Juste Milieu Aristote

cite grec on dirait que c un territoire et une population cest l expressiion de la volonté des individus de se placer sous une loi commune pour vivre en communauté. Ca necessiter un systeme de gouvernement qu Aristote nomme la Politeia En definitif la cite ne se definit pas tant par le milieu urbain, le terrtoire ni par un peuplement homogene mais par la soumission d un groupe a une loi commune. la collectivite est alors au premier ainsi ne parle t on jamais de la citee d athene mais des atheniens

une unité -> concept moderne de corps social; Il faut tout de même des lois selon P.: "La cité juste est une cité ou le mal est seulement endormi de sorte que l’organisation poltq doit protéger la cité de ce mal", le mal naît de l'insatisfaction, de l’insatisfaction naît la tristesse puis la colère (et la colère mène au côté obscur de la Force !)-> il faut prévenir ce mal, création d'une constitution juste (Ordre Jedi). Il propose donc de faire une tripartition de la justice qui correspond à la tripartie

même pierre et la laisse tomber dans de l’eau qui se ralentit également mais moins rapidement que dans la mélasse, il la laisse tomber dans l’air et se rend compte qu’elle se ralentit beaucoup moins que dans l’eau. Il se demande donc si la densité du milieu était nulle, si on faisait le vide, qu’elle serait la vitesse de la pierre ? Comme il n’a pas la possibilité de créer du vide, il doit résonner : c’est se que l’on appelle une expérience de pensée, c’est-à-dire supposer qu’une loi est vraie, et observer

exercer un attrait, un charme ou provoquer de l’intérêt. La question de savoir si l’œuvre d’art doit plaire nous renvoie donc à la notion de plaisir procuré par une œuvre humaine : mais que faut-il entendre au juste par plaire, s’agit-il de procurer un plaisir et de quel plaisir au juste ? Si nous écartons les arts qui visent à la production d’une chose utile en vue de satisfaire un besoin matériel ou si nous ne retenons en eux que ce qui va au-delà de l’utile (le design, par exemple réalise une

passion est trop dangereuse. Dans l'Antiquité, les stoïciens préconisent de fuir le danger de l'hubris (la « démesure »). Aristote défend aussi cette idée dans son évocation des passions : il montre qu'à chaque passion correspond deux extrêmes, dont il faut trouver le juste milieu. Par exemple, la lâcheté et l'audace sont deux extrêmes, et l'homme doit en trouver le juste milieu, qui est le courage. 2 Les désirs chez les épicuriens On peut considérer que la bonne maîtrise des désirs ne consiste pas

qu’entretient cette “boîte noire” avec son milieu. Il est entendu que d’après Easton, le système politique n’est pas un fermé, il est au contraire ouvert aux influences des autres systèmes qui l’entourent et qui résident avec lui dans la société. Ce milieu est de deux sortes : d’un côté le milieu intra-sociétal qui est composé des autres systèmes sociaux. Ce sont le système écologique, le système biologique, le système psychologique. De l’autre côté il existe un milieu extra-sociétal qui comprend les systèmes

satiriques. Le dessinateur appuie les traits de caractère qu'il veut montrer dans sa caricature. La caricature vient probablement des civilisations grecques et romaines. La Grèce a eu un caricaturiste, Pauson, dont le nom est cité par Aristophane et Aristote. On a pu retrouver des caricaturistes peintres sur des vases et sur des murailles de Pompéi ou encore les ruines et les papyrus de l'ancienne Egypte. De grands peintres de la renaissance définissent la caricature de «  Grotesque », elles sont donc

constamment la manière dont l’homme fonctionne et qu’est ce qui peut l’améliorer => c’est le bien, faire du bien. Le bien souverain, est lié à la question de la liberté, mais la question de la liberté est forcément lié à la justice car il doit y avoir une juste répartition de la liberté. Cette manière de chercher le bien existe en philosophie mais aussi en psychanalyse. Par exemple Freud développe le concept de libido qui signifie pulsion de l’homme (de vie et de mort). A défaut de vouloir soigner quelque

définissent pas tous le bonheur comme les épicuriens, tous ne situent pas le bonheur au même endroit... pour les stoïciens c’est l’ascétisme : ne désirer que les choses qui dépendent de nous, cad rien sauf notre jugement. Pour aristote, c’est l’action vertueuse (le juste milieu entre deux extrèmes). Le point commun entre tous les eudémonistes c’est qu’ils considèrent que morale et bonheur sont compatibles). II- “Suis et pratique l’enseignement ... de même que la vie heureuse ne se sépare point de ces

qui accèdera à la liberté véritable. Le sujet 15 © rue des écoles, 2011-2012. Reproduction, diffusion et communication interdites sans accord préalable de rue des écoles. MOTS CLÉS L’essentiel du cours Un sujet pas à pas Aristote Aristote affirme qu’il n’y a pas de connaissance de soi sans amitié. Nul ne peut se connaître lui-même par lui-même ; la connaissance de soi passe par celle de l’autre, l’ami – mon semblable – jouant pour moi un rôle de miroir. L’amitié lie les