L Argumentation Indirecte

argumentatives que l’écrivain peut mettre en œuvre pour emporter l’adhésion, et de s’interroger en conséquence sur les atouts et les faiblesses de ces stratégies. Nous étudierons d’abord la voie de l’argumentation directe, puis celle de l’argumentation indirecte pour enfin nous demander quelle est des deux voies la plus sûre. Quand la littérature pose la question de l’homme, elle s’intéresse à des questions existentielles fondamentales comme la liberté, la mort, la justice, le pouvoir, l’amour… , qui s’inscrivent

faire adhérer à ces notions abstraites. Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être un frein et nous allons donc les étudier pour mieux les comprendre. Nous allons d’abord nous intéresser à la stratégie argumentative direct puis celle indirecte, ce qui pour finir nous conduira à définir la plus efficace. L’argumentation directe est un bon moyen de faire comprendre ses idées aux lecteurs. En effet, elle signifie argumenter de manière explicite, en exposant clairement ses points de vues

Le style indirect permet de prendre davantage de recul et de globaliser la réflexion A-L'argumentation indirecte permet l'adhésion lecteur Le lecteur est friand de divertissement : lorsque cette demande est satisfaire, il est plus probable que son cerveau soit plus réceptif à un argumentaire aussi sérieux soit le sujet. Certains thèmes étant plus délicats que d'autres, le fait d'enrober les événements dans une histoire plaisante permet de ne pas braquer le récepteur du message (Le Petit Chaperon

L’Homme dans les genres de l’argumentation. XVI° Siècle Un nouveau rapport au monde (Humanisme) XVII° Siècle Siècle des moralistes XVIII° Siècle Siècle des Lumières Moyen – Âge, importance religion et dogme religieux. Argumentation appartient à l’Eglise. Plus tard : Obscurantisme 1 450 : Imprimerie – Gutenberg 1ère impression : La Bible, en hébreux 1 492 : Découverte de l’Amérique – C. Colomb. Naissance protestantisme. Remise en cause des repères. L’Homme n’est pas au centre de l’univers

Sujet : « L’apologue, petit récit à visée morale ; est une forme d’argumentation indirecte dont le but des de faire passer un message. Quel est selon vous, L’intérêt d’argumenter à l’aide de petits récits imagés plutôt que de manière directe ? Pour répondre à cette question, vous prendrez appui sur les textes de la séquence 1 et sur des textes à visée argumentative que vous avez étudiés, tels que les apologues. » De plus, comme le message est explicite, le destinataire comprend immédiatement

s'inscrivent dans deux grands styles d'argumentations ; parmi ces 4 textes, on observe 3 apologues marquant une argumentation indirecte (Candide, Les châtiments, Les Membres et l'estomac) cette argumentation est dite implicite car l'auteur détourne ses arguments souvent par une histoire simple et un essais qui développe une argumentation directe ( Rousseau du contrat social) cette argumentation est dite explicite car l'auteur énonce directement et clairement ses arguments. Dans les 3 apologues les auteurs

Et une argumentation peut paraître courte ou longue, formelle ou informelle, lourde ou subtile, sérieuse ou bouffonne, directe ou indirecte. Le but de l'argumentation est soit de convaincre, soit de persuader un adversaire, c'est à dire de modifier son opinion ou son jugement ou de l’inciter à agir. Toutes ces finalités donnent une variété de formes et de tonalités qui rendent chaque argumentation très originale et parfois difficile à discerner. De l’argumentation directe et indirecte, laquelle

 Dissertation : Un texte doit-il chercher à plaire pour que son argumentation soit efficace ? Les textes argumentatifs n'ont qu'un but: avoir un impact sur le lecteur. De l'apologue au dialogue, en passant par l'essai, les auteurs ont de nombreuses formes discursives à leur disposition pour argumenter. Il est donc légitime de s'interroger sur l'efficacité des différentes formes que peut prendre l'argumentation. Pour convaincre, faut-il nécessairement

Le recours à des récits imagés paraît-il une argumentation éfficace ? L’apologue existe depuis la transmission orale d’histoires religieuses ou de mythes de génération en génération. Cette tradition a ensuite été reprise par les auteurs afin de transmettre leurs idées. Pour Jean de La Fontaine, « L’apologue est formé de deux parties dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme ; le corps est la fable, l’âme est la moralité. » Quels sont les avantages et les incovénients de choisir d’illustrer

remarque qu’une seule marque de la première personne : « j’ai essayé » (l.1) ; la voix narrative cède devant celle du procureur, qui développe sa plaidoirie. Cette voix du procureur résonne soit par le biais du discours indirect, soit par le biais du discours direct ou du discours indirect libre. Le narrateur est un simple vecteur de la voix de la justice. Discrète ou forte, la voix du narrateur joue un rôle dans la satire de la justice qui est proposée dans chacun des textes. En effet, dans le