Justice distributive

de la justice Le droit est extrêmement lié à la notion de la justice, la balance symbole de recherche de l’équilibre. La justice désigne l’institution. Mais au delà de l’institution c’est l’exigence d’équité, de raison, en fonction de ce à quoi chacun peut légitimement prétendre. Elle est définie comme un sentiment, une vertu, une valeur, un bienfait. On dit que le droit serait « l’art du bien et du juste » (juriste romain). Pour Aristote il existerait deux types de justice : La justice distributive :

actuel. 1 2 Site internet du Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde Rapport du Jubilee Research Programme “Debt relief as if justice mattered” 3 William Easterly, « The Elusive Quest for Growth » 4 Site internet de l’Organisation des Nations Unies 3 2. Présentation de l’égalitarisme libéral 2.1. Principes de base La théorie de la justice introduite par John Rawls est basée sur une idée très simple: compenser l’individu pour sa malchance. Certains ont la chance de naître riches

Philo. Chapitre 10: la justice et le droit. LA JUSTICE on vient au monde dans un monde injuste, on s'en plaind ou on en tire avantage. Constat irréductible. On essaye de se consoler en pensant à l'haut delà ( enfer pour les méchants et paradis pour les gentils ). 3 justices humaines: - la justice commutative: on peut changer le sujet, tout le monde à la mm part: 2x4 = 4x2. Chaque personne à la mm voix: 1 pers = 1 vote. Chacun à la mm chance. On essaye de rendre le monde inégalitaire

réflexion sur la justice occupe une place prépondérante dans la pensée contemporaine depuis une vingtaine d'armées. Ce regain d'intérêt s'explique par la renaissance et le renouvellement des interrogations concernant les droits de l'homme en général et l'État de droit en particulier. La question de la justice tendrait à se confondre aujourd'hui avec celle du bien commun, conçu comme respect mutuel des personnes, équilibra des libertés et solidarité sociale. Mais l'élucidation de l'idée de justice conçue dans

lequel on est. Selon lui dans le domaine politique et dans les échanges économiques, ce qu’il appelle la justice directive:  ce qui est juste c’est l’égalité arithmétique : un citoyen = un citoyen ou un acheteur = un acheteur, il faut que l’équilibre soit rétabli par la peine égale au dommage subi, que tout criminel tombe sous le coup de la loi. Par contre, dans le domaine de la justice distributive, lorsqu’il s’agit de décider des charges, des récompenses, des avantages ( et aujourd’hui des aides sociales)

détentrice de l'autorité souveraine » s'affrontent pour le pouvoir n permanence, protège leur territoire avec la violence et convoite celui de l'autre. Les notions de justice et d'injustice ont-elles une place dans un tel état? Une des conséquences de la guerre du chacun contre chacun est qu'il ne peut y avoir d'injustice ou de justice car les notions de bon, de mauvais n'ont pas de sens dans cette société. Car encore une fois il n'y a pas de lois et donc pas de repère pour le bon et le mauvais.

Dissertation en droit privé Le latin souligne un lien entre le droit et la justice. Comme si le droit faisait partie même de la justice, puisque Ius ou Jus signifie droit en latin et Justicia signifie justice. De part leur étymologie, une imbrication de ces deux notions semble bien présente. Il faut s’interroger sur la définition de ces deux termes pour comprendre un peut plus cette imbrication. Si l’on part du principe que le droit est un ensemble de lois qui définit les permissions et les interdictions

Sujet: Droit et justice Contrairement à nos voisins les anglais, les principes de droit et justice sont bien distincts dans le monde juridique. Or, notre société a souvent tendance a confondre les notions de droit et de justice; cet amalgame peut s'expliquer par nos origines latines. En latin le terme « jus » définit « ce qui est droit ou juste ». Selon le vocabulaire juridique de l'association Henri Capitant, les deux notions ne sont pas à confondre. Ainsi, le droit désigne un ensemble de

la crainte pour leur propre sécurité conduit bon nombre d’individus à vouloir que toute atteinte à leur sécurité soit réprimée avec une sévérité disproportionnée aux préjudices subis. Alors que le rôle de la justice est d’infliger des peines équitables, ces hommes réclament non pas la justice mais la vengeance. · L’égoïsme intervient également dans les sentiments qui attachent les individus les uns aux autres. Ils s’attachent bien plus spontanément à ceux avec qui ils partagent les mêmes intérêts

s’interroger sur la confiance qu’ils peuvent se faire ; sur la liberté qu’ils peuvent s’accorder et sur les règles de  justice qu’ils doivent s’imposer  pour que la vie en société soit plus avantageuse qu’elle ne risque de leur porter préjudice? ® Le problème que soulève cette question est donc le suivant : Si les hommes ne vivaient en société que par pur égoïsme individuel, la recherche de la justice et de la liberté auraient-elles pu apparaître ? Et même si l’égoïsme est à l’origine de ces valeurs, ne peut-on