L Approche Keynésienne

Taux de chômage = populatio non occupéepopulation active * 100 * Population active : comprend toutes les personnes en âge de travailler, en activité ou pas. Taux de chômage = 1 – population occupéepopulation active totale II. Approche statistique : par âge, sexe, diplôme, milieu………….. * Selon le sexe : Taux (masculin ou féminin) = nombre femmes ou hommesen chômagepopulation active * 100 Taux de Chômage trimestriel selon le sexe | Trimestres | Masculin | Féminin |

dans les idées keynésiennes sur le recours aux déficits publics pour stimuler l'économie en période de récession. Selon la conception keynésienne, les gouvernements doivent, dans certains cas, stimuler l'économie par des augmentations des dépenses publiques ou par des diminutions de taxes. Les déficits publics sont donc une solution permettant d'accélérer la reprise économique en cas de crise. En effet, concernant la théorie sur la dette extérieure et la croissance, les keynésiens pensent que l'endettement

l’utilité qu’il procure à celui qui le consomme. ← Concept d’utilité marginale Valeur d’un bien devient subjective, puisqu’elle diffère d’un individu à l’autre, et s’oppose à la valeur travail qui se voulait objective. 2) Une approche microéconomique Raisonnement des néo-classiques : étudier le comportement d’un individu type "homo oeconomicus", et de supposer que la somme des comportements types donnera une explication des phénomènes globaux. Cet individu type est rationnel

considéré. L’origine de la croissance des coûts peut parvenir des détériorations des consommations, des productions, ou être due à une hausse des charges sociales. Le déficit du budget de l’Etat financé par la création monétaire. Dans une autre approche dite « régulationniste » l’inflation apparaît comme liée à une phase de l’histoire du capitalisme, celle de la régulation monopoliste. Dans ce sens l’inflation est un élément de régulation, dans la mesure où elle permet aux entreprises de répercuter

dollar ne change strictement rien à la réalité de ce flux de richesses produites. Payer une marchandise en euro, dollar, surtout avec aujourd’hui des cartes de paiement, ne change non plus rien à la réalité de cette marchandise. Et pourtant… Cette approche dichotomique et quantitativiste est très nette dans la fameuse formule de l’échange utilisée par Ricardo, et, bien sûr, celle très célèbre d’Irving Fischer MV=PT, en 1911. En fait, elle figure déjà bel et bien dans la fameuse « loi des débouchés

Khôlle 1 : Analyse macroéconomique (AMPE)Quels sont les points communs et les différences entre les approches de D.Ricardo et d’Adam Smith ?Adam Smith (1723-1790) : · Philosophe et économiste écossais des Lumières· Père de la science économique moderne· « La Richesse des nations » (1776) = texte fondateur du libéralisme économique· Axes d’étude : · Th de la valeur et des prix· Th de la main invisible (la recherche de l’intérêt personnel conduit, par le marché concurrentiel

site pour profiter des liens hypertexte. Voir en particulier le plan détaillé. Évaluation Mémoire de recherche (50%) Examen oral final (50%). Contenu et objectifs Après un survol méthodologique (leçon 1), nous présenterons d’abord les approches keynésienne et autrichienne de l’analyse macroéconomique (leçons 2-5). Puis nous aborderons en plus grand détail les problèmes de l’emploi, de l’inflation, de la déflation et du rôle de l’Etat (leçons 6-10). Enfin nous discuterons les stratégies macroéconomiques

(Ricardo) est envisagée avec, à terme, l'émergence de l'état stationnaire ( Mill). En s'en tenant à son livre le plus important - la Théorie générale du travail, de l'intérêt et de la monnaie - l'œuvre de Keynes apparaît révolutionnaire par son approche systémique, macro-économique et dynamique des flux. Elle intègre la monnaie dans l'explication de l'activité générale, en recourant à des hypothèses réalistes et en introduisant l'État comme régulateur du système général. Keynes explique que l'économie

Introduction Rappel : les comptes de la Nation et l’équilibre comptable, qui n’est as un équilibre économique (chacun peut-il maximiser ce qu’il souhaite ?). La perception Classique se résume sur l’ajustement des prix flexibles ; alors que la perception Keynésienne, elle, se raisonne sur les prix rigides, en ajustant les quantités (employés,…) I. Le problème de la coordination a. Exemple : vendre un yaourt Pour vendre un yaourt, il faut produire, distribuer, c'est-à-dire, que sont impliqués dans

des théories qui n’ont pas un consensus commun. Ce chapitre a pour objectif de soulever cette ambiguïté en se limitant aux théories qui ont amplement façonné ce cadre à savoir : * L’analyse classique * L’école de Cambridge * L’analyse keynésienne * L’analyse des monétaristes I- L’analyse classique Les classiques développent trois idées relatives à la monnaie : * La monnaie n’est qu’un moyen de transactions ; * La monnaie n’influence pas l’économie réelle ; * La monnaie