L'École des femmes

personnages qui sont pareils a Harpagon dans L'Avare lorsqu'il perd son argent et se met dans des états pathétiques. Il y a aussi le comique de situation avec tous les quiproquos que Molière arrivait très bien a mettre en place; on peut le voir dans L'Ecole des femmes quand Horace prend pour confident Arnolphe, son rival. Ou encore le comique de mots basés sur un language, certains mots ou expressions qui provoquent le rire. De plus, le theatre a une atmosphere particuliere lorsque le spectateur va y rentrer

Commentaire Composé basé sur les vers 844 à 987 de L'Ecole des Femmes (acte III, scéne 4) Introduction : Introduction : L’École des femmes est jouée en 1662, l'année où Molière épouse Armande Béjart. Cette pièce reçoit un grand succès, mais elle est aussi l'objet de nombreux scandales sous la pression des devôts. Arnolphe apprend qu'Horace est tombé amoureux ainsi qu' Agnes. Grâce a la confiance qu'Horace lui accorde Arnolphe apprend l'amour naissant entre Horace et Agnès. Jaloux, Arnolphe

La comédie de Molière l'Ecole des femmes, en cinq actes et en vers soulève des questions importantes (l’institution du mariage et l’éducation des filles), tranche nettement avec les thèmes habituels de la farce ou de la comédie à l’italienne. Innovation littéraire en même temps que critique originale de la société du temps, elle irrite certains auteurs concurrents autant qu’elle choque les tenants de la morale traditionnelle. Entre comédie et tragédie, L'École des femmes reprend le thème classique

au succé de l'illustre théâtre, ils jouent au Petit Bourbon, au Palais Royal ils deviennent la troupe du Roi. L’École des femmes est une comédie créée au théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662. Elle mêle  les ressources de la farce et de la grande comédie en vers, elle fut un immense succès. Elle entraîna alors une série de débats connus sous le nom de « Querelle de L'École des femmes. ». Molière raconte en cinq actes écris en vers l'histoire d'Arnolphe, vieil homme autoritaire qui souhaite épouser

CDI, à la médiathèque, en librairie) : (* : pas de difficulté particulière / ** : pour un lecteur plus averti) - Jean Racine, Phèdre ** - Pierre Corneille, Le Cid ** - Molière, Le Bourgeois gentilhomme * - Molière, L’Ecole des femmes * - Shakespeare, Roméo et Juliette ** A faire dans le cahier de lecture : écrire une lettre à l’auteur Vous écrirez une lettre à l’auteur dans laquelle vous lui exposerez votre avis sur sa pièce. Vous nuancerez votre propos en vous

« Le comique est tragique, et la tragédie de l’homme est dérisoire. » a dit Ionesco. Arnolphe, personnage de L’Ecole des femmes (1663) de Molière, est l’illustration parfaite de cette citation. Nous allons voir dans quelle mesure ce personnage de comédie classique a des traits tragiques et comment le comique parvient à dominer, pour ensuite nous intéresser au message que cherche à faire passer l’auteur à travers le personnage d’Arnolphe. Tout d’abord, on remarque l’emploi du champ lexical

Le texte soumis à notre étude est l’extrait de l’acte I scène 4 de l’école des femmes, une œuvre théâtrale écrite par Molière en 1663. Parmi les nombreuses rencontres que l’auteur travaille dans cette pièce, Molière s’attache particulièrement dans cette scène à la rencontre d’Horace et Arnolphe. Nous nous interrogerons tout d’abord au comique de situation par Horace et Arnolphe pour ensuite parler de dimension satirique du passage. I) Au début de la scène Arnolphe ravi pour son ami écoute

également de cette impression : Arnolphe est destiné à perdre Agnès, comme le sait chaque spectateur, mais, même lorsqu’il le comprend lui-même, il persiste à vouloir se battre contre ce destin. [...] [...] Les monologues d’Arnolphe, dans L’Ecole des femmes, sont donc des instruments participant à la cohérence de la pièce, en permettant à Arnolphe d’annoncer ses projets et en lui faisant faire le récit des évènements intervenus entre deux actes. 2) Le monologue comme moyen de découvrir la vie intérieure

méchants sont punis, ainsi la morale est sauve. Plaire et émouvoir Même si les théoriciens classiques donnent une visée morale à la comédie, le but premier des auteurs est de faire rire, comme l’explique l’un des personnages de la Critique de l’Ecole des femmes de Molière : « Pour moi, quand je vois une Comédie, je regarde seulement si les choses me touchent, et lorsque je m’y suis bien si divertie, je ne vais point demander si j’ai eu tort, et si les règles d’Aristote défendaient de rire. »

L’École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement quatre, cinq, cinq, neuf et neuf scènes) et en vers (1779 dont 1737 alexandrins), créée au théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662. La pièce, novatrice en ce qu'elle mêlait de manière alors inédite les ressources de la farce et de la grande comédie en vers, fut un immense succès, et suscita une série de débats connus sous le nom de « Querelle de L'École des femmes. » Cette querelle, habilement exploitée