L Apport Monétariste

circulation : la vitesse-circulation (V) et la vitesse-revenu (1/k). Seule la vitesse-revenu est évaluable. L’analyse Cambridgienne est la première vraie analyse de la demande de monnaie. 3) L’analyse Keynésienne et ses prolongements Le premier apport de Keynes à l’analyse monétaire est qu’il va rentrer dans les détails de ce que sont les motifs de demande de monnaie. Les Cambridgiens ont le mérite d’avoir écrit noir sur blanc que les agents économiques désirent de la monnaie pour elle-même, ce

que toute nouvelle terre mise en exploitation est moins productive que les anciennes déjà exploitées (20 quintaux à l’ha contre 30 quintaux). Les anciens propriétaires terriens bénéficient d’un avantage différentiel ou marginal (30-20 = 10), sans y apporter leur travail. C’est la rente foncière différentielle. • Une économie doit tendre vers un état stationnaire, dans lequel le profit est nul. Seul le progrès technique peut le modifier. • Il envisage la spécialisation d’un pays de telle façon

Ses représentants comportent : Franco Modigliani, Paul Samuelson,Robert Mundell, Robert Solow ou encore Edmond Malinvaud en France. Il convient de ne pas confondre ce courant avec celui des nouveaux keynésiens et les post-keynésiens. Les monétaristes[modifier] Article détaillé : monétarisme. Au début des années 1960, plusieurs économistes menés par Milton Friedman (chef de file de l'école de Chicago) tentent de relancer la théorie quantitative de la monnaie mise à mal par les analyses keynésiennes

intuition alimentée par une solide expérience ». O. Blanchard L’économie de la politique monétaire • Pour les keynesiens : une composante efficace du policy mix pour réaliser un fine tuning macroéconomique : Paul Samuelson • Pour les monétaristes, l’inflation est un phénomène monétaire mais le réglage fin est illusoire :Milton Friedman • Pour les nouveaux classiques, la politique monétaire ne fonctionne pas si elle est routinière : Robert Lucas • Pour les économistes des cycles

Chassagnoux Fiche technique : Les apports originaux de la Nouvelle Économie Classique (NEC) La Nouvelle Économie Classique (NEC) est un courant de pensée regroupant des macroéconomistes (ce qui s’oppose à la logique néoclassique pour qui seule la démarche microéconomique compte) qui est apparue dans les années 1970. Ils renouent avec une logique prékeynesienne de l’économie en prolongeant du courant monétariste. On peut distinguer concernant la NEC trois grands apports théoriques : la théorie des

Tableau récapitulatif des oppositions III. L’ACTUALITE DE KEYNES : UNE ANALYSE TOUJOURS PERTINENTE DU CHOMAGE CONTEMPORAIN ? A. A. ? L’austérité salariale est-elle souhaitable pour assurer le retour au plein-emploi 1. Oui : selon les monétaristes et les théoriciens de l’offre 2. Non : parce qu’elle ne motive pas les salariés dans la théorie du salaire d'efficience B. Les obstacles à la baisse des salaires 1. Le salaire ne varie pas avec la conjoncture du fait d’un contrat implicite entre

rente foncière. Loi des avantages comparatifs => Si un endroit du monde est plus compétitif sur un produit, on le laisse pour se concentrer sur un autre produit ou on sera vraiment compétitif. Say : Ce n’est pas la terre qui apporte la richesse, c’est la production qui donne une richesse au développement du Pays …  Plus il y a d’offres, plus il y a de demandes. (Références journaux économiques … : Les Echos, La Tribune, OFCE, Insee) La main invisible : Trouver l’intérêt

LUCAS introduit cette hypothèse des anticipations rationnelles au début des années soixante-dix ("Expectations and the neutrality of money", Journal of economic theory, 1972). Les grands courants de pensée économique, les nouveaux classiques, les monétaristes et quelques keynésiens ont adopté cette théorie. On peut néanmoins avancer que "La principale conséquence de l'introduction de l'hypothèse des anticipations rationnelles est d'avoir complètement évacué le problème central de l'économie politique

monétaires mises en place dans l'UE 1)Définition La politique monétaire consiste à jouer sur la quantité de monnaie en circulation à l'intérieur d'un pays, c'est-à-dire sur la masse monétaire, pour s'adapter aux besoins de l'économie. Pour les monétaristes comme Milton Friedman, économiste américain et Nobel d'économie 1976, seule la stabilité des prix permettrait la croissance économique. La quantité de masse monétaire a en effet un rôle important: E. Fisher la mit d'ailleurs en relation directe

minimiser les fluctuations de l'activité et ou des prix ? En 1952, les travaux de TINBERGEN débouchent sur un théorème selon lequel la politique économique doit avoir au moins autant d'instruments que d'objectifs indépendants. En 1962, MUNDELL apporte la première réponse à la question de l'affectation. Du point de vue théorique, l'analyse de Mundell répond aux problèmes posés par le traitement dynamique des effets croisés des instruments sur les objectifs. Dans un système à deux instruments et