L Ironie Chez Proust

pieds) Puis viendront les romans de Chrétiens de Troyes dont la plupart traitent de la Matière de Bretagne ➜ héros exemplaires - au XVIe siècle, le roman prend des formes différentes : écrit en prose, variant les registres de langue, provoquant le rire chez Rabelais avec Pantagruel et Gargantua - On fait naître le roman dans sa définition actuelle au XVIIe siècle avec La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette : le cadre n’est plus fictif ni mythique mais s’appuie sur le réel, la cour du roi de France

apostrophes et interjections. Auteurs : Eschyle, Sophocle, Euripide (auteurs grecs), Sénèque (auteur latin), Corneille, Racine, Musset, Ionesco, Beckett…. Un registre pathétique (la souffrance d’un être faible confronté à la violence et suscite la pitié chez le lecteur.) Les genres de prédilection sont la tragédie et le mélodrame. Indices : champ lexical de la souffrance ; métaphore, hyperboles ; ponctuation expressive : phrases exclamative et interrogative ; interjection. Auteurs : les auteurs romantiques

car il y a peu d'intrigues, de rebondissements. Projets qui se ressemblent Mme Bovary et Un Cœur Simple, sous des formes différentes. Le credo esthétique associé ou réduit à celui des réalistes La publication de Mme B ne marque pas une rupture chez Flaubert (romantique → réaliste) car Salambô est l'anti Mme B, il retrace l'antiquité : réaction à Mme B, œuvre romanesque, lyrique. Il ne se croit pas réaliste, Reproduction de la réalité le dégoûte : « haine du réalisme ». Il ne se revendique ni

pleurait si fort” (172). Elle est bien heureuse que ses demi-sœurs soient méchantes sinon, elle ne pourrait pas avoir de robe “merveilleuse” (175). Réflexions * Deux thèmes : Des éléments raisonnables dans un monde magique Blague aristocratie : ironie dans la raison sur le dos des femmes (satire = rupture entre la raison et le merveilleux) => Les femmes n’ont rien à dire à leur mari mais à leur amant Pourquoi des paysans? => Alibi littéraire pour dire quelque chose aux aristocrates et pour

à la scène présentée fait recours à deux moyens, l’ironie et la focalisation interne dans une narration à la troisième personne : 1. L’attitude ironique du narrateur peut être plus ou moins évidente au cours de la narration. La cible de cette ironie est souvent Emma elle-même, vers laquelle Flaubert montre parfois une certaine cruauté ; dans d’autres cas, l’ironie est engendrée par le moyen d’une simple juxtaposition antithétique. C’est ce qui arrive dans le chapitre des comices (deuxième partie

le fer pour le glaive). Les figures correspondent à des tours de discours où la pensée exprimée diffère de sa représentation usuelle (ex. : la litote, l' hyperbole, etc.). La distinction entre les tropes et les figures n' pas toujours nette, me^me chez les auteurs est classiques. (iv)la convenance (decorum) consiste à approprier le style à son objet. Pour ce faire, il faut tenir compte : (a) du sujet (procès d' homme public, affaire privée, simple arbitrage, etc.) ; un (b) de l' auditoire (le sénat

ainsi peut-on voir dans son attitude quelque chose de quasiment histrionesque le terme pose ainsi que la succession de propositions juxtaposes qui peignent son attitude il cambra sa taille, frisa sa moustache () et jeta suggrent une attitude tudie chez quelquun qui est conscient de son pouvoir de sduction. ( Le narrateur ( et sans doute lauteur) samuse signaler les dcalages dans son attitude ainsi oppose-t-il le chapeau dfraichi et la superbe de son comportement il avait lair de toujours dfier

payer... La permanence d'Épicure et de Sénèque A. de Botton réquisitionne lui aussi les philosophes, notamment de l'Antiquité, pour nous aider à surmonter certaines difficultés de l'existence, mais de façon plus convaincante. L'auteur de Comment Proust peut changer votre vie (Denoël, 1997) nous explique maintenant, en nous contant le courage de Socrate face à son injuste condamnation, comment cet exemple peut nous aider si par malheur nous sommes impopulaires, ou comment il faut nous tourner vers

Louis-Ferdinand CELINE        - Auteur : Louis-Ferdinand CELINE        - Bio : Louis Ferdinand Auguste Destouches, Céline, est né le 27 mai 1894 à Courbevoie. Il est l'un des écrivains français les plus traduits et diffusés dans le monde, après Marcel Proust. Son œuvre est toutefois l'objet régulier de polémiques violentes, en raison de son antisémitisme haineux. Toutefois, son écriture particulière, son réalisme et son style en ont fait un écrivain très important. Son premier roman, Voyage au bout de

train de regarder Mme Arnoux (tous les passages sur les sentiments et les émotions qui envahissent Frédéric lors de cette contemplation) le trucage narratif : le narrateur regarde aussi Frédéric en train de regarder. Ce trucage narratif est récurrent chez Flaubert, et traduit l’adhésion jamais réalisée entre l’auteur et le personnage. Etudier la structure du texte à partir de ce dédoublement du regard, et donc de la voix. B/ La sidération l’éclat, la lumière, le silence : le « numineux ». Cf. le dernier