L Amour Est Une Illusion Platon

corps). • Platon dans le Phèdre: Il est connu comme Descartes pour avoir professer le dualisme (=l'âme et le corps sont deux substances hétérogènes et sans rapport). Dans le Phèdre Socrate ouvre deux voies à l'anthropologie TEXTE 20 : - Monisme matérialiste: étudier l'homme en tant qu'il est un animal avec ses caractéristiques propres. LA VOIE DU MULTIPLE - LA VOIE DE L'UNITÉ PAR LE HAUT : le spiritualisme. On assimile l'âme humaine à un esprit divin (apparenté à Dieu) → Platon n'a pas

consisté à délimiter le sujet. J’ai opté pour une présentation du “terreau intellectuel” dans lequel s’enracine la naissance de la philosophie occidentale marquée par l’émergence de la pensée socratique ainsi que par ses héritiers les plus directs, Platon et Aristote, eux-mêmes à la source des deux grands courants de pensée qui vont influencer directement la tradition philosophique jusqu’à la fin du moyen âge pour le moins. Il resterait bien entendu à traiter entre autre des courants de pensée qui

de la fin des illusions, de l’idée que l’on se créait de la vérité. Lorsque l’idée de la vérité que l’on avait, était loin de la vérité vraie telle que l’on nous a dit l’individu peut réagir plus ou moins bien ; cela dépend des conséquences psychologiques de la nouvelle. Ainsi n’avons-nous pas du mal à accepter la vérité car elle nous blesse, ou blesse autrui ? Ne faut-il pas pour accepter la vérité suivre une révolution psychologique, passe par le rejet des préjugés ou des illusions que l’individu

LE LANGAGE 1) Le langage et les choses : La structure du langage révèle la structure de la réalité (Platon, Aristote). Ainsi, si nous possédons un mot unique qui s’applique à plusieurs choses singulières (ex : « beau »), c’est qu’il existe une idée (pour Platon, une idée est un être réel) à laquelle participent toutes ces choses. Certains mots, les substantifs, désignent quelque chose lorsqu’ils sont proférés seul (ex : « Aristote »), d’autres, les adjectifs, verbes.. non (ex : « grand »)

Vie, qui se cache derrière le masque de l’Art. Il lui faut alors abandonner toute prétention à décrire le monde, et saisir la Vie en tant qu’elle imite l’Art, projeter à partir de soi la beauté du monde. La mimesis d’Aristote et de Platon est bel et bien une illusion : si nous voyons de la beauté dans les œuvres se voulant réalistes, celle-ci provient de l’artiste, non de la chose elle-même. La chose, en soi, n’est jamais belle, elle ne le devient que sous le regard de l’artiste. Ce serait

de neige », « monument », « je hais le mouvement » C. Revendication d’une beauté superlative Caractère idéal : comparaison «  comme un rêve » Contre-rejet « éternel » Allusion à Vénus (amour, beauté) Deux fores superlatives «  les plus fiers monuments » et « toutes choses plus belle » Orgueil ouvertement affiché «  mes grandes attitudes » Supériorité par rapport au poète car elle est insaisissable II. Quête de la beauté  énigme A. Caractéristiques

mots ne sont pas connus de ces primitifs : meurtres, jalousie. Ne serait-ce pas nous les sauvage ? XVIème : La Pléiade Le sonnet Italien (Pétrarque) est repris en France. On a également l’apparition de lyrisme : expression des sentiments (amour tout comme la haine) emphases (Ô vénérée...) Ponctuation très expressive ( !, ?) Phrases courtes et cadencées Musicalité dans les sonorités, assonance, allitération. La Nature devient le miroir de la sensibilité

du bonheur (ataraxie), qu'il conçoit comme une absence de troubles. Si seule la douleur est positive, le plaisir serait alors simplement l'état dans lequel on ne souffre pas (ex : plaisir de ne plus subir la douleur de ces chaînes dans le Phédon de Platon, qui ne défend pas cependant une conception négative du plaisir). 1) Schopenhauer : négativité du plaisir Selon lui, nous prenons conscience de ce qui est plaisant seulement quand on en est séparé. La chance et le plaisir (santé, jeunesse) apparaissent

de désir, c’est dire qu’avec le désir se joue quelque chose d’essentiel pour l’homme. En quel sens ? Tout ce que je suis ne m’est pas « essentiel ». Une anecdote veut que Platon ait un jour défini l’homme « animal à deux pieds sans plumes ». Diogène aurait apporté un poulet plumé et déclaré : « voilà l’homme selon Platon ». Platon aurait alors corrigé : « … et dont les membres inférieurs comportent cinq doigts ». La précision est inutile. Rien ici ne désigne ce qui est essentiel à l’homme. Qu’est-ce

commun et de préjugés au sein de la société. Il est parfois terrifiant de constater à quel point notre conscience du réel elle-même est bâtie sur des faits mensongers et sur l’illusion. De plus, la connaissance de notre propre capacité à inventer une illusion qui peut passer pour réalité nous confère une impression de puissance et de liberté. Mais dans le même temps, nous privons autrui, sans qu’il s’en aperçoive, de sa liberté et de sa faculté de juger des choses, et donc de sa raison. Si notre désir