la conscience tranquille, terrorisé par

La comédie et la tragédie au XVIIe siècle I Les règles de la tragédie classique au XVIIe siècle A La vraisemblance et la bienséance 1 La vraisemblance Vraisemblance La vraisemblance désigne la cohérence qu'une pièce de théâtre doit avoir. Elle sert à renforcer la réalité d'une pièce : le spectateur doit pouvoir la considérer comme vraie. Cela ne veut pas dire que les faits sont véridiques, mais qu'ils sont crédibles. Dans Bérénice de Jean Racine, la vraisemblance veut que Titus n'épouse pas Bérénice

une représentation? 3) A quoi ressemblent les costumes et les décors? II. Du baroque au classicisme 1) Une période de transition 2) La règle des trois unités 3) Bienséance et vraisemblance III. Comédie et tragédie 1) Progression de la comédie 2) Perfection de la tragédie 3) Synthèse des points communs et différences entre les deux genres I. La vie théâtrale au XVIIème siècle 1) Où va-t-on voir une pièce de théâtre? A Paris, des salles permanentes accueillent les spectateurs

viendrai vous prendre, pour mener au temple où ce fils doit m'attendre, et là vous me verrez, soumis ou furieux, vous couronnez, Madame, ou le perdre à vos yeux » ou alors, il n'hésite pas à dire à cette même personne : « Je n'épargnerai rien dans ma juste colère : Le fils me répondra des mépris de la mère » (car Pyrrhus détient le fils de Andromaque). Il y a également d'autres violences morales dans ce livre, dont par exemple, celle d'Hermione, se promettant à Oreste uniquement si celui-ci tue Pyrrhus