L Edit De Caracalla

programme afin d’aménager et ouvrir des actions juridiques et ainsi permettre aux plaideurs de faire valoir de nouveaux droits. . Construct° d’un droit original car il émane d’un magistrat qui est d’abord un H pol et qui va rendre à l’occasion de cet édit des promesses, ce qui a permis une évolut° très souple du droit romain, il est laissé libre aux s d’appliquer telle ou telle loi = droit pretorien (=droit évolutif car bloqué par aucune codificat°, ni besoin du législateur). Comparaison de ce droit

politique à Rome Citoyenneté universelle aspirée par les empereurs : facilite les échanges commerciaux, influence des stoïciens (vivre en accord avec la nature et la raison) : aboutissement politique et juridique en 212 ap JC : un empereur (Caracalla) prend un édit qui va accorder la citoyenneté à tous les étrangers qui en 212 habitent l’empire romain, ne compte que pour le présent et pas pour le futur ; les « deditis » : les anciens esclaves affranchis sans respecter les formalités d’affranchissement

et les collectivités. -89 :  lex Plautia Papiria étendant le droit de cité complet à tous les habitants libres d'Italie au sud du Pô => Fin du processus de romanisation de l’Italie romaine212 : Édit de Caracalla => fin du processus de romanisation par les municipes et les coloniesPersistance d’inégalités entre les citoyens et les autres membres de la société romaine qui demeurent mis de côté : femmes, pérégrins, affranchis, esclavesBibliographieSources

que se met en place progressivement une justice pénale internationale, malgré les réticences américaines. De même, la crise du Moyen-Orient appelle à une mutation du débat sur la régionalisation. Alors que Régis Debray nous propose un nouvel édit de Caracalla pour fédérer l’Amérique et l’Union européenne dans des Etats-Unis d’Occident, l’avenir de l’Europe dépend bien davantage de la façon dont elle saura imaginer son rapport à l’outre-Méditerranée, illustration et défi exemplaires à l’échelle régionale

il désirait ouvrir, aux élites des régions les plus avancées, la citoyenneté ainsi que l’ordre équestre et sénatorial. Il apparaît comme un innovateur qui fixa les modalités de l’intégration des provinciaux en vigueur jusqu’à la fin du IIe s (Edit de Caracalla en 212). Bibliographie : • J.C FREDOUILLE, Dictionnaire de la civilisation romaine, Larousse, Paris, 1992. • E. CIZEK, Mentalités et institutions politiques romaines, Fayard, Paris, 1990. • Y. PERRIN, T. BAUZOU, De la cité

se retirer. La tétrarchie devient un pugilat. 4ème Siècle : Constantin. Il réunifie l'empire. Système unique pour tout l'empire. Il a un règne essentiel et prend une orientation qui décide de l'histoire pour 1 000 Ans. Il reconnaît le christianisme. Edit de Milan. Il réunit le concile de Nicée. Fin 4ème. Théodose: il règne. Il fait du christianisme la religion d'Etat et interdit le Paganisme. Il meurt en 395. division de l'empire entre orient et occident. Plus jamais de réunification. L'empire d'orient

administrations romaines qui sont un moyen de gravir rapidement l'echellon social. Ces différents phénomènes contribuent à l'emergence d'une véritable symbiose des différentes éthnies. Cette symbiose connaitra son apogée en 212 ap JC où l'empereur Caracalla établit la constitution, texte qui accorde la citoyenneté à tous les habitants libres de l'empire. Chapitre 2: Les institutions romaines en Gaule. Section 1: le pouvoir politique: une monarchie absolue et divinisée. Le pouvoir évolue

les efforts et réformes Exemple : 212 Edit de Caracalla tente de maintenir l’unité impériale, en accordant la citoyenneté à tous les habitants de l’Empire Oppositions et tensions croissantes aux frontières, notamment de la part des « peuples barbares du nord » : vandales, alamans, francs, wisigoths, perses sassanides à l’est, maures au sud… menacent l’Empire de toute part 4ème siècle : reconnaissance de droits aux chrétiens, avec l’Empereur Constantin : Edit de Milan en 313 Christianisme s’étend

progressivement étendue sa domination sur tout le bassin méditerranéen et fini par devenir le centre d’un véritable empire qui atteint sa plus grande expansion à la fin du IIIe siècle.Trois caractéristiques pour l’avenir :· En l’an 212, l’empereur Caracalla promulgue un édit qui étend la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l’Empire. À partir de là, toutes les populations libres qui vivent au sein de l’empire sont juridiquement des citoyens romains quelques soient leurs origines et sont soumises

elles-mêmes divisées en cités (département regroupe les populations de la province) = Gaulle en 4 provinces = Narbonnaise (120 av. JC) province la plus romanisée (Nîmes : ancienne colonie) région la mieux intégrée. Cela va déboucher sur l’édit de Caracalla : donne la citoyenneté romaine à tout l’Empire avec les mêmes droits. Réussite historique remarquable. IV. Le Christianisme des origines. A. Christianisme et conception antique de la religion. Dans les civilisations antiques, la religion et la