L Hypocrisie De Tartuffe

TARTUFFE – MOLIERE / ACTE 1 SCENE 4Etape 1 1. A. L’auteur est Molière (Jean-Baptiste Poquelin) (auteur) qui écrit Le Tartuffe dans les années 1660. Molière présentait ses pièces devant le Roi alors qu’il se moquait et critiquait la Cour du Roi et lui-même car il le faisait par la technique de la comédie (contexte). S’inscrivant dans le courant du classicisme (mouvement) , le dramaturge met

quelquefois des façons de province , il faudrait vous en défaire"Jugements du narrateur sur Julien L.149 "pauvre opinion de lui"" Ce mot fut trop fort pour Julien; il avait les manières, mais non pas encore le coeur de son état. Malgré toute son hypocrisie si souvent exercée, il sentit une grosseL.135....140absence de jugements sur le narrateur mais de l'abbé qui perçoit sa naïveté, son honnêteté (=faiblesses dans ce "monde de l'hypocrisie")"un pauvre provincial" Jugements du chevalier et du marquis

Texte n°1 : Dom Juan Acte 1 scène 2 INTRO : Extrait de la pièce de Molière → dramaturge classique du17ème Dom juan → 1ère représentation 1665 → pièce politique comme Tartuffe ou le Misanthrope Dans cette tirade dom juan est représenté comme un séducteur Scène d'exposition → autoportrait du personnage éponyme. → Libertinage → Athéisme Inversion des valeurs morales PROBLEMATIQUE : En quoi ce passage permet-il de découvrir le libertinage

Molière, Le Tartuffe Introduction: Le siècle: À l'èpoque de l'écriture du Tartuffe de Molière, Louis XIV gouverne seul, sans ministre, avec un pouvoir centralisé. Il instaure un cérémonial et fait venir sa cour à Versailles. En 1664, il il organise une semaine de fête dans ses jardins: « Les plaisirs de l'île enchantée ». C'est lors de cette fête que le Tartuffe va être représenté pour la première fois. La fin du règne de Louis XIV sera un peu plus austère, car il se marie avec Madame de

: "Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j'ai cru que, dans l'emploi où je me trouve, je n'avais rien de mieux à faire que d'attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle..." Molière préface tartuffe EX 2 : Ridicule d'Harpagon dans l'Avare de Molière, célèbre "Je me meurs, je suis mort, je suis enterré" quand il découvre le vol de sa "chère cassette". -> On se moque de son éxagération devant l'avarice mais ceux qui se reconnaisse

Introduction : - situer l'auteur, Molière, et l'œuvre : Dom Juan - Lorsque Molière écrit Dom Juan, il vient d'essuyer une première interdiction de Tartuffe en 1664. La cabale menée par les dévots a influencé le dramaturge. Cette tirade permet donc en même temps à Dom Juan de mettre en évidence son système de valeur fondé sur l'hypocrisie et à Molière, à travers cet éloge paradoxal, de lui donner une portée polémique. Lecture du texte DOM JUAN, à Sganarelle Il n’y a plus de honte maintenant à

inférieure ,elle ne lui est pas opposé. 2° Est-ce ainsi que fait Molière ? Presque toujours, oui . Les égoïstes et les vicieux, chez Molière sont punis par le mépris des honnêtes gens, et souvent par insuccès personnel : ainsi Sganarelle, Arnolphe, Tartuffe . D’autres , qui paraissent réussir au dénouement , sont châtiés par l’abandon des leurs, ou par les conséquences prévues de leur folie : ainsi Harpagon, M. Jourdain, Argan, Armande. – Mais on reproche à Molière de ridiculisé l’autorité des pères

II. Commentaire de l'extrait de Tartuffe. Au XVIIème siècle, deux mouvements totalement opposés se succèdent: le baroque et le classicisme, ce dernier étant représenté notamment par Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Directeur de troupe (il fonde très jeune, « L'illustre théâtre » qui deviendra la « Troupe de Monsieur », puis la « Troupe du Roy ») , comédien , c'est surtout en tant que dramaturge qu'il est universellement connu pour ses nombreuses comédies qui font la satire des vices humains

agiteront la société plus tard. Le mariage forcé et l’utilisation de la religion pour parvenir à ses fins sont dénoncés dans La Tartuffe de Molière. Orgon oblige sa fille à épouser Tartuffe, homme en apparence des plus respectables. Celui-ci accepte dans le seul but de se rapprocher de la femme d’Orgon, Elmire. Fort de sa réputation de dévot, qui le rend insoupçonnable, Tartuffe utilise toutes les bassesses pour la séduire et la déshonorer. Molière dénonce l’hypocrisie de certains dévots et en tournant

cacaracamouchen, IV, 3 p. 174). On dénoncera à plusieurs reprises cette scurrilité (bouffonnerie) de Molière ( de Donneau de Visé à Boileau, dans son Art poétique). Le cas de Tartuffe est exemplaire de cette réappropriation par Molière de la farce. Le personnage principal est emprunté à l’univers de la farce, le nom de Tartuffe fait référence au corps : étymologiquement, il désigne tantôt une tumeur, une excroissance qui ne cesse de grossir pendant cinq actes (la farce est plus courte), un parasite[3]