Krugman

pour expliquer dans quelle mesure la population et les activités sont inégalement réparties dans l’espace et concentrées en un certain nombre d’agglomération dont le développement est caractérisé par des mécanismes complexes auto-organisateurs (cf. Krugman, 1998), soit pour analyser les interactions entre milieux locaux et réseaux d’innovation (cf.ble courant du GREMI – Groupe de recherche européen sur les milieux innovateurs ; cf. Crevoisier et Camagni, 2000). Bien que de nombreux travaux se poursuivent

protectionnistes permettent de compenser leur manque d’économies d’échelle se cumulant à leur manque d’effet d’expérience ». o Puisque Marshall a montré que les économies d’échelle sont externes à la firme mais internes à la branche  KRUGMAN : préconise  pour que l’activité de en R et D soit réalisée et rentabilisée •L’intervention de l’Etat (sous forme subventions) •La protection (par des mesures protectionnistes) L’échange international : Dégradation

confiance dans le fournisseur). Compétitivité dépendante d’une localisation : certaines régions sont capabes d’atirer davantage de structures productives par leur dotation en facteurs (matériel industriel, MO bon marché ou très qualifiée). Critique de Krugman, Competitiveness a dangerous obsession : les nations ne sont pas des ets. Il faut tenir compte de la dimension des pays et de leur dépendance vis-à-vis des échanges extérieurs. Crs de la pdté au sein du pays influe sur le niv de vie. Ne pas réfléchir

de mobiliser ses avantages initiaux. La spécialisation en Chine est donc dynamique. Les pays sont donc en mesure de fabriquer leurs avantages. Cela reprend les conclusions des nouvelles théories du commerce international (sous l’impulsion de Paul Krugman aux États-Unis) : la compétitivité entraîne les avantages et non l’inverse.

international A - La réalité des échanges internationaux Il apparaît de plus en plus que les théories traditionnelles sont incapables d’expliquer les caractéristiques et l’évolution des échanges actuels. A la suite de nombreux autres auteurs, tel Paul Krugman et Elhaman Helpman mettent l’accent sur les économies d’échelle et la différenciation des produits pour expliquer le développement des échanges intra-branches (commerce intra-branche représente les échange internationaux de produit réalisé à l’intérieur

production et favorise, dans une deuxième étape, les exportations vers l'étranger. Une fois le produit banalisé les producteurs délocalisent la production pour profiter de la main d’œuvre étrangère bon marché. L’exportateur est devenu importateur. Paul Krugman Les théories classiques ne prennent pas en compte le rôle des FMN qui peuvent exercer une concurrence monopolistique ou oligopolistique. La présence des économies d’échelle remet en cause la théorie de l’avantage comparatif. II- Les théories protectionnistes

toutes les économies développées ne s’est pas produit depuis la grande dépression des années 1930… Même si nous sommes encore loin des contractions de PIB et des taux de chômage d’alors, une sourde inquiétude commence à poindre, et comme le dit Paul Krugman dans son dernier livre : « Je ne pense pas que l’on se dirige vers cela, mais j’aimerais en être sûr.1 » La gravité de la situation, la sévérité et la soudaineté de cette crise économique mondiale nous interrogent sur ses ressorts profonds. Nous sommes

est que dans le L-E il y a gagnants et perdants. → Conclusion de P. KRUGMAN : Premier temps est de dire que le L-E a perdu sa « pureté originelle » (celle du temps de Ricardo, d'HOS..), on ne peut pas trouver qu'il génère un gain global. Les conclusions Ricardiennes et les conclusions HO doivent être discutées. Il y a la possibilité que le L-E = perte de b-ê pour un ensemble éco national spécifique. Deuxième temps est que Krugman reste libre-échangiste car le L-E est par nature protectionniste et

ou en contractant des emprunts auprès d’agents extérieurs. Beaucoup d'économistes produisent une littérature quasiment militante dans laquelle ils assimilent, associent la performance de l'économie nationale à une accumulation d'excédent. Pour Krugman, cette affirmation est au mieux une hypothèse de travail : une balance positive est seulement l'expression d'un excédent de l'épargne sur l'investissement. Paradoxe : un déficit courant est-il synonyme de mauvaise santé économique ? Depuis plusieurs

pays semblables échangent des produits substituables. Importante de l’influence des firmes multinationales (1/3 des échanges mondiaux). 2° Les explications des nouvelles théories du commerce International a- Le rôle des économies d’échelle Paul Krugman : prix unitaire ↓ quand quantité ↑ donc les firmes ont plus de compétitivité (exportation, nouveaux marchés, pays étrangers) ex : Coca, IBM, Nokia b- La différenciation des produits Explique l’échange de produits substituables : se démarquer, plus