L Humanité Peut Elle Se Concevoir Sans Religion

de son libre arbitre et motivé par des pulsions purement humaines. Dans un deuxième temps, nous verrons que le mensonge peut être considéré comme un crime contre la raison et nuire à l’homme. Enfin, nous verrons dans quelle mesure les pulsions naturelles de l’homme qui le poussent à mentir sont dans les faits bien supérieures à sa raison, et dans quelle mesure le mensonge peut s’avérer utile contrairement à la condamnation dont il est l’objet. Dans son ouvrage Du Mensonge, Jankélévitch affirme

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine BLes remises en cause de la souveraineté de la conscience C) L'homme, un être de désir IILa culture ACulture contre nature BLe travail et la technique CLa religion DL'art IIILa raison et le réel ALa raison et la rationalité dans le monde BL'accès à la connaissance et la vérité ? C) La remise en question de la vérité DL'étude du vivant, entre matière et esprit IVLa politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir

.................................................................................. La liberté et la révolution...................................................................................................... La liberté et la religion.......................................................................................................... IV. Conclusion............................................................................................................................

rationnellement, il semble simple d’énoncer que ce qui est inhumain ne relève pas de l’homme, lui est étranger. Cette affirmation est hors réalité (de par la ténacité des faits historiques immémoriaux) en ce qu’elle confond l’inhumanité avec la non-humanité (qui correspondrait au monde instinctif animal). Si l’on se place sur le plan plus subjectif de l’éthique, des valeurs, de la moralité, tout acte pourrait être qualifié d’inhumain en tant qu’il brise l’intégrité physique et la dignité morale d’autres

dissertation donnés au bac depuis 1996 avec les sujets 2009 tout en bas de la page ( pour rechercher sur cette page : Ctrl + F ) ------------------------------------------- ES : Amérique du Nord et Liban – Session NORMALE 1996 Peut-on tout dire ? Au nom de quoi peut-on reprocher à autrui d’être égoïste ? ------------------------------------------- ES : Amérique du Sud - Session NORMALE 1996 Nos rapports avec autrui sont-ils nécessairement conflictuels ? Qu’est-ce que prouver ? -------------------------------------------

PLAN * Plan thématique (deux parties): A. Le bonheur sous un régime totalitaire : - le cas du peuple : voir « Rhinocéros » de Ionesco – Par instinct grégaire, paresse, indifférence, la masse peut s’accommoder d’une pensée totalitaire. - le cas de l’individu : révolte ou soumission (voir « Rhinocéros », « Antigone », « Les Mouches ») – la tentation de l’illusion de liberté et de bonheur (se croire heureux et libre, même sous une dictature) B. Le bonheur dans les sociétés démocratiques :

une non validité heuristique, si l'on mesure les phénomènes à l'aune actuelle. En effet en définissant l'intégration à la manière de Durkheim ils' en suit fort logiquement que la cohabitation de cultures différentes , au sein d'une meme société , peut remettre en cause l'intégration sociale C' est pourquoi il convient de s'interroger sur les phénomènes liées à la cohabitation de cultures différentes au sein d'une même société qui peuvent paraître paradoxale avec la nécessité d' intégration. Nous

fantasmes. Ainsi naquit le mythe des races monstrueuses, où l’étranger est perçu comme un monstre ou un animal. Fondé sur « le constat de différences perçues comme des anomalies »,7 il accrédite l’idée que l’étranger échappe à toute normalité, à toute humanité. Par le simple fait qu’il ne partage pas le physique, les attitudes ou références culturelles du groupe dominant, il est assimilé à un monstre d’autant plus effrayant qu’il reste complètement imaginaire comme en attestent les invraisemblables gravures

Karl Heinrich Marx est né le 5 mai 1818 à Trèves, sous domination prussienne, et meurt à Londres le 14 mars 1883. D’origine israélite, il est le second d’une famille de huit enfants. La formation intellectuelle de Karl Marx et sa vision de la religion doivent beaucoup à son père Heinrich, un libéral modéré. Karl Marx commence par étudier le droit à Bonn avant de se concentrer sur l’histoire et la philosophie à Berlin, à partir de 1838. Il devient docteur de la faculté de philosophie d’Iéna, le

identifie ce « Souverain bien » au bonheur lui-même, conçu comme « béatitude » : mais ne nous ne méprenons pas sur ce terme. La béatitude correspond à un bonheur stable et parfait, qui est l’état de plénitude du Sage. En somme – seul le philosophe peut accéder au bonheur authentique. La foule, les gens vulgaires, dit Spinoza, ne sauront jamais ce qu’est la béatitude. Spinoza fait néanmoins l'éloge de la la joie : passion positive par excellence, la joie est ce qui nous permet de passer d’une perfection