L Apport Monétariste

Keynes avait contribué à discréditer suite à la crise des années 1930 : la théorie quantitative. Avec une inflation à deux chiffres, la monnaie était de nouveau regardée sous l’angle de la quantité. Il reviendra à Milton Friedman et au courant monétariste de réhabiliter cette théorie vieille de plus de deux siècles, une théorie qui met la monnaie en quarantaine de l’économie. En effet, les économistes classiques nous proposent d’introduire la monnaie lorsque toute la construction représentant la

prêteur en ressort. Les differents types d'action face a la crise Kindleberger présente différentes manières de gérer les crises financières. Nous distinguerons dans un premier temps “la non-intervention” associée généralement à la pensée monétariste, puis dans un second temps, nous nous intéresserons a l' ”'interventionnisme”, où l'on pourrait y regrouper les moyens d'actions pragmatiques qui ont été mis en place depuis l'histoire des crises économiques. A. La non-gestion Laisser le marche

Tout d’abord, Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre. Puis, les keynésiens qui, quant à eux affirment que la monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques. Enfin, les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie. L’ensemble de ces théories monétaires ont pour objectif d’analyser les relations entre le volume (la quantité) de la monnaie en circulation et certaines

Distinguer les principaux éléments de la pensée économique classique. Restitution d’un rapporteur et apports collectifs Activité 3 Travail en ateliers Distinguer les principaux éléments de la pensée économique classique. Restitution des rapporteurs et apports collectifs 0 h 40 0 h 25 0 h 30 Déjeuner Activité 4 0 h 10 Travail en sous-groupes Les néoclassiques Restitution d’un rapporteur et apports collectifs Distinguer les principaux éléments de la pensée économique néoclassique. Activité 5

Après des décennies de croissance économique “miraculeuse” suite à la deuxième guerre mondiale, l’économie japonaise a brusquement vacillé en 1990 et stagne depuis. Pourquoi? Ni les hypothèses monétaristes et keynésiennes ne peuvent l’expliquer. Seule la théorie autrichienne du cycle économique peut le faire. Une vue d’ensemble de l’économie du Japon pour la période 1985-2000 Après les accords du Plaza en septembre 1985, l’appréciation du yen frappe durement le secteur des exportations et la croissance

dysfonctionnement du capitalisme et quels débat a t'elle nourrit? On étudira pour cela dans un premier temps les facteurs internationnaux et les causes conjoncturelles de la crise puis dans un second temps les débat libéraux et de régulation que cette période a apporté. I:LES FACTEURS DE LA CRISE La réussite des 30G vient en partie de l'interdépendance des pays industrialisée entre eux mais aussi avec le T-M. Mais cette source de croissance sera aussi ce qui l'affaiblira 1)Les facteurs Internationnaux L'impact

endogène (résulte d’une plus ou moins grande activité économique) et création lié à la politique monétaire de la banque centrale (création monétaire exogène, elle dépend de la création monétaire de la banque centrale). Selon l’importance que l’on apporte aux mécanismes, on dira que la création monétaire est endogène ou exogène. La monnaie est essentiellement crée par l’activité de crédit. Cela s’analyse par le bilan de la banque. Toute opération va se traduire par une modification de l’actif et du

cadre que le SEBC, Système Européen de Banques Centrales, se fixe comme objectif principal de maintenir dans la zone euro une croissance de l’indice des prix à la consommation « au dessous mais proche de 2 %[1] ». Rappelons que dans une vision monétariste de l’économie, il s’en assure en surveillant les agrégats monétaires, en contrôlant la masse monétaire et en définissant des taux d’intérêt directeurs ; et le pacte de stabilité monétaire (déficit inférieur à 3% du PIB, 60% pour la dette) participe

théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie »: SUJET La préférence pour la liquidité SUJET Les déterminants réels et monétaires de la croissance SUJET Taux d'intérêt et demande de monnaie : le débat et ses enjeux chez Keynes et les monétaristes. SUJET Expliquez et commentez, sous forme de dissertation, le texte suivant dans lequel l'auteur expose les éléments qui constituent l'originalité de la pensée de Keynes. "...une conception de l'économie moderne dans laquelle les phénomènes monétaires

citer : 1. Plan par catégorie : On étudie l’un après l’autre, soit les différents angles d’un problème (Exemple : inflation monétaire, inflation par la demande, etc.), soit les différent points de vue (Exemple : celui des Keynésiens, des monétaristes, etc.) ; 2. Plan argumentatif : Il consiste à comparer les aspects opposés d’une même réalité. D’une part, on dégage le pour, les aspects positifs, les avantages. D’autre part, on envisage le contre, les aspects négatifs, les inconvénients