L Etat Doit Il Viser Le Bonheur Des Individus

Dieu est parfait et le monde ne peut l’être mais il l’a fait le meilleur possible, qu’il existe « Une raison suffisante » et « Une harmonie préétablie », que le malheur est compensé par une bien infiniment grand ailleurs. En effet, l’optimisme est un état d’esprit qui perçoit le monde d’une manière positive. Dans Candide ou l’Optimisme, cette philosophie est représentée par Pangloss , le précepteur de Candide et de Cunégonde, un personnage que Voltaire se plait à ridiculiser tout au long du récit, qui

relations directes et réciproques entre individus isolés. » Max Weber (1864-1920) in Le Savant et le Politique (1919). L’EXPLICATION Max Weber a donné cette formule célèbre pour désigner le malaise qui résulte de la primauté de la raison instrumentale et de l’éclipse des fins dans nos sociétés démocratiques : « le désenchantement du monde ». Un monde désenchanté, c’est un monde dans lequel rien ne peut plus nous conduire à l’être vrai, au vrai Dieu et au vrai bonheur. La conséquence de ce désenchantement

s’il faut connaitre les lois de la nature ça n’est que pour la maitriser la nature, l’exploiter (ses ressources), anticiper ses phénomènes pour mieux si préparer… Chez Descartes science = puissance, savoir c’est pouvoir. Pour Descartes l’homme doit au fond connaitre la nature pour la dominer et « vous en rendre comme maitre et possesseurs de la nature ». On peut-il est vrai y voir là un certain orgueil de l’homme de vouloir tout contrôler comme un dieu. Cependant ce que Descartes veut avant

humain une capacité de connaître et de contrôler ses pensées et émotions, ses actes et son langage. Cette capacité se trouve radicalement contestée par l’existence d’un inconscient qui, selon Freud, occupe les neuf-dixièmes de l’appareil psychique et doit être compris comme constitué de pulsions qui ne peuvent accéder à la conscience. L’individu est dès lors condamné à méconnaître ce qui le constitue. De plus, il devient incapable de maîtriser le sens réel de ses propres manifestations (ses goûts,

volonté, la recherche du bonheur, c'est à dire de ce qui est bien pour nous. Certaines actions apparemment mauvaises car violentes sont en fait exécutées en vue d'un bien et la volonté qui les commande vise ce dernier et non l'action violente en soi. « Massacrer, bannir, confisquer des richesses pour le simple plaisir d'agir ainsi » ne peut être l'effet de la volonté, qui, connaissant le bien, ne peut vouloir le mal; mais d'un appétit qui dicte ce qu'il lui plait. C'est le bonheur visé et les moyens qui

manière d’entretenir des relations > ce qui peut me permettre de ne plus agir en esclave ou en simple exécutant > − me sentir responsable de moi−même et distinct de l’autre l’autre n’est pas là pour me rendre heureux − ni moi pour faire son bonheur Plutôt que de se centrer sur les torts de l’autre et sur ce que je pense de lui > > ce qui n’apporte qu’un soulagement momentané mais aboutit à une impasse Entraves à la communication Les jugements (cf. plus haut) Les comparaisons c’est une

débats philosophiques, l’éducation est, étymologiquement, l'action de « guider hors de », c'est à dire de développer les facultés morales, physiques et intellectuelles. Cette dernière consiste à faire passer un individu de l'enfance à l'adulte intégré dans la société. Elle forme des individus, transforme des esprits. Pratique ou théorique, elle peut être prodiguée par la famille ou l’École. Dans nos sociétés modernes, nous chargeons l’École d'assurer (quasiment) toute l’éducation. Le philosophe

a pour point d’arrivée l’homme. C’est ainsi qu’il déclare : « l’homme doit être la finalité de tout développement1 ». Dans cette perspective, le développement n’a plus pour finalité l’accroissement quantitatif des biens matériels. Il ne vise plus exclusivement l’Avoir, mais plutôt l’Etre. La préoccupation njoh-mouelléenne est de montrer que, « le développement ne se limite pas à son seul aspect matériel et qu’il doit chercher à fournir à l’homme les meilleures conditions pour son épanouissement

christianisme est religion d’Etat Partage de l’Empire romain Chute de Rome Code Théodosien Fin de l’Empire romain d’Occident Justinien 3 Platon, La République, Livre VII (...) Et maintenant, repris-je, reconnaissez-vous avec moi que notre Etat et notre constitution ne sont pas de pures chimères, que, si la réalisation en est difficile, elle est possible pourtant, mais seulement, comme nous l’avons dit, quand on verra à la tête de l’Etat un ou plusieurs philosophes, qui, méprisant les

A/ Les idées Au plan philosophique, apport indiscutable de Descartes → vision scientifique et mécanique de la sté. " je pense donc je suis" → droit inviduels, droits de l'homme Aucune contrainte religieuse sociale religieuse ou politique ne doit entraver les droits de l'homme : il a des droits qu'il tient de la nature ! Dvlpmt de théories : Voltaire développe l'absolutisme éclairé Montesquieu promeut la théorie selon laquelle le pouvoir arrête le pouvoir → C° analogue à la C° anglaise