Kundera

paraître ce que nous ne sommes pas." La Rochefoucauld, Réflexions ou Sentences et Maximes morales. "La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme." Voltaire. "Le souci de sa propre image, voilà l'incorrigible immaturité de l'homme." Milan Kundera, L'immortalité. "Peu importe le succès, il s’agit d’être grand, non de le paraître." Romain Rolland. "On n'immobilise pas la pensée humaine, il faut la nourrir et bien la nourrir ; faute de quoi elle se nourrit de fiel." Daniel Desbiens.

Au contraire, il s’agit d’offrir au lecteur la possibilité d’identification qui lui permettra de tirer du roman une leçon sur le sens de sa vie. Et à ce titre, la question de la fin d’un roman est primordiale. Pour citer l’écrivain tchèque Milan Kundera, « l’art du roman » est de fabriquer, à partir de quelques idiosyncrasies et de détails infimes répercutés dans l’infini des consciences, « l’épiphanie du banal ». La fin du roman est souvent une double mort. En effet elle présente la « mort » du

poésie français Dossier de français La poésie Du 16eme au 20eme siècle Réaliser par Nguizani Bonnaldine 1ère Es3 kundera Sommaire : Textes du 16ème siècle : -Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage -J'aime la solitude et me rend solitaire -Justifications Textes du 17ème siècle : -Rien n'est beau que le vrai -Laissez couler,mes yeux, laissez couler vos pleurs -Justifications Textes du 18ème siècle : -Nuit de printemps -Romance -Justifications Textes

qui donne bonne note de ce qu’il convient de faire à ses étudiants), et à la fois une certaine humilité de sa part : il ne conserve d’ailleurs pas le côté solennel et quelque peu pompeux du traité de Quintilien ; il ne s’agit plus de cela. Milan Kundera dans son Art du Roman, a reprit cette forme très accessible d’essai sur l’art : celle d’un homme d’expérience, ayant beaucoup d’années de pratique derrière lui, ayant accumulé de solides connaissances, qui nous parle du contact personnel qu’il a avec

d’obligations morales. Dans le cas inverse, le Marquis de Sade aurait-il pu écrire, en toute impunité, les histoires des sœurs antagonistes Justine et Juliette, et ce, sans subir aussitôt l’autodafé ? « La morale du roman, c’est son amoralité », écrit Kundera dans L’Art du Roman. Ce sont précisément cette absence de morale, cette liberté dans la forme (à l’inverse de la poésie et du théâtre, genres fort codifiés) qui ont permis au genre romanesque de s’épanouir et de connaître de multiples variations.

vert M. Duras, Un barrage contre le Pacifique H. Fast, Mémoires d’un rouge V. Gheorghia, La 25è heure, A.Huxley, Le Meilleur des mondes,(Une société idéale, unie sous le règne de la consommation et de la science) H. Koestler, Le Zéro et l’infini, M. Kundera, La Plaisanterie T. Le Carré, L’Espion qui venait du froid A. London, L’Aveu, A.Miller, Les Sorcières de Salem, R.V.Pilhes, Les démons de la cour de Rohan (Les dérives du gauchisme des annhées 1970 (Les dérives du gauchisme des années 1970) R

Alcool, Guillaume ApollinaireGuillaume Apollinaire né en 1880 à Rome en Italie est l'un des poètes majeurs de son époque, en France et dans le monde. C'est le précurseur du surréalisme et de la poésie moderne. En étudiant son œuvre, Milan Kundera dit" Le lyrisme est une ivresse et l'homme s'enivre pour se confondre plus facilement avec le monde". C'est bien l'idée d'Apollinaire dans son recueil “alcool” rassemblant les poèmes écrits tout au cours de sa vie et publié en 1913 .Alcool traite à travers

toujours à une esquisse. Mais même "esquisse" n'est pas le mot juste, car une esquisse est toujours l'ébauche de quelque chose, la préparation d'un tableau, tandis que l'esquisse qu'est notre vie est une esquisse de rien, une ébauche sans tableau. Milan Kundera Conclusion : Nous pouvons donc en conclure que, certes avant Descartes, la conscience n’est pas ignorée. De Socrate, qui fait sien l’oracle de Delphes, la conscience apparaît comme la condition nécessaire et préalable de toute recherche de sens

«C’est la fête !» n° 2546) Giasson Jocelyne, Les textes littéraires à l’école, Édition Gaëtan Morin, 2000. Gracq Julien, En lisant, en écrivant, José Corti, 1989. Jouve Vincent, L’effet-personnage dans le roman, PUF, 1998. (Collection «Écriture») Kundera Milan, L’Art du roman, Gallimard, 1995. (Collection «C’est la fête !» n° 2702) Novarina Valère, Devant la parole. POL, Paris, 1999. Pennac Daniel, Comme un roman, Gallimard, 1992. (Collection «Blanche») Poslaniec Christian, Vous avez dit « littérature

tout entier est plein du désir de s'exprimer. De parler…Je voudrais exprimer ma vie, mes sentiments qui sont, je le sais, absolument originaux, mais quand je m'assieds devant une feuille de papier, brusquement je ne sais plus quoi écrire." Milan KUNDERA " Le livre du rire et de l'oubli " Gallimard, Folio, 1985 (P.143 - 144) EN GUISE D’INTRODUCTION Cela fait longtemps que je voulais faire part aux collègues enseignants, toutes catégories confondues, d’une expérience pédagogique que je mène avec mes