L Angoisse Chez Sartre

c’est le titre sous lequel George de Porto-Riche a réuni son œuvre dramatique. - analyse des exigences de la passion et leurs conséquences fatales Ce théâtre inclue le théâtre « brutal » de Henri Bernstein => mêle les intérêts d’amour et d’argent chez des pers a l’âme basse : * « La rafle » 1905 *« la griffe » 1906. • théâtre de comédie : - courant, reprise de diverses traditions connues : comédies de caractère (Tristan Bernard => un des maîtres de l’humour) -la poésie de mœurs de George

porte-parole quand il déclare, en 1950 : « Saint-John Perse réinfuse à nos mythes, enfouis mais toujours présents dans nos profondeurs, un sang neuf en les situant dans un courant de pensée identique à celui qui les fit naître, et qui apparaît encore vivant chez certains hommes dont l’existence est contemporaine de la nôtre, mais que nous ne comprenons plus. » Le « nous » collectif est ainsi opposé à la singularité de « certains hommes », dont le poète Saint-John Perse est donné comme figure emblématique :

première section du recueil (pièces 65-85 de l'édition de 1861). Quatre d'entre eux (75- 78) sont intitulés Spleen; La Cloche fêlée les précède immédiatement. 52 Il est inutile d'épiloguer une fois encore sur une définition du spleen baudelairien: angoisse plus profonde que le mal romantique, détresse plus torturante et essentiellement métaphysique, nostalgie d'une âme déchue, exilée irrémédiablement, sans espoir de libération: puisque c'est ''le Diable qui tient les fils qui nous gouvernent~ Il semble

Saint-Pétersbourg avec sa mère et son nouveau compagnon (Nicolas Boretzki). L'année suivante, le père de Nathalie est contraint d'émigrer à Paris à cause de ses opinions politiques. En février 1909, Nathalie quitte Saint-Pétersbourg pour venir habiter chez son père à Paris. Elle y restera et grandira avec Véra, la deuxième femme de son père. En août, elle assiste à la naissance d'Héléne, sa demi-soeur. Elle fait ensuite des études d'anglais et d'histoire à Oxford, de sociologie à Berlin, et de droit

répondre à l’interrogation sur la possibilité que leur rapport à la littérature soit le même, suivant qu’il s’agit du professeur de lycée/d’un universitaire/ du critique dramatique/ de la presse écrite ou parlée/ de l’essayiste amateur/ ou de J-P Sartre. On distingue, depuis 1930, trois formes de critiques : La Critique Journalistique ; La Critique Universitaire ; La Critique d’Auteur à laquelle l’on substitue La Critique Scolaire (qui est à la fois professionnelle et de vulgarisation)

égal à Dieu. Provient de « godasse, godillot »  rapport avec les chaussures (termes argots)  rapport avec Estragon. Ces deux personnages attendent, et pendant ce temps s’occupent. Cette pièce correspond, selon certains existentialistes comme Sartre ou Camus, à une prise de conscience pessimiste de l’existence. Selon eux, la vie repose sur un non-sens, que l’existence humaine est absurde et que le bonheur n’est qu’une illusion. L’Absurdité Le propre de l’absurdité c’est de ne pouvoir être

cours de notre raisonnement qu’il peut être intéressant de « tordre » un peu cette définition de Sartre pour inclure dans le domaine de l’altérité tout ce qui, en moi, n’est pas « Moi » ; « l’Autre en moi » (qu’il vaut mieux désigner par cette formule, pour éviter les amalgames), c’est ce qui en moi excède les limites du « Moi ». B) Autrui et moi 1) Autrui, support de la conscience Pour Sartre, le rapport entre moi et autrui est d’abord un rapport de soi à soi, comme l’indique l’analyse du

continent africain et de l’homme noir. Sa poésie d’incantation et de légende, liée à la musique et à la danse, a su exprimer avec un très grand lyrisme aussi bien l’amour, voire l’érotisme, que la solitude de l’exilé (Chants d’ombre), la sérénité et les angoisses de l’homme parvenu au soir de sa vie (Lettres d’hivernage,Elégies majeures), ou encore la dénonciation de l’Occident (Hosties noires).   Porte-parole d’une culture qui depuis des siècles n’a que le droit de se taire, il a combattu toute sa vie

Narcisse). Une source de ses inquiétudes, de ces préoccupations contre quoi il tente de comble le vide. Il lui manque le sens de son existence. L’homme a conscience de sa destination mais ne possède pas sa signification (la raison d’être, le pourquoi). Chez Kierkegaard, l’existence n’a pas de généralité. « Aucune science ne peut rendre compte de l’existence. » Notre existence ne ressemble à aucune autre. Exister c’est avoir une vie qui ne ressemble à aucune autre (Cf : feuille Don Giovanni). On ne peut

d'aucune chose matérielle. En sorte que ce moi, c'est-à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu'elle est plus aisée à connaître que lui.» Descartes, Discours de la méthode, IV TEXTE 8 Texte de Sartre, 1947 La conscience et le monde sont donnés d'un même coup : extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif à elle. C'est que Husserl voit dans la conscience un fait irréductible qu'aucune image physique ne peut rendre