Krugman

crise immobilière * La crise financière et économique 7.16 Les causes profondes de la crise * Les déséquilibres macroéconomiques * Les dysfonctionnements microéconomiques * Le rôle de la titrisation * L’analyse de Paul Krugman (2009) 7.17 Les plans des autorités à court terme 7. Les perspectives de réforme du système financier 8.18 Les perspectives de réforme du système financier 8.19 La réforme des ratios prudentiels 8.20 La

«néo-classiques», pour lesquels l’État doit se prémunir de toute ambition d’augmenter la demande, sont moins médiatiques que d’autres prix Nobel d’économie militants de la relance keynésienne, comme Joseph Stiglitz, auteur de quelques best-sellers, et Paul Krugman, qui tient une chronique dans le New York Times. Mais dans le monde de la recherche, ils pèsent. Il est souvent rappelé que l’université qui détient le plus de Nobel d’économie est celle de Chicago, temple du néo-classicisme. Rien qu’en 2013

firme qui maintient une avance technologique importante sur ses concurrents potentiels peut se retrouver en situation de monopole ; Des barrières légales à l'entrée sur un marché peuvent donner lieu à l'existence de monopoles légaux. Source : Paul Krugman, Microéconomie, éd. De Boeck, 2009.

potentiel d'économies d'échelle. 256 ~ - NOTES 1. A la seule exception des deux branches agricoles du modèle, où la terre est traitée comme un facteur spécifique au secteur. 2. Cette question est passée en revue dans Helpman et Krugman (1985, 1989). On trouvera dans Richardson (1989) un tour d'horizon des ouvrages empiriques sur les ((nouvelles)) théories de l'échange international. Cet auteur conclut que les gains de bien-être sont généralement deux ou trois fois plus élevés

de production. Cette théorie est largement infirmée par les faits et n'explique pas pourquoi les pays semblables en dotations de facteurs de production (France et Allemagne par ex) échangent entre eux les mêmes produits (des autos par ex). - Paul Krugman, récent Prix Nobel, est favorable au LE mais remet en cause les modèles précédents qui présentent des conditions irréalistes (concurrence parfaite entre autres). Le LE ne doit pas être du « laisser-faire » et il faut tenir compte d'une concurrence

la notion des dotations factorielles. Dans un deuxième temps nous entamerons les nouvelles théories du commerce international à travers deux économistes à savoir la théorie du cycle de vie international d‟un produit avancée par R.Vernon et Paul Krugman où il introduit le rôle des économies d‟échelle.  Adam Smith1 et la théorie des avantages absolus : Son raisonnement est basé autour des effets positifs que procure la division internationale du travail, pour lui chaque pays doit se spécialiser

des concessions en réduisant leurs barrières douanières tout en faisant valoir leurs intérêts nationaux pour ne pas libéraliser totalement ou brutalement leur commerce extérieur (c’est une sorte de mercantilisme** éclairé, d’après l’économiste KRUGMAN- prix Nobel de 2008). Au cours des 30 glorieuses, les droits de douane moyens dans ces pays diminuent et les obstacles non tarifaires reculent. A partir des années 70, les tentations protectionnistes se renforcent en raison du ralentissement de

d'emprunter sur les marchés. Résultat: ils doivent satisfaire aux critères et exigences de l'industrie financière et des agences de notation. Et les marchés punissent les Etats dits laxistes par des taux d'intérêts élevés sur leurs emprunts... De Paul Krugman à Joseph Stiglitz, de Jeffrey Sachs à Kenneth Rogoff, beaucoup d'économistes préconisent aussi de voir la BCE devenir beaucoup plus interventionniste... Que la BCE commence déjà par jouer le rôle normal d'une banque centrale, comme dans tous les

répétitives 3Le retrait de l’Etat aggrave la crise sociale III)Lees contradictions qui minent l’économie et la société posent avec insistance la légitimité du modèle 1Un modèle critiqué : à l’échelle nationale (l’amérique que nous voulons : krugman,montée de l’endettement,fiscalité importante)et internationale (antiaméricanisme) 2La montée de modèles substituts annonce la mort de celui-ci (le modèle asiatique, rhénan)

l'Europe (Allemagne, France, et quelques autres) présentent des divergences malgré tout moins marquées que celles qu'on peut trouver avec les pays de la périphérie. Ils savent aussi que les mécanismes d'ajustement sont faibles. Par ailleurs, Paul Krugman souligne alors que l'intégration par le regroupement des industries dans les mêmes régions économiques va avoir tendance à creuser les divergences plus qu'à les combler[2]. Pour Jean Pisani-Ferry, les responsables politiques des pays décident de