L Indémontrable

à une même troisième sont égales entre elles ». Axiomatisation : Reformulation d’un ensemble de propositions constituant une théorie dans le sens d’une plus grande cohérence logique et d’une dépendance à un nombre plus restreint de principes indémontrables. Cf. Peano et l’axiomatisation des mathématiques à la fin du XIXè siècle. Code : Système conventionnel de signes, signaux ou symboles, grâce auquel un émetteur peut transmettre un message, une information, une idée, à un récepteur. Toute langue

accepté par ces dernier. La justification théorique dans un principe selon lequel les États doivent respecter les accords établie entre eux (latin : pacta sunt servanda) Cette doctrine est quelque peu circulaire, ce courant se fonde sur un postulat indémontrable . B- L'objectivisme Le droit international est obligatoire et cette réalité ne résulte que des nécessités de la vie social. Le droit est un processus spontanée, sociologique. Il ne peut s'étudier en système clos sans réfléchir au système social

cultures, y compris l’occidentale, vivent de vérité indémontrables, de croyances aspirant au statut d’intouchables, dont la cohérence et les conséquences normatives tiennent à leur authentification en bonne et due forme sociale » (P. Legendre, De la société comme texte, Fayard 2001, p. 7. - V. également P. Legendre, Anthropologie dogmatique. Définition d’un concept : Ecole Pratique des Hautes Etudes, Annuaire 1996-1997, p. 23). Ces vérités indémontrables sont appelées dogmes. La notion est souvent un

leur agrammaticalité ; (dans «La trace de intertexte», Michael Riffaterre définit la notion dagrammaticalité tel quil suit : «Tout fait textuel qui donne au lecteur le sentiment quune règle est violée, même si la préexistence de la règle demeure indémontrable» ; lagrammaticalité qui peut se situer au niveau lexical, syntaxique ou sémantique est «toujours sentie comme la déformation dune norme ou une incompatibilité par rapport au contexte»). Lorsque les indices intertextuels ne se donnent pas explicitement

totalité, et transgressent par là les limites de l’expérience possible (car la totalité de l’expérience ne saurait être elle-même un objet de l’expérience). La raison s’égare alors dans des systèmes illusoires (les systèmes de la métaphysique), indémontrables parce qu’irréfutables, qui ne sont pas de véritables connaissances, mais des savoirs virtuels et totalement dépourvus de contenu (par ex. les preuves de l’existence de Dieu). Cette pseudo-connaissance, Kant la nomme dialectique, qui est cette

en tant qu’illusions ? En tant qu’illusions, il est aussi impossible de les démontrer que de les réfuter. On ne peut pas établir qu’elles sont vraies dans la mesure où elles échappent à toute possibilité de démonstration rationnelle. Etant indémontrables, on n’est pas obligé d’y croire. Mais on ne peut pas les réfuter non plus, faute d’avoir sur toutes les questions abordées par la religion des connaissances suffisantes.               Est-ce à dire que Freud est agnostique ? C’est ce qu’il

idéologies, qu’on définira ici par trois propriétés : a) sans rapport avec la transcendance ; b) visant à guider l’organisation collective ; c) entraîne des conduites de dérivation (au sens Paretien : justification et démonstration de ce qui est indémontrable et repose sur la forte tendance personnelle à agir, que Pareto nomme le résidu). Entre les croyances ou adhésions, quel est le point commun ? Les deux sont des phénomènes sociaux fondamentaux. L’hypothèse de Boudon est que la théorie de la rationalité

toujours du porc, se transforme en un vrai délice de causalité : les cochons étant faits pour être mangés, nous mangeons du porc toute l’année ! La raillerie frappe ici l’abus du principe de causalité, qui établit entre des phénomènes des lien indémontrables. Le recours à l’ironie de préférence à la démonstration consiste à énoncer la thèse adverse avec un tel excès dans l’éloge que le lecteur en perçoit l’absurdité. Ainsi : il prouvait admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause… Conclusion

toujours du porc, se transforme en un vrai délice de causalité : les cochons étant faits pour être mangés, nous mangeons du porc toute l’année ! La raillerie frappe ici l’abus du principe de causalité, qui établit entre des phénomènes des lien indémontrables. Le recours à l’ironie de préférence à la démonstration consiste à énoncer la thèse adverse avec un tel excès dans l’éloge que le lecteur en perçoit l’absurdité. Ainsi : il prouvait admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause… · Conclusion

prémisse démonstrative et la prémisse dialectique. Celle-là a pour particularité de poser soit l’affirmation ou la négation, « on prend l’une des deux parties de la contradiction ». C’est le cas des prémisses vraies qui sont obtenues par des axiomes indémontrables mais établis. La prémisse dialectique, quand à elle, permet de demander à l’adversaire de choisir entre les deux parties de la contradiction c’est-à-dire entre la négation et l’affirmation. Une telle permet d’aboutir à une conclusion fondée sur