L Indémontrable

sceptiques sont les plus savants qu’ils soient en être tenants d’aucune science. L’érudition est un adjuvant nécessaire au sceptique pour progresser vers l’ataraxie. CCL° : le problème du sceptique c’est qu’il n’a pas de premiers principes, des indémontrables, des hypothèses mais il faut des choses qui évitent des sous bassement, ou des raisonnements à l’infini. Ils ne savent pas faire la part entre ce qui doit être démontré et ce qui doit être admis. (ex/ cogito cartésien admis par intuition). « sa

chance d'y réussir. Critique de l'épistémologie behavioriste Le parti pris antimentaliste des behavioristes a aussi une prétention épistémologique puisqu'en refusant de faire appel à des éléments internes à la vie mentale et donc indémontrables aux yeux d'un observateur extérieur, la théorie behavioriste se veut plus scientifique car fondée sur l'objectivité des phénomènes qu'elle cherche à expliquer. La critique que l'on peut alors faire tient à la nature des explications proposées

Comment [30]: Religion  :  Croyance  qui   s’appuie  sur  des  actes  de  foi.   Chobis 28/10/12 10:41 Comment [31]: Dogme  :  Vérité  assénée   devant  être  prise  comme  un  postulat   indémontrable  et  obligatoire.   Chobis 28/10/12 10:41 Comment [32]: A  titre  indicatif.   •  Magna  Carta.   •  Pétition  des  droits.   •  Habeas  Corpus.   •  Bill  of  Rights.   •  Ensemble  des

Le concept d’indécidabilité fait ici son apparition. Gödel a montré que dans ce système, il est possible de construire une proposition, G, qui est démontrable d’après les prémisses et les axiomes du système, mais qui dit d’elle même qu’elle est indémontrable. « La preuve » de Gödel montre que tout système (mathématique, symbolique…) est incomplet et que en outre on ne peut prouver la « consistance » d’un tel système qu’en recourant à des méthodes de preuve plus générales que celles que le système lui-même

sociale, l’amour de l’autre sans tomber dans les travers de la « religion nationale » traditionnelle le plus souvent intolérante. -         La religion morale : Pour Kant, la religion n’est pas affaire de connaissance. L’existence de Dieu est indémontrable spéculativement. La religion est nécessairement religion morale ; elle relève de la raison pratique obéissant aux lois morales. -         La conscience de Dieu : Schleiermacher pose qu’il y a en l’homme une dimension religieuse spécifique.

ayant ainsi annexé des ensembles humains de races, de religions, de langues et de cultures très différentes. Il suffit de nier l'importance de ces éléments objectifs et de supposer à ces peuples un « vouloir-vivre collectif » (le contraire est indémontrable) pour justifier leur réunion sous une même autorité, celle de l'Etat français. B. Le territoire Le territoire ne peut apparaître comme élément permettant de définir l'Etat, que s'il existe comme espace différencié, logiquement antérieur à l'institution

finis ! cf les ensembles infinis de Cantor (l’ensemble des entiers naturels est aussi grand que sa partie, l’ensemble des nombres pairs…) Gödel, et le théorème d’incomplétude mathématique : certaines propositions mathématiques sont indécidables, indémontrables. Autrement dit, même en math, il y a de l’indémontrable, des principes premiers indécidables. Autrement dit, on ne peut pas avoir de système formel, de théorie mathématique, complète. Est-ce un signe de faiblesse, d’échec ? pas forcément : on

|Proposition qui résulte nécessairement de propositions déjà démontrées. | | |* Le théorème se distingue de l’axiome, principe indémontrable mais évident par lui-même, et du postulat, principe | | |indémontrable mais conventionnel. | |théorie |Connaissance spéculative et désintéressée.

mathématiques. Tout va basculer. Le plus certain et le plus indubitable peut encore être mit en doute. Nous sommes en route vers le point de départ absolu. On n’abolit pas seulement les erreurs, les préjugés, mais aussi les principes premières, les indémontrables. Cette réflexion porte d’abord sur Dieu. Il ne s’agit pas du Dieu qui sera dégagé dans la suite des méditations.  N’y a-t-il pas comme nous l’enseigne l’une de nos plus ancienne opinion « un dieu qui peut tout ». Nous en restons à une opinion

que se règle l'enchaînement des causes et des effets. Aussi pour concevoir la possibilité de la réalisation du souverain bien faut-il recourir à des propositions théoriques qui ne peuvent être que des hypothèses puisqu'elles sont tout à fait indémontrables, mais qui offrent la particularité d'être non seulement permises, mais nécessaires. Car la raison qui reconnaît dans la loi morale un principe irrécusable de détermination pour la volonté a besoin d'admettre par surcroît les conditions sans