L Interpretation Exegetique

juridique française l’humanisme va avoir un effet tout à fait original. a) – La diffusion de l’humanisme en Europe Ils rejettent la doctrine médiéval et posent en règle qu’ils faut revenir à l’étude du droit romain en les débarrassant de leurs interprétation médiévale Pour les humaniste le droit romain ne doit plus être compris comme une vérité intangible, une vérité qui est valable dans toutes les société et dans toutes les époques. Pour les humanistes le droit romain doit être replacé dans son époque

l'exégèse permet de combler les lacunes, il faut cependant noter qu'elle atteint ses limites lorsque le juriste se trouve confronté à des situations qui n'existaient pas quand la loi à été promulguée. Face à des problèmes inédits, l'interprétation exégétique va prendre un caractère artificiel, étant donné que le législateur n'a pas pu imaginer le problème en question. Il y a un nombre considérable de problèmes nouveaux... c'est pourquoi, la doctrine a développé d'autres recours que l'exégèse... on

technique appropriées en sciences juridiques.------------------------------------------------- 1. LES METHODESDans le cadre de notre travail nous avons opté pour trois méthodes, à savoir : la méthode exégétique, la méthode et la méthode historique comparative.L'utilisation de la méthode exégétique permet de faire l'étude des textes légaux au regard du droit international, de découvrir les documents officiels qui régissent l'intégration africaine..Quand à la méthode historique, elle nous permet de

demeurent néanmoins prééminentes en de nombreux domaines. Elles revêtent des contenus différents selon le type de sources analysées. Même pénétrée par la mathématisation, l’analyse de discours, par exemple, ne saurait faire l’économie du commentaire exégétique traditionnel, soucieux de répondre aux questions classiques : qui produit quoi ? Dans quelle forme stylistique ? à destination de qui ? Dans quel contexte ? Avec quelles motivations et quels effets (attendus ou non) ? Si les approches « ex- ternes

adoptant une argumentation juridique. Dans les manuels de droit, lorsqu’il est question de doctrine on en distingue 2 types : Doctrine classique qui concerne les ouvrages publiés jusqu’au 19e s et elle applique la méthode de l’exégèse (méthode exégétique) Doctrine moderne est composée des ouvrages publiés à partir du 20e s et cette doctrine moderne est en fait beaucoup plus près que ne l’est la doctrine classique de la réalité, elle fait moins de théories pures et s’oriente davantage vers la pratique

l'interprétation des textes. → Première école, celle de l'Exégèse : c'est l'étude approfondie d'un texte. Elle vient surtout des textes religieux. A partir du texte, de la lettre du texte, l'interprète essaye de tirer une règle. C'est la méthode exégétique. On la retrouve notamment en droit musulman où les juristes doivent s'appuyer le coran s'emploient à interpréter le texte. En droit, cette école est née après la codification du droit civil (1804). Comme son nom l'indique, le but est de dégager

courants. Ces différentes écoles sont apparues les unes après les autres. 1. 1804 - 1840. C’est la période de l’Ecole de l’exégèse. On peut résumer cette école par sa devise « les textes seuls ». Le rôle consiste seulement à se livrer à une interprétation littérale et presque grammaticale des textes. 2. 1840 - 1880. C’est l’époque de l’Ecole dogmatique. Cette école a pour devise « les textes avant tout ». Le rôle des auteurs est de chercher à synthétiser les règles de droit particulières

définit comme un ensemble ordonné de manière logique de principes, de règles, d'étapes permettant de parvenir à un résultat14. De la multitude de méthodes existantes, la méthode exégétique et celle stratégique ont été retenues ici. La première, exégétique, est une méthode des sciences sociales qui consiste à faire une interprétation des textes juridiques dont le sens et la portée sont obscurs ou sujets à discussion. Elle se fonde sur l'étude de documents. Cette méthode a la particularité de permettre la

et de cours. Les tribunaux sont inférieurs aux cours et donc les décisions des tribunaux sont inférieures à celles des cours. Le jugement exprime la conviction des tribunaux à propos des éléments de loi, de l’objet du litige et donne sa propre interprétation de la règle de droit qu’il applique. Le jugement peut être contesté et renvoyé devant la CA. La décision de la CA fixe et arrête définitivement la situation de faits des partis au litige. Le point de vue juridique de la CA peut être contesté

étatique, mais à des personnes privées appeler arbitre qui peuvent également statuer comme amiable compositeur. C) l’équité a l’initiative du juge Le travail du juge, implique très souvent un appelle à l'équité lorsqu'il est en présence de deux interprétations possibles d'un texte ce juge peut retenir celle qui parait le plus proche ou bien celle qui lui parait plus équitable. C’est ce que le juge fait le plus souvent. Le juge n'est pas un machine de syllogisme le juge avec sa connaissance du droit