L Imagination Chez Madame Bovary

Emma Bovary Madame bovary est un roman éponyme de Gustave Flaubert. Emma est un personnage ambiguë, puisqu'elle a 2 facettes : elle est romantique, mais a la fois très terre a terre, puisqu'elle sait manipuler les hommes, et jouer de ses charmes. Elle tente d'oublier son existence médiocre et campagnarde, en reniant ses origines (comme son père), a travers les livres, et une imagination débordante. Elle vie a travers l'illusion qu'elle se fait d'un monde qu'elle ne connait pas, comme à Paris.

méprisée par Camille et manipulée par Perdican, qui joue de son statut de maître et la conduira à sa perte. Un thème adjacent complète le précédent et s'y oppose, sans être vraiment approfondi par Musset : celui de la nature, représentée par Rosette chez qui l'état de nature est associé à l'innocence et que Perdican relie au bonheur perdu de l'enfance. Un point plus approfondi est constitué par l'anticléricalisme, Musset dénonçant le mode vie des hommes d'Église mais surtout la détestable éducation

qu’ils imaginent naturelles. En témoigne l’expérience du vertige (Essais, II, 12) (1580) : « Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu’il ne faut, s’il y a dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. ». L’imagination suppose un jugement faux : nous savons que nous ne pouvons pas tomber, mais nous croyons que nous allons tomber. La planche est vue comme trop étroite. Il en va de même du vertige à la montagne. Pascal radicalise cette

les mœurs, les conditions et la vie de la société française du XVIIIe siècle. « regard étranger », dont Montesquieu donne ici un des premiers exemples éloquents, contribue ainsi à alimenter ce relativisme culturel qu'on devait voir ensuite illustré chez d'autres auteurs du xviiie siècle. Mais ce roman par lettres vaut aussi en lui-même, en outre par sa peinture des contradictions déchirant le personnage central d'Usbek : partagé entre ses idées modernistes et sa foi musulmane, il se verra sévèrement

relation, écrite ou orale, de faits réels ou imaginaires. Le récit est le texte en prose le plus courant. réalité : 1) Réalité: * Caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. * Ensemble des choses et des faits réels. 2) Réel: * Comme adjectif : qui existe effectivement, et pas seulement à titre d'idée, de représentation ou de mot (exemple : un pouvoir réel). * Comme nom : l'ensemble des choses qui existent, le monde

« moi rêvé ». C’était de même dans les temps plus anciens, où un serf, par exemple, ne pouvait pas devenir marchand, voir seigneur ; c’était impossible à cette période car tout le monde n’était pas libre et l’éducation n’était disponible que chez une élite qui était souvent d’ordre ecclésiastique. Ces personnes non libres avaient surement un « moi rêvé » mais il leur était inaccessible comme c’est le cas actuellement avec les personnes vivant dans le tiers-monde. On peut en déduire que la liberté

Horla. Maupassant Introduction : Il existe en fait deux versions du Horla. Un premier Horla a été publié dans Gil Blas, à Paris en 1886. Une seconde version fut publiée directement dans un recueil auquel elle donna son titre. Ce recueil fut publié chez Ollendorff en 1887. Le Horla est une nouvelle fantastique de Maupassant. C’est un des premiers récits fantastiques que Maupassant a écrit. Le Horla se présente sous la forme d’un journal inachevé qui laisse penser que son propriétaire n’ait sombré

d'argent de son mari, ce qui l'empêche d'acheter ce qu'elle souhaite. « On ne s'explique pas, on se devine. On s'est entrevu dans ses rêves. (Et il la regardait.) » ← Partie 2, chapitre 8 ← Rodolphe essaie de séduire Emma. « Rodolphe, avec madame Bovary, causait rêves, pressentiments, magnétisme. » ← Partie 2, chapitre 8 ← Rodolphe essaie de séduire Emma. «  La soirée fut charmante, pleine de causeries, de rêves en commun. Ils parlèrent de leur fortune future, d'améliorations à introduire dans

une plaidoirie essentiellement basée sur la comparaison entre les fleurs du mal et d'autres recueils de poèmes qui ont été acquittés. En effet, au début de l'année 1857, l'État intente un procès contre Gustave Flaubert également pour son roman Madame de Bovary, mais celui-ci est acquitté. Mais le verdict tombe, et n'est pas à la hauteur de l'espérance de Baudelaire: le tribunal ne relèvera pas l'offense à la moral­e religieuse, mais considère qu'en ce qui concerne la morale publique et les bonnes mœurs

tortueuses, dont les deux croupes portaient, comme une chape d’or, une toison de fleurs d’ajoncs. Leur odeur forte et douce, exaspérée par la chaleur, la grisait à la façon d’un vin parfumé» (chap. II, p. 32) = comparaison Mini-conclusion : L’éducation chez les religieuses garde les filles de noblesse trop naïves par rapport au monde dans lequel elles vivent. II – Deuxième partie Déceptions et échecs résultant des rêves et illusions de l’enfance au mariage de la fille 1. Amour et