Justice Vengeance

particulière. Par-delà des exigences sociales, l'individu accède à une morale de l'attrait et de l'aspiration. Il retrouve son "moi profond" et l'élan créateur qui le traverse. Son devenir humain s'effectue alors sous le signe de la morale ouverte. La justice, selon qu'elle est vécue dans l'une ou l'autre perspective, est fort différente. Dans la morale close, elle affirme surtout les idées d'égalité et de mesure sur lesquelles elle se fonde finalement. Elle tendra à appliquer aux relations entre personnes

l'anarchie. Hobbes dit, "il vaut mieux une loi injuste que le désordre" une loi injuste pousse à des actes injustes, mais sans loi, les gens ne respecterait plus de règles du jeu et chacun se ferait sa propre notion de la justice, et la loi du plus fort l'emporterai, la notion de vengeance aussi, et la notion d'acte juste ne pourrait plus avoir de critères solides. La loi semble donc indispensable pour déterminer les critères d'un acte juste. Cependant, il y a beaucoup d'actes qui ne sont pas référencés

volonté d’unification et de centralisation du pouvoir monarchique. Le royaume avait du mal à s’organiser juridiquement. En Avril 1454, à Montils-lès-Tours, Charles VII avait pour objectif de rassembler toutes les coutumes du royaume pour rendre une justice plus sûre et pour que le droit coutumier devienne un droit certain, c’est pourquoi il a ordonna la rédaction des coutumes. Mais cette révolution juridique n’était pas arrivée d’un seul coup. La problématique est donc la suivante : Comment s'est

certains cas le vol, l'injustice, le mensonge, la violence, le vengeance, en deux mots les châtiments et la guerre". Le verbe "approuver" dans cette phrase signifie qu'Alain accepte le vol ect... "en certains cas" signifie que le vol, l'injustice ect.. ne sont pas acceptés en toute situation ; cela insinue qu'il seraient acceptés pour un homme étranger à notre société. Les termes "vol", "injustice", "mensonge", "violence", et "vengeance" sont des termes péjoratifs. Pour Alain, toutes ces action sont

besoin de justice est rarement abordée de manière neutre. Que certains réduisent le besoin de justice à l’expression d’une sorte de ressentiment : que d’autres y voient le fondement d’une revendication légitime intéressant tout homme est très significatif. Quels ressorts sont jeu dans les positions des uns et des autres? Le besoin de justice n’exprime t’il que la jalousie des déshérités? Développement de la première partie Il s’agit de se prononcer sur l’origine du besoin de justice mais aussi

La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale, de la vertu ou autres sources prescriptives de comportements. Quoique la justice soit un principe à portée universelle, le juste apparaît pouvoir varier en fonction de facteurs culturels. La justice est un idéal souvent jugé fondamentalement pour la vie sociale et la civilisation. En tant

dont on peut penser qu’elles montraient la réconciliation du dieu et du Titan, des forces olympiennes et des forces prométhéennes, du vieux et du nouveau mondes. Acquis à la sagesse par un long exercice du pouvoir, Zeus instituait le règne de la justice et faisait grâce à Prométhée. Ainsi se trouvait légitimée la révolte du héros, qui n’apparaissait plus attentatoire à l’autorité des dieux. On y a remarqué ce vers : « Le sourire innombrable de la vague marine ». ____________________________________________________________

La justice absolue Absolu, relatif. Divin, humain. Opposition, telle est la relation historiquement reliant la parfaite justice divine ou absolue à la faillible justice humaine. Chose qui rend intriguant le sujet à développer « la justice absolue » . La justice : normes et règles qui consiste à rendre à chacun sa part légitime alors que l’absolu signifie l’absence de toutes restrictions et de limites. On peut dès lors s’interroger sur la complémentarité des deux notions : justice et absolu. Si

important de tous, la liberté. En véritable avocat, il utilise largement le champ lexical du droit : « droit » (2, 10, 13, 29, 37, 38, 56), « loi » (2), « titre(s) » (30, 33, 56), « justice » (3), « juste droit » (37) ; oppose deux conceptions du droit : droit du plus fort : « droit de guerre », « loi de sang », « atroce justice », « droit du brigand », et « droit des humains ». Messala justifie le droit du plus fort dans sa dernière réplique en montrant qu’il est juste : « Le droit de dominer est son

....... 15 A/ L’essence même de la justice ................................................................... 16 Le rôle de la justice .................................................................................... 16 L’Etat qui ne prend pas les bonnes mesures .............................................. 16 La vengeance est un plat qui se mange froid.............................................. 18 La peine de mort : un châtiment non dépourvu de justice ......................... 19 Les méthodes