Kant La Fin Justifie Les Moyens

notre vie, est d'être heureux. Comme l'écrit Aristote, nous ne désirons pas seulement vivre, c'est-à-dire satisfaire nos besoins élémentaires mais nous souhaitons vivre bien, être heureux. On assiste cependant à un paradoxe entre moyen et fin, chacun consent au bonheur comme fin mais pas aux voix menant à ce bonheur, et cela vient de son caractère intrinsèque qui, pour être défini simplement ici, est un état de satisfaction durable et complet contrairement au plaisir qui lui est instantané (pourtant plaisir

2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un

comprendre ce que Breuer a nommé la « talking cure » (thérapie par la parole), qui est à l’origine de la psychanalyse : c’est en parlant avec Anna O., ainsi qu’en la faisant participer à des séances d’hypnose, que Josef Breuer est parvenu à mettre fin aux crises dont elle était victime. Auteurs : Platon Pensée Platon s’est très fréquemment inspiré du « Connais-toi toi-même », soit pour évaluer l’utilité des autres activités ou connaissances par rapport à ce que nous sommes, soit pour évaluer la

est rationnelle mais en même temps naturelle au sens où elle est rationnelle. La raison cosmique est le modèle de la raison et de la matière. Pour le corps politique, c’est différent. La cité, il faut bien la gouverner pour qu’elle soit conforme à sa fin. Mais le corps politique n’a pas besoin d’être ordonné mais qu’on le fasse exister. Prononcer la parole, accomplir l’acte qui fait être une chose. Le corps politique, parce qu’il est artificiel, il faut un acte qui le fasse exister, qui le fasse tenir

animal politique » c’est à dire qu’il est fait pour vivre en société. Selon lui, l’homme n’est vraiment lui même qu’au sein de la cité ou de la société où il peut développer ses facultés morales et que toute cité est un fait de nature. Ainsi, la fin de l’homme est parmi les hommes. De plus, l’existence politique et la sociabilité sont naturelles. Au contraire, Hobbes affirme que l’homme n’est pas un animal politique et qu’il n’est pas ne avec une disposition naturelle à la société mais qui est

tissu social ou se greffe avec succès la théorie individualiste. Cependant, l’intervention de l’Etat ne peut mettre fin a la théorie individualiste. Mais, l’Etat, comme par nature limite constamment les libertés individuelles. Les fondements de cette ingérence sont déjà posés dans la DDHC. Ex: Art 1 de la DDHC: « utilité commune justificatrice des distinctions sociales » è Cela justifie les distinctions sociales Il est aussi fait mention dans la DDHC d’ « actions nuisibles a la société »  ces actions

question : la souveraineté, c’est-à-dire la domination effective d’un homme ou d’un groupe d’individus et qui procède du droit, est-elle légitime ? Autrement dit, et pour amorcer le problème d‘une téléologie de cette maîtrise : si nous admettons que la fin dernière de l’homme est le bonheur, a-t-il effectivement besoin de maîtres pour la réaliser ? Répondre à ces questions supposera d’abord de juger, à l’aune d’une lecture attentive du Gorgias et de la République, de la pertinence de la distinction classique

Kant : Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolite Introduction : * De « quel que soit le concept » «  Des dispositions (..) » L’Homme = être raisonnable ayant « une volonté libre » cad comportement déterminés comme n’importe quel autre phénomène de la nature ( passionnelle + raisonnable ) * De « Ainsi, par exemple » « assez peu » : Un ordre et une régularité d’ensemble dans le déroulement des actions humaines qui leur échappent. * De «  étant donné que les Hommes

commence le traité de La Vie Heureuse de Sénèque. Telle est en effet la finalité naturelle de l'homme, la fin à laquelle toute autre fin est subordonnée. « Le bonheur est toujours désirable en soi-même, il ne l'est jamais en vue d'une autre chose » dit Aristote[2] ou encore « Tout ce que nous choisissons nous le choisissons en fonction d'une autre chose, à l'exception du bonheur qui est une fin en soi[3]. » Le désir d'être heureux est universel, il est l'expression de notre nature. Accablés par les

son appartenance à une communauté (familiale, religieuse). Le premier apprentissage du tout petit enfant, c'est la reconnaissance de lui-même par le moyen de son nom, en se différenciant de ses petits camarades. Mais une étape décisive de l'individualisation est franchie lorsque le petit d'homme est capable de parler en son propre nom et dire « je » (Kant, Anthropologie d'un point de vue pragmatique, § 1). Le processus d'apprentissage est donc double : l'usage des pronoms personnels dans la langue suppose