L'Imitation de Jésus-Christ

méthodes d'influence est le groupe, car les gens ne vont jamais écouter quelqu'un qui est seul. Un exemple de ce la est Jésus Christ, au début personne ne l'écoutait car il essayait d'imposer quelque chose de nouveau et ce la paraissait absurde au peuple. Donc après quand il a trouvé du soutien grâce à ces héritiers, les apôtres; ses idées ont enfin gagné le sens et l'imitation du peuple. L'influence d'un groupe mène la mode, les suivent en prenant l'exemple sur les autres, car cela leurs semble

Caesonii, Caeselli... L'Antiquité devient une sorte de référence et donne de l'importance à ces familles. Évolution: un problème pour l'église Néanmoins, ce goût pour l'Antiquité pose problème à l'Église: ces œuvres ne représentent pas vraiment Jésus et ses disciples. Rien à voir avec la religion chrétienne. C'est un problème de s'intéresser à des divinités païennes. De plus, collectionner des œuvres d'art est une activité qui flatte l'orgueil, des penchants peu mis en valeur par l'Église. Pas

Devotio Moderna = elle se situe au 15ème siècle au pays bas du nord et se diffuse dans les élites religieuses. Ce courant met l’accent sur la piété et sur l’approfondissement personnel de la foie et de la dévotion : Thomas Akempis, l’imitation de Jésus Christ = ce livre a été jusqu’au 19eme un best-seller de la littérature spirituelle. Ce livre est encore beaucoup présent dans les bibliothèques au 18ème. Ce livre propose un idéal de renoncement au monde = renoncement à tout ce qui risque au

voyage de Siam fait en 1685 et 1686. Il rédigea également les vies de Salomon et David, hommage détourné à Louis XIV ; sans oublier, sa rédaction d'autres ouvrages religieux comme son Histoire de l'Église en onze tomes, sa traduction de l'Imitation de Jésus-Christ, son Interprétation des Psaumes; mais aussi des ouvrages historiques comme ses vies de Saint-Louis, Philippe de Valois, Charles V et Charles VI, mais aussi ses Mémoires pour servir à l'histoire de Louis XIV, un ouvrage galant Histoire de

l’inspiration dans la littérature grecque et latine. Ils empruntent les personnages et les sujets, se sont les sentiments qui sont différents : les sentiments présents dans les oeuvres du classicisme français, sont ceux des hommes de la cours (l’imitation est raisonable). - Art et morale → la morale des grands auteurs est toujours soucieuse du beau et du bien. Il s’agit aussi de savoir se limiter. Ils veulent perfectionner et il cherchent un équuilibre. Tendances nouvelles : à la fin du siècle

nom du mouvement « la Pléiade » n’est adopté qu’en 1556. Le mot désigne dans la mythologie grecque les sept filles de Pleioné et d’Atlas qui se sont métamorphosées en sept étoiles formant la constellation du Taureau. Puis au IIIème siècle avant Jésus-Christ dans l’antiquité, le mot « pléiade », devient le nom d’un groupe de sept poètes grecs d’Alexandrie (Apollonios de Rhodes, Aratos de Soles, Philiscos de Corcyre, Homère le Jeune, Lycophron de Chalcis, Nicandre de Colophon, Théocrite). Ronsard comparait

Dieu est souvent mise en doute ou alors laisse les personnes indifférentes, il semble nécessaire de préciser ce que Thomas d’Aquin désigne par vertus infuses. Prenons l’exemple suivant 8 : un homme pécheur rempli de mauvaises habitudes découvre le Christ. D’un seul coup, ce qui lui semblait impossible la veille devient facile et agréable à réaliser. Lui qui ne voulait ni ne pouvait se maîtriser se découvre capable d’une vie entièrement changée. La vertu infuse n’est rien d’autre que cette facilité

vision historique de l’art, une conquête du Beau à travers les siècles, étroitement dépendante des progrès techniques (perspective, clair-obscur, raccourcis…), mais également d’une recherche d’expressivité. Le Beau n’est ni dans l’imitation de l’antique, ni dans l’imitation servile de la nature, mais dans l’expression. Il faut « mêler la peinture de son âme à la peinture du sujet ». Après avoir fait descendre le Beau antique de son piédestal, Stendhal invente l’idée de Beau moderne, qui sera reprise

avec Le Cid en janvier 1637. Il est élu à l’Académie française en 1647. Corneille connaît son premier échec avec la tragédie Pertharite (1651) et s’éloigne de sa passion du théâtre. Il se consacre alors à la traduction en vers français de L’Imitation de Jésus-Christ. À l’instigation de Nicolas Fouquet (surintendant des finances), Corneille reprend la plume et connaît un dernier succès avec Œdipe en janvier 1659. Les pièces qui suivent sont globalement mal reçues et poussent Corneille à se retirer du

que l’éducation mettra du temps pour trouver son importance dans la vie de l’homme et dans la programmation de ses activités. L’éducation des sociétés primitives était alors une éducation naturelle, dégagée de toute autre contrainte, mis à part l’imitation et la participation à la vie collective. Bref l’individu devait être intégré à la collectivité. A un stade plus avancé, l’éducation est une initiation et tend ainsi vers l’éducation moderne. L’initiation des plus jeunes se fait à l’âge précis