Justice distributive

délinquance criminelle. Outre une édition originale de 1810 détenue à la Réserve des livres rares, la BnF possède plusieurs éditions conformes A la Révolution, en 1791, se met en place une première législation codifiée qui tranche avec l’arbitraire de la justice royale et les abus de l’Ancien Régime. Tout en gardant certains principes révolutionnaires, la codification impériale de 1810 se propose d’assurer l’unité et la pérennité de l’Empire par un retour partiel aux institutions autoritaires de l’absolutisme

: nuisances, charité, enrichissement sans cause...). Beaucoup de règles de droit pénal sont aussi morales : l'article 226-1 NCP défend de tuer, l'article222-23 NCP défend de violer. “ Je n’entends pas par loi morale je ne sais quel vague idéal de justice, mais cette loi bien précise qui régit les sociétés occidentales modernes et qui est respectée parce qu’elle est imposée par la foi, la raison, la conscience, ou tout simplement suivie par habitude ou par respect humain. ” Josserand: “ de l'esprit

c’est que mnt c’est ancré dans la DDH européenne. Paragraphe 3 : DROIT ET JUSTICE Pour Aristote, la justice a deux sens : Justice commutative et justice distributive. - La Justice commutative : tant à l’égalité mathématique, c’est celle de l’équilibre dans les échanges = chacun doit recevoir une contrepartie qui soit l’équivalent de ce qu’il donne. ( Salariée rémunération de son travail). - La justice distributive : repose sur une égalité non absolue mais proportionnelle, elle a pour but la

juste milieu entre la justice et la sécurité ? Le Procès de Nuremberg de 1945 nous fournit des exemples de criminels de guerre qui ont justifié leurs actes en affirmant avoir agit dans le respect des lois établies dans leur pays, sans se soucier de leur éventuelle immoralité.  Nous nous demanderons si la formule de Radbruch représente un juste milieu entre la justice et la sécurité. Pour cela, nous entendrons la justice comme ce qui est juste. En effet, rendre la justice consiste essentiellement

réglementation des rapports sociaux, de prise en charge de certains services collectifs, etc. » (Rosanvallon, 1981, p.22). En bref, elle cherche à comprendre les aspirations des classes plus pauvres et a un idéal utopique égalitaire, un certain idéal de justice sociale qui peut sembler proche du marxisme tout en acceptant les règles de base du capitalisme. Le néolibéralisme Le néolibéralisme est un prolongement historique du libéralisme classique. C’est une idéologie qui partage plusieurs postulats

qui se pose. L’article 375 du code civil dit : « Si la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger, ou si les conditions de son éducation sont gravement compromises, des mesures d’assistance éducative peuvent être ordonnée par justice ». Une loi du jour de son entrée en vigueur, s’applique et ce jusqu'à ce qu’elle n’est pas était abrogé. Il en est ainsi des règles de droits pénales. Tous les biens que les époux vont acquérir seront commun aux époux. C) La règle de droit

(la justice (securité (secu. Juridique (l’organisation eco et politique (La justice. il y a une identité. Le profane pense que ce qui est juste est juridique et ce qui est juridique et forcément juste. Toutefois la réallité et un eou diff.pas d’identité entre le juste et le juridique 2 arguments : un gd nbre de regles jur ne relevent absoluement pas de la justice ; ce sont des regles techniques qui ont pour but d’organiser la vie en société. Elles sont indifférentes a la justice.

valable uniquement pour une situation déterminée. (« La jurisprudence est une décision qui est devenu une règle » Demander un permis de conduire/ construire : administration accorde 1 permis individuel ) Pas compris ce passage Une décision de justice : la règle générale et impersonnelle interdit le vol (= soustraction frauduleuse de la chose d’autrui et passible de 3 ans d’emprisonnement et 45 milles E d’amende). Si on vole, on est jugé, le juge prend la décision de 3 mois avec sursis et 10 milles

(l’art de conduire la société). Comment réaliser ce bien politique qu’est le juste pour la cité. La République s’ouvre sur une discussion sur la justice. Conception sophistique d’une certaine vision de la justice. Les hommes ne commettent pas l’injustice pour le na spa la subir. C’est pour ne pas être lésé que chacun essaye de ne pas léser autrui. La justice n’est pas un bien en soit. Elle est en bien relativement à autre intérêt ; elle est avantageuse. Commettre l’injustice est pire que la subir. Le

plus fertile ; travaillons le nôtre comme il a travaillé le sien, il nous aidera et nous l’aiderons. Chaque famille cultivant son enclos, nous serons mieux nourris, plus sains, plus paisibles, moins malheureux. Nous tâcherons d’établir une justice distributive qui consolera notre pauvre espèce, et nous vaudrons mieux que les renards et les fouines à qui cet extravagant veut nous faire ressembler.» Ce discours ne serait-il pas plus sensé et plus honnête que celui du fou sauvage qui voulait détruire