Kundera Complexité

fois la technologie ainsi que les procédés de production.  la structure peut être influencée par les choix faits en interne. o Il existe une relation entre le système de production et la structure de l’entreprise. Celle-ci dépend du degré de complexité du système de production (à l’unité, de masse, continue). o Elle sera de type bureaucratique mécaniste lorsque le système technique est fortement régulé (travail à la chaine par exemple) o Elle est souvent de type transversal (par projet) lorsque

constructiviste du changement est bien loin d’une mode passagère. C’est en tenant compte de cette réalité que Françoise Kourilsky nous offre cette 5e édition de son livre «Du désir au plaisir de changer». Notre équipe tentera d’exposer sa compréhension de la complexité de l’humain, de ses rapports aux autres, particulièrement en contexte de travail, et les fondements de ses comportements à partir d’exposés vécus dans le cours, d’extraits du livre de Françoise Kourilsky et de nos expériences de vie. Des personnes

systémique de l’entreprise L’émergence de structures transversales Des processus de production » allégés » Une démarche de qualité. Une approche en terme de valeur processus d’innovation et gestion du temps Maitrise de la complexité Les organisations fondées sur les processus. Les processus transversaux A C H A T M A R K T I I N G PROCESSUS Service Client F I N A N F O N C T I O N V E N T E S P R O D U C C L

Simplicité/précarité du fruit « agglomération de sphères » Forme simple de petits ronds « disproportion des pépins à la pulpe » Donc peu de chair à manger « spectacle d’une famille rogue » métaphore Donc pas attirante/appétissante Complexité du fruit « noirs, roses et kakis » Grappe pas uniforme donc pas mûre partout, rarement parfaite « efforts patients » personnification Besoin de temps pour devenir bien mûre « fleur très fragile…défendue » Ronces donc bien protégée

 Concepts de Complexité Aline Birnbaum L’énaction est composée de deux points essentiels : 82 La perception consiste en une action guidée par la perception : le monde environnant est façonné par l’organisme autant qu’il est façonné par lui. Par exemple, l’odorat et la vision sont des manières créatives d’énacter des significations, et non de simples récepteurs sensoriels. 82 Les structures cognitives émergent des

d’opération est faible. Elle présente aussi les limites suivantes : * Elle permet de vérifier ce qu’il y a des comptes, mais ne donne aucune information sur ce qui devrait s’y trouvé. * Elle devient rapidement onéreuse lorsque le nombre et la complexité des opérations croit, et que pour former son jugement l’auditeur doit contrôler un pourcentage significatif de transaction. * Elle est plus efficace si les contrôles sont limités à un petit nombre d’opérations. 2-2. approche par les systèmes

l'on peut avec des modèles analytiques résoudre des problèmes réellement complexes. Pour traiter cette question, l'auteur commence par distinguer ce qu'est la complexité et ce qu’est la complication. Il part de deux postulats : * la simplification du compliqué appliqué au complexe a pour conséquence une aggravation de la complexité. * les projets du système de modélisation ne sont pas donnés : ils se construisent. Ensuite, il définit ce qu'est la modélisation. Il

d’organisation recouvre un aspect structurel (comment est construite la totalité) et un aspect fonctionnel (ce que la structure lui permet de faire). On peut représenter une structure par un organigramme, la fonction par un programme. La complexité. La complexité d’un système tient au moins à trois facteurs : le degré élevé d’organisation ; l’incertitude de son environnement ; la difficulté, sinon l’impossibilité d’identifier tous les éléments et toutes les relations en jeu. D’où l’idée que les lois

des seconds dont on retrouve l’importance dans l’analyse des situations de jeu comme des formes motrices qui se succèdent au cours du XXe siècle. Les savoirs professionnels donnent ainsi sens aux savoirs scientifiques en expurgeant en partie leur complexité théorique et en renvoyant au vécu des enseignants et aux besoins des élèves. Les bulletins, les revues, les textes officiels, les engagements associatifs sont autant d’outils pertinents pour approcher la nature et l’évolution des caractéristiques

professionnelS, syndicats, de la presse économique et commerciale, des clients, partenaires, prescripteurs, distributeurs ou intermédiaires, Les sources se démultiplient dès lors que l’entreprise intervient à l’échelle internationale. Externalisation : la complexité de la veille informationnelle conduit fréquemment les entreprises à « sous-traiter » cette fonction à des prestataires spécialisés. Notion d’intelligence économique : de l’anglais intelligence (ou intell) : renseignement L’intelligence économique