Justice Populaire

que ce soit, c'est abdiquer, renoncer à la souveraineté populaire en distribuant des chèques en blanc à des "élus" potentiels. Contrairement à ce que cherche à faire croire la propagande électorale, l'abstention sert à quelque chose : c'est le plus puissant moyen de contestation, et l'abstention est comptabilisée, contrairement aux votes blancs et nuls. Pas de démocratie sans congres populaires et comité populaires, j’exige des congrès populaires partout. Le vote est un leurre pour moi seul la révolution

souveraineté comprend le droit de battre la monnaie, celui de faire les lois et de rendre la justice : ces pouvoirs sont des attributs de la souveraineté (c'est la puissance de l'Etat). Cette souveraineté n'est pas indivisible et l'on peut répartir ces attributs entre plusieurs autorités. Mais ces attributs ne se situent pas tous sur le même plan : le pouvoir législatif domine les autres, les décisions de justice n'étant que l'application de la fonction législative. Si la souveraineté réside dans la fonction

absorbés ou font l’objet d’un contrôle par des établissements mutualistes. Ex : Prise de contrôle du groupe crédit lyonnais (banque commerciale) par le crédit agricole (banque mutualiste). Constitution du groupe NATEXIS (banque populaire) constitué par les banques populaires qui sont des banques mutualistes et qui inclus la BFCE et le crédit national. • Critère géographique • Critère de taille  On assiste en outre à une évolution notable du système et de la fonction bancaire. On assiste

essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément ». Le combat idéologique s'ouvre alors, entre la doctrine de la souveraineté nationale énoncée par Sièyés, et celle de la souveraineté populaire énoncée par Jean-Jacques Rousseau. Cependant la Constitution de 1791, prévoit que la souveraineté «[...]appartient à la Nation, au­cune section du peuple, aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. » Mais alors,peut-on dire que la souveraineté

etat : A) L’acceptation d’une construction juridique : un pouvoir constitutionnalisé L’etat est un pouvoir institutionnalisé uniquement par la volonté des hommes,cité « la ou il n’y a pas de puissance commune il n’y a pas de lois » « la justice et la propriété commence avec la constitution de l’etat B) Une interdépendance social :entre gouvernant et gouverné L’idée de contrat mutuel : le contrat conclu entre les hommes. -l’etat va assurer la sécurité et la propriété de leur biens

sublimé, de masse. On vote au suffrage censitaire c’est-à-dire que seules les personnes qui ont une conscience politique peuvent voter, autrement dit un analphabète ou une personne qui n’a pas d’éducation ne peut pas voter. * Souveraineté populaire : chaque citoyen détient une parcelle de souveraineté, on parle de peuple réel. On vote au suffrage universel autrement dit toute la population âgée de plus de 18 ans a la possibilité de voter. * Souveraineté parlementaire : c’est l’idée que

du peuple devient ainsi un droit imprescriptible. Mais ce principe, qui a l’air d’être démocratique, n’est au fond que le despotisme de tous substitué au despotisme d’un seul. Comme Rousseau le fait supérieur à tout, même aux notions absolues de justice et de morale que nous portons en nous, il devient une espèce d’absolutisme auquel tout doit se subordonner.   On ne tarda pas à tirer les conséquences de ces principes : le peuple, un jour, fit acte d’autorité et proclama les Droits de l’Homme,

distinction est surtout rappelée en France, que l’on peut opposer la démocratie au sens de pouvoir de la collectivité des citoyens en tant que nation (souveraineté nationale) ou pouvoir de la collectivité des citoyens en tant que peuple (souveraineté populaire). I. L’alliance de deux types de démocratie : la démocratie représentative et la démocratie directe. A) Les différents régimes de démocratie La démocratie tolère des différences d’ordre théorique ou pratique. La démocratie peut être directe

I) Un clivage historique entre les 2 notions A) La naissance des deux notions * La souveraineté populaire : * Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) avec l’ouvrage « le contrat social » en 1762. Pour lui la souveraineté appartient à chaque citoyen dans les proportions de leur nombre. « Si il y a 10 000 citoyens chaque citoyens nécessairement a pour sa part la 10000e partie de l’autorité suprême ». * La souveraineté nationale : * Cette conception est consacrée par l’article

DEMOCRATIE REPRESENTATIVE ET DEMOCRATIE PARTICIPATIVE La démocratie représentative, d'essence libérale et bourgeoise, dans laquelle les représentants sont autorisés par l'élection à transformer la volonté populaire en actes de gouvernement, constitue à l'heure actuelle le régime politique le plus communément répandu dans les pays occidentaux. L'une des conséquences qui en résultent est qu'on a pris l'habitude de considérer que démocratie et représentation sont en quelque sorte synonymes