L Homme Rationnel Selon Descartes

sujet La conscience psychologique peut se comprendre selon deux dimensions : d’une part, elle nous donne unsavoir concernant nos actes (je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir) ; d’autre part, elle nous donne le sentiment d’être un moi singulier (le sujet s’affirme en s’opposant à tout ce qui n’est pas lui-même). 2 Situation et conséquences du cogito cartésien La pensée présente à elle-même Pour échapper à l’erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute « hyperbolique »

non athéisme philosophique, armé d’un arsenal de preuves rationnelles de l’existence de Dieu. 2) Synonymes a) la « religion des philosophes » Cf. le « Dieu des philosophes » (in cours sur les Méditations métaphysiques de Descartes) b) la « religion naturelle » : « Naturelle » s’oppose d’abord à « révélée » ; la religion naturelle est la connaissance de l’existence de Dieu par la raison, donc, en droit, par tout homme. Mais nous verrons plus loin que la religion naturelle a

soustrait à la régulation de la raison. En effet, poser l’existence d’une fonction psychique susceptible de déterminer la volonté autant ou plus que ne le fait la conscience, c’est ruiner l’importance primordiale au sujet par la métaphysique depuis Descartes : « je ne peux plus me définir comme ‘‘ substance pensante ’’ dès lors que ma pensée est intermittente, maitrisée le jour et sauvage la nuit. Pour pouvoir justifier la présence d'un inconscient, il se réfère aux lapsus, aux actes manqués, à l'interprétation

demonstration est tout procédé de justification rattionnel de la vérité d’un énoncée(d’un jugement)et elle s’appuie sur la raison Que l'on songe ici à la métaphysique et aux questions existentielles de l’homme .Dans ce domaine, la démonstration rationnelle n'est non seulement impuissante, mais elle est même superflue. Ainsi nous pouvons nous demander, quelles sont les vérités que l'on peut démontrer ? Ne faut-il pas distinguer plusieurs types de vérités voire plusieurs types de démontrations ? De

du co(…) Recherche Chercher Sommaire – Document suivant 3 | 2003 : Figures de l'irrationnel Analyses et interprétations La maîtrise et la conservation du corps vivant chez Descartes. Fabien Chareix Résumé | Plan | Texte | Notes | Citation | Auteur Résumés Français English Les textes dans lesquels Descartes tente de donner une analyse mécaniste du vivant forment l’une des contributions majeures à l’histoire des sciences naturelles. Mais, annexée à la physique cartésienne, elle a été jugée

a voir avec la réalité ». Le corps de l’animal et le corps de l’homme par Jacqueline Morne, 2004 Quelle est la différence entre la conception de l’homme d’Aristote et celle de Descartes? Descartes conçoit l’être humain comme un composé de deux éléments distincts : un corps et une âme. Dans l’esprit de Descartes, le corps est constitué de matière et l’âme en est totalement indépendante. Ainsi donc, l’auteur prend le contrepied de la tradition philosophique qui le précède, une tradition fortement

politique c’est la légitimité légale rationnelle. A côté de la légitimité traditionnelle, il y a une spécificité des états occidentaux : le droit est devenu l’élément de la légitimité politique, permettant de réguler les conflits. Le droit est omniprésent : nous vivons dans un état de droit. Lorsque les institutions promeuvent des politiques d’aide aux pays du sud, elles promeuvent le principe d’un état de droit, l’idée que les états doivent fonctionner selon des corps de règles codifiées, adoptées

la philosophie nous dit Platon. Doit-on toujours définir le désir à partir de l'idéal dont il serait le manque ? Contre Platon, Spinoza (1632-1677) affirme que le désir est « l'essence même de l'homme. » Il y voit en effet l'effort que déploie tout homme pour « persévérer dans son être ». « Le Désir est l'Appétit avec conscience de lui-même. [...] Nous ne nous efforçons à rien, ne voulons, n'appétons ni ne désirons aucune chose, parce que nous la jugeons bonne [...] ; mais, au contraire, nous jugeons

La morale – liberté, devoir, bonheur – La morale est un savoir particulier qui permettrait de bien agir, de connaître le bien et le mal, de faire en sorte d’agir selon certaines valeurs que nous considérons comme légitimes. Mais il ne suffit pas de suivre un code de bonne conduite pour agir moralement – cf distinction de Comte-Sponville entre politesse et morale -. La morale suppose un sujet capable de s’interroger sur ses actes et ses devoirs, un sujet conscient de ses responsabilités

sérieusement de savoir si cet énoncé est vrai ou faux. Toutes nos idées premières sont en ce sens des opinions, c’est-à-dire des préjugés, des « a priori », des idées toutes faites. On les croit vraies mais on ne sait pas si on a raison de le croire.   Cf. Descartes :  » Il y a déjà quelque temps que je me suis aperçu que, dès mes premières années, j’avais reçu quantité de fausses opinions pour véritables, et que ce que j’ai depuis fondé sur des principes si mal assurés, ne pouvait être que fort douteux et incertain ;