Kant Culpabilité Morale

présent => pas besoin de sacrement et d’institution. Kant(1724-1804) Contexte : réflexion sur le communisme ❖ La perception de Kant => Perception du réel Mieux connaître le bonheur et … Pouvoir dépasser sa subjectivité. De plus, cette perception, qui doit associer le noumène et le phénomène, a pour but, lorsque ces deux derniers sont indissociables, d'établir des lois métaphysiques surtout concernant le bonheur. Pour Kant, chaque objet a deux faces : - La face phénoménale =>

confronte aujourd’hui l’accélération du progrès scientifique, « progrès » devenu lourd de terribles menaces. Selon Jonas, un tel projet ne peut être mené à bien qu’en rompant précisément avec l’idéal du Progrès, comme avec toutes les formes d’utopie morale, sociale ou historique. Il ne s’agit plus de savoir quel avenir nous voulons, mais de savoir si nous voulons tout simplement avoir un avenir. Mieux, l’extension démesurée de notre puissance nous rend responsables, ici et maintenant, de toute l’humanité

soutenue dans la plupart des cadres religieux, au contraire : même Œdipe revendique la responsabilité de ses actes. Idem pour le « libre-arbitre » 2. Pas souhaitable non plus car reviendrait peut-être à se dédouaner de toute action voire de toute morale, si responsable de rien [éventuellement 3. Pas sûr enfin que cette idée de forces surnaturelles agissant sur nous soit très vraisemblable, dans une optique athée, voir Camus]. [Conclusion] Par conséquent, responsabilité de nos actions, malgré l’idée

Éthique (du grec ethos, « coutume », « usage », « caractère »), principes ou critères d’évaluation de la conduite humaine, parfois appelés mœurs (latin mores) et, par extension, étude de tels principes. Le terme latin ethica désigne la philosophie morale, qui relève des sciences sociales, par opposition aux sciences exactes (mathématiques, logique) et aux sciences empiriques (chimie, physique). Axée sur le concept de responsabilité, l’éthique s’inscrit dans l’histoire des idées. La philosophie grecque

celui qui y est soumis, elle s'impose à chaque membre du corps social. Selon Kant, là est toute la différence entre la régle de droit et la règle morale. Cette dernière est l'ensemble de règles admises par la conscience individuelle, et si la règle de droit est extérieure, la règle morale est, elle, interne. Elle est le produit de la conscience de l'individu, il se l'impose à lui-même. Notre droit ainsi que notre morale actuels sont largement inspirés des valeurs judéo-chrétiennes. L'Antiquité &

Confessions (livres I et II) - Leibniz Les essais de Théodicée §20-25 et §404-417 - Rousseau Les Confessions (livres I à IV sinon p.48, 165, 178-180, 199 (édition Flammarion) - Kant La critique de la faculté de juger (§46 à 49); Les religions dans les limites de la simple raison - Nietzsche La généalogie de la morale - Finkielkraut La sagesse de l’amour (chap 5 : l’épreuve du prochain) Shakespeare Othello ; Richard III Le mal est-il une réalité qui est familière au commun des mortels, ou

l’expérience sensible. *hors, le démarche scientifique doit lier expérience et raison. B/ Le criticisme de Kant. *questions métaphysiques fondamentales: dieu existe-il? Sommes-nous libre? Y a-t-il un commencement et une fin du monde? L’âme est-elle immortelle? => pour Kant ces question sont un besoin de la raison. *la métaphysique n’est pas une sciences, les réponses sont pas connaissables. *Kant cherche à établir les limites de la raison. Pour lui il va falloir admettre que la connaissance des obj

Différencier la déontologie l’éthique et la morale : I – Comment différencier : éthique, morale et déontologie 1) Déontologie Définition : Déontologie : c’est un ensemble de règles dont se donne une profession à travers une organisation professionnelle qui devient l’instant d’élaboration de mise en œuvre de surveillance et d’application de ces règles Code de déontologie médicale, l’ordre des médecins→ l’organisme ; des capacités de sanction par l’instance interne e l’ordre des médecins

et le Bon Sens, Oppenheimer retrace l’histoire des découvertes capitales du XXe siècle et s’interroge sur les responsabilités et le rôle des scientifiques dans le monde moderne. | ouvrir l'encadré | Le terme latin ethica désigne la philosophie morale, qui relève des sciences sociales, par opposition aux sciences exactes (mathématiques, logique) et aux sciences empiriques (chimie, physique). Axée sur le concept de responsabilité, l’éthique s’inscrit dans l’histoire des idées. La philosophie grecque

à son universalisation. Analyser une question éthique en rapport à l’universalisation revient à se demander : Est-ce que je veux que tous les humains agissent comme je vais le faire? Si la réponse à cette question est positive, alors l’action est morale et devrait être posée. Si la réponse à cette question est négative, elle est immorale et ne devrait pas être posée pour une des trois raisons suivantes : (L’universalisation de ladite action rendrait son exécution impossible (L’universalisation