Kant La Fin Justifie Les Moyens

Table des matières Introduction……………………………………………………………………….2 1. Première approche des concepts de guerre et de paix………………………….3 2. Origines et inspirations de la théorie de la paix perpétuelle de Kant…………..4 2.1 Kant, le père du projet de paix kantien ?................................................4 2.2 De l’Union à l’Association….…………………………………………6 2.3. Une vision de la paix en plein essor…………………………………..7 3. La solution kantienne…………………………………………………………...9 3.1. La paix dans

pas..............................................................................19 IV. Liberté et morale................................................................................................................21 A. Tu dois donc tu peux (Kant).....................................................................................................21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre)...........................................................................21 C. La liberté : un

meurent pas pour obéir à une consigne étrangère. S'ils le font c'est par conviction, par un choix intime, irrémédiable, personnel. RÉGIS DEBRAY, Déclaration devant le conseil de guerre de Camiri. Sartre n'a jamais donné la Morale annoncée à la fin de L'Êtr.e et le Néant. Cependant, si son œuvre a exercé et exerce toujours une emprise non démentie sur un large public, c'est essentiellement par la dimension pratique que promeut, explicitement ou implicitement, son discours : ses idées sont un centre

raison o 2.1 Chez Kant o 2.2 Chez Kierkegaard  2.2.1 Le paradoxe de la foi  2.2.2 Le rôle de la raison dans la foi chez Kierkegaard o 2.3 Chez Francis Jeanson : la foi d'un incroyant o 2.4 La foi chez Derrida • 3 La Raison • 4 Raison et foi o 4.1 La raison opposée à la foi dans Jean Barois de Roger Martin du Gard o 4.2 La raison distincte de la foi o 4.3 L'Autre de la raison o 4.4 Le rationnel et le raisonnable  4.4.1 Habermas et la raison pratique de Kant  4.4.2 Deux types

Dans l'allégorie de la caverne Platon introduit le mouvement de libération du prisonnier par une formule étonnante : « Qu'on détache un de ces prisonniers, qu'on le force à se dresser... » Et Rousseau justifie dans Du contrat social l'usage de la force publique pour obtenir l'obéissance du citoyen à la loi républicaine par cette célèbre affirmation : « ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre » (Livre 1 ch.7) Il y a là un paradoxe, car il nous semble que

création des vérités éternelles, Dieu est libre de créer celle-ci. Le sceptique va rester dans son attitude chercheuse toute sa vie, alors que le doute cartésien est heuristique # doute aporétique des sceptiques. (Aporie = ce qui est sans limite, sans fin, sans conclusion). Chez Descartes, on doute pour ne plus jamais avoir à douter. C’est un doute opératoire qui vise une certitude c’est-à-dire l’absence de doutes. C’est une aventure intellectuelle que l’on fait une fois dans sa vie. Je vise l’absence

pouvons dire que la volonté s’oppose au désir spontané par son caractère réfléchi. Le but n’y est en effet pas simplement envisagé à travers l’image de la satisfaction, mais il est confronté à la réalité dans laquelle il doit s’inscrire, rattaché aux moyens qui doivent permettre de l’atteindre, comparé aux possibilités d’agir qu’on pourrait lui préférer. Il n’est donc pas de volonté sans pensée, sans concepts, sans raison. L’homme serait-il donc enclin naturellement vers le bien ? Les stoïciens définissent

d’autres Lumières… © 1997 Normand Lacharité Dépôt légal: 2 e trimestre 1997. Ouvrage reproduit et relié par les Services de reprographie de l’Université du Québec à Montréal. Avant-propos À trois reprises, j’ai donné le cours Phi-4013 Kant — c’est un cours régulier de 45 h, donné en une session — à des étudiants du baccalauréat en philosophie de l’Université du Québec à Montréal. Le présent ouvrage reproduit les notes progressivement élaborées au cours de cet enseignement, ainsi que

valent, aune ne mérite le nom de morale. * Ce sont des mœurs passagères. * Une valeur est morale que si elle s’impose à tous La morale pour s’imposer ne peut être que la même pour tous. * C’est ce qui a justifié l’inquisition, les missions d’évangélisation. * Ce qui justifiait leur comportement est le fait que la morale doit s’imposer à tous et qu’il est justifiable d’anéantir les persistances * En acceptant la morale, on

provient de la spécificité du plaisir esthétique. Dans le domaine de la connaissance, pas de souci d'objectivité, notre imagination est bridée par notre entendement. Dans l'expérience esthétique au contraire, il existe un "libre jeu des facultés " (Kant) puisque notre imagination ne subit aucune contrainte. Il y a même une harmonie entre nos faculté (imagination, sensibilité, entendement) qui engendre un plaisir provenant du sentiment d'unité. Cette liaison entre nos facultés conduit à distinguer