Kant La Fin Justifie Les Moyens

La fin du XXe siècle au contraire semblait redonner vie aux philosophies de l’histoire. Après l’effondrement de l’Union Soviétique, Francis Fukuyama reprend le thème de « la fin de l’histoire », et croit voir s’ouvrir une nouvelle ère, celle du triomphe de la démocratie et de l’économie de marché. Autour du développement de l’internet, de nouvelles utopies s’inventent. Si nous voulons éviter les déplorations du type « c’est la fin de … », la fin de l’homme, la fin de la culture, la fin de ceci

système judiciaire n’est pas purement rétributif c’est parce que l’on considère qu’un criminel porte non seulement atteinte à la victime mais également à la société et à ses intérêts. Cependant selon la théorie utilitariste, seule l’utilité peut justifier un châtiment, et le système pénal doit avoir pour fonction de dissuader les criminels de commettre des crimes. Si le principe de rétribution des peines est valide, il n’y a aucune raison d’abolir la peine capitale, dans la même mesure où la justice

la violence. Contrairement à l’idée qui se pense par un effort de liberté, une force se mesure. Contrairement à l’idée qui régule, la violence ne régule rien, elle brise ou détruit. Si l’idée permet de juger, d’évaluer, de justifier dans une certaine mesure, la force ne justifie rien car la force ne fait pas le droit. Ces essais de définition nous conduisent à relativiser l’opposition des deux notions. En effet, selon Pascal, « La justice sans la force est contredite, parce qu’il y a toujours des

au del des sens discipline qui tudie lme et Dieu La raison est-elle capable de se prononcer Peut-on faire confiance en la raison Celui qui na pas confiance en la raison, cest le sceptique. Mais, il fait quand mme confiance sa raison pour justifier son doute --incohrence Ces arguments honorent la raison implicitement. Il devrait se taire. Or le silence signifie quil rpond linjonction de la raison qui lui dit de se taire vu quil doute. Il ne faut droger aux principes de contradictions. Le

sujet. Ces deux notions n’ont pas ici le même statut : l’une est subordonnée à l’autre : la violence est mise en question, est à évaluer, doit passer devant le tribunal de la raison selon la formule de Kant. Analyse conceptuelle première ( à continuer tout au long du devoir car elle est un des moyens de répondre à la question ): La violence : notion à interroger; première conceptualisation : ordre de l’action; ce qui détruit, sépare ce qui était lié, relié; puissance de destruction; stérile ? nécessaire

d'art? (Art) Qu'est-ce que la littérature? De Jean-Paul Sartre : Le langage poétique (Art) En quoi le sentiment esthétique se distingue-t-il du sentiment religieux? (Art et religion) Peut-on etre indifférent a la beauté ? Qu'est ce que le génie chez Kant? Quels sont les rapports entre imagination et règles dans l'art? (Art) Peut-on dire qu'une oeuvre d'art ne veut rien dire? Peut-on démontrer qu'une oeuvre d'art est belle ? (Art) Quel est le but d'une oeuvre d'art ? Les oeuvres d'art nous enseignent-elles

progrès technique et le progrès moral : -L'un permet-il l'autre ? Où sont-ils indifférentiables l'un de l'autre ? -Qu'est-ce qui les permet tout les deux ? cadre référentiel. -Sur quoi agissent-ils tout les deux ? cadre évolutif. -Quelle est leur fin ? >> En gros on a à nouveau deux éléments : "le progrès humain" et "le progrès technique". Sujet du message: Re: Le progrès de l'humanité se réduit-il au progrès techniq Répondre en citant Tout cela me semble un peu à côté du sujet. En voulant

Saint Thomas d’Aquin. 34. « Veritas est adequatio rei et intellectus » Somme Théologique, saint Thomas d’Aquin. 35. « Rien n’est dans l’esprit qui n’est d’abord été dans le sens » Locke. 36. « Le jugement est représentation de représentation » Kant, Critique de la raison pure. 37. « La raison est une putain » Luther. 38. « C’est à savoir, de cela seul, que la volonté étant beaucoup plus ample et plus étendue que l’entendement, je ne la contiens pas dans les mêmes limites, mais que je l’étends

produit par une source originelle universelle et intelligente (nommée Dieu). Peu importe toutes les explications scientifiques qui peuvent être apportées à chaque détail de notre environnement, il est globalement impossible d'imaginer un début et une fin à l'espace, au temps et à la matière qui forment ensemble l'univers, car chaque chose appelle toujours une origine et une suite, qui elles-mêmes vont encore appeler une autre origine et une autre suite, etc.... Le paradoxe de la Cause première ne peut

part celle de Platon qui, dans « La République », pensait qu'un État ne pouvait reposer que sur une société juste, qui devait reposer sur la sagesse, le courage, la justice, et le fait de pouvoir tempérer ses passions. Cela fut d'ailleurs repris par Kant qui, en déclarant : « l'être humain est un animal qui a besoin d'un maître », pensait que l'Homme avait besoin d'une autorité pour reconnaître la morale. De cette façon, politique et morale agiraient tous les deux dans le but de faire régner le bien