Justice Vengeance

prennent leurs source première dans un règlement militaire données aux soldats Francs établies en Gaulle par les Romains au IVe siècle. Ce règlement visait à empêcher les Francs de recourir à leurs traditionnel moyen de justice, la « vengeance personnelle » constituant à se faire justice soi même. La première évolution notable du Droit se fait alors ici : bien qu'en 305 ce règlement était orale, il devient dès le 6e siècle écrit sous le souhait de Clovis, qui le met officiellement en état et le rend

l’attention des destinataires. S’en suis une première étape consacrée au passé fondateur de l’île : tous les temps verbaux sont au passé. Passé, où les règles sont fondées sur la vengeance et sont particulièrement cruelles. La deuxième étape expose les nouvelles règles en vigueur dans l’île, qui ne sont plus fondée sur la vengeance mais sur la raison. 3ème étape : il définit les effets escomptés de la cure. 4ème étape : présence d’une rhétorique péroraison : discours très structuré et fait de Trivelin

la loi". C'est ainsi qu'en matière de justice, la légalité importe plus que la légitimité. La loi, par exemple, protège la propriété privée mais de cette façon garantit l'inégalité des richesses. Or, devant un partage inéquitable, l'homme lésé s'indigne comme l'enfant: "C'est pas juste!". Peut-on dire qu'il existe des lois injustes? La justice a deux sens: ce qui est légal, conforme au droit positif et ce qui assure l'égalité. Ce second sens fait de la justice une vertu et relève de la morale. Les

Chapitre 6 : Justice et droit Introduction La vie sociale ne semble pas aller sans une exigence forte et partagée de justice : les uns dénoncent le mal, le tort qu’ils ont subi et réclament la justice. Les autres dénoncent les inégalités sociales, économiques, politiques dont ils sont les victimes et réclament justice. Mais qu’est-ce que la justice ? La justice procède-t-elle d’un sentiment subjectif, personnel ? Mais cette conception subjective et donc relativiste de la justice ne risque-t-elle

peines des détenus ainsi que favoriser la réinsertion sociale des individus après leur incarcération. En ce qu’il s’agit de l’exécution des sentences pénales, le service pénitentiaire a le rôle de la prise en charge des personnes condamnées par la justice. Les mesures leur étant infligées peuvent être prononcées avant ou après leur jugement et son réalisées soit en milieu fermé, pour ce qu’il s’agit des prisons, ou soit dans un milieu dit « ouvert », avec ou sans enfermement établi préalablement.

babylonien. Règle qui touche de nombreux aspects de la société. Le Droit dans un premier temps va mettre un terme à la vengeance. Dynastie des Atrides qui va disparaître à cause de la vengeance. Cette justice, basée sur la violence, n’est pas une fin. Il faut donc une justice où la punition est définie par quelqu’un d’impartial et ainsi mettre un terme à la logique sans fin de la vengeance. D’où l’importance sacrée que les Grecs vont accorder à la loi. La culture grecque classique, c’est la sacralisation

vivre. Un argument contestable : On peut comprendre qu’un parent souhaite la mort de l’assassin de son enfant. Mais la justice n’est pas la vengeance. Pour être juste, la justice ne peut être rendue par les victimes. L’exécution d’un criminel ne rend pas la vie à l’être aimé. Nombreux sont les parents de victimes qui ont témoigné du caractère destructeur du sentiment de vengeance et du fait que la mort du criminel ne les avaient pas apaisés. À l’inverse d’autres n’ont trouvé la paix que dans le pardon

Les premiers signes de la loi du talion sont trouvés dans le Code de Hammurabi, en 1730 avant notre ère, dans le royaume de Babylone. Cette loi permet ainsi d’éviter que les personnes ne fassent justice elles-mêmes et introduit un début d’ordre dans la société en ce qui concerne le traitement des crimes. Le Code d’Hammourabi se présente sous la forme d’une liste de plus de deux cents jurisprudences et nombre d’entre elles sont empreintes de cette juste réciprocité du crime et de la peine. Comme dans

TITRE 1ER : De l’Antiquité à la chute de l’empire romain Chapitre 1er : La justice criminelle dans l’Orient ancien « L’Orient nous apporte les premières tentatives connues de codification pénale. Ce sont quelques textes d’origine royale, coutumière, qui sont parvenues jusqu’à nous plus ou moins bien datés et souvent fragmentaires ». Les plus anciens témoignages proviennent du Proche-Orient et du droit suméro-babyloniens ou mésopotamiens. Les premières traces écrites dateraient du 3ème millénaire

désir de justice, dans un désir de vengeance. Son aveuglement est non pas fait de l’absence de lumière mais d’un excès de lumière. C’est parce qu’elle est passionnée qu’elle devient contraire à l’exigence de la justice. Egisthe parle moins en tant que personne qu’en tant que roi, voire d’adulte. Il essaie de résonner Electre en essayant de la faire comprendre ce que c’est l’exigence de la justice. II) Politique / Morale : Explorons les rapports entre l’exigence morale de justice et la responsabilité