L Ironie Chez Proust

''L'école de Châteaubriant à Proust'' Il est des noms que l'on ne peut oublier et qui restent dans les mémoires. Châteaubriant, Baudelaire, Zola... ces illustres écrivains sont réunis ici et nous permettent de mieux comprendre quelles ont été les grandes représentations de l'école au XIXème siècle. En réunissant ces extraits d'oeuvres, Jérôme Leroy souhaite s'écarter des visions caricaturales, trop idylliques ou trop sombres, livrant ainsi au lecteur l'image réelle de l'école à cette époque.

récit……………………………………………………6-7 d) L’espace du récit………………………………………………….…...7 La conclusion La bibliographie INTRODUCTION Présentation de l’oeuvre : A la recherche du temps perdu, est un roman de Marcel Proust écrit entre 1908 et 1922. C’est le seul roman que Proust ait livré à l’impression et dont la publication s’étend de 1913 à 1927. Cette œuvre gigantesque constitue des choses personnelles que, pourtant, tout le monde a vécu un jour où l’autre. C’est aussi une ouverture au Nouveau

         Drøbak, le jeudi 30 octobre 2014  Monsieur Proust, Je vous écris à la suite de la lecture de votre roman Un amour de Swann extrait de l’ensemble que vous avez intitulé Du côté de chez Swann. J’ai énormément apprécié lire ce récit tant par la beauté  de votre style si singulier que par la façon dont vous racontez la jeunesse de Charles Swann et sa passion amoureuse pour Odette. Vous avez une manière d'écrire inhabituelle et je me suis coulée avec délice dans vos longues phrases

Proust pensait que l’homme ne montrait que son « moi superficiel » à autrui, le masque social qu’il se fabriquait. Dans cet extrait d’ « Un amour de Swann », il fait une longue description de Mme Verdurin et son salon, où il illustre ce « moi superficiel », derrière lequel la protagoniste se protège, et qu’elle utilise pour grimper l’échelle sociale. Il est alors intéressant de nous demander par quels procédés, à travers le portrait caricatural de la bourgeoise Mme Verdurin, Proust met en scène ce

narrateur dans Un amour de Swann de Proust. Tout lecteur attentif de La recherche du temps perdu de Proust pourra remarquer trois éléments caractéristiques de l’œuvre. Il sera tout d’abord étonné et peut-être même déconcerté par la longueur et la complexité des phrases. Il aura également l’impression de voir évoluer des personnages à la fois très marqués et très mystérieux. Il notera enfin que le narrateur Marcel présente des similitudes avec l’auteur Marcel Proust. Ces considérations classiques

est la première partie du roman fleuve A la recherche du temps perdu dans le premier tome Du côté de chez Swann. Le narrateur à l’âge mûr nous raconte des souvenirs d’enfance. C’est l’histoire d’une vocation d’écrivain et c’est le récit de nombreuses histoires. Proust était déjà relativement connu par ses articles de journaux. Le titre général ne s’accompagne d’aucune référence au genre. Proust lui-même n’a rien voulu annoncer. Il s’est toujours défendu d’avoir écrit une autobiographie. Quant au

1ES3 Français : fiche de lecture Un amour de Swann, Marcel Proust Un amour de Swann, Marcel Proust Seconde Partie du roman Du Côté de chez Swann, premier volume de A la recherche du temps perdu, Un amour de Swann est publié en 1913 aux éditions Grasset. Biographie : Marcel Proust naît en 1871 à Auteuil d’une famille de la grande bourgeoisie. Après quelques années d’étude de Droit, il se consacre à l’étude de la

après ) --> Bergson est le philosophe du temps, de la reflexion sur le temps Ex : Matière et Mémoire L'Evolution créative --> Les romans s'inspirent de cette philosophie, de cette reflexion du temps Ex : A La Recherche du temps perdu de Proust --> il y a aussi une reflexion sistématique de la langue, la linguistique ( Théorie du signe ) Ex : Ferdinan de Saussure : Cours de linguistique générale . --> Période de la nouvelle discipline : Invention de la psycanalise par Freud ( complexe

Qst° des formes de l’intrusion de l’A ds le texte : extrêmement nombreuses, directes et indirectes. Pas d’exp ds notre prog aussi évidentes que celle de Stendhal qui dialogue av le lecteur ou s’interroger sur son psge. Diderot aussi. * L’ironie chez Flaubert : Pbtq posée par défaut puisque le dogme de l’absence de A ds son œuvre érigée en dogme par Flaubert. Pas intervention de l’auteur aussi absent que Dieu ds sa création. Dogme de l’impassibilité. Ms effets innombrables de l’ironie, formes

créent l’atmosphère si typiquement nervalienne. Les meilleures explications sont celles qui savent user d’instruments d’analyse précis et opérants : problèmes de l’énonciation chez Vallès, analyse exacte du fonctionnement de l’ironie chez Voltaire, nuances du comique chez La Fontaine (parodie, burlesque, héroï-comique, ironie, stratégies de leurre…). Un vocabulaire d’analyse précis se révèle donc indispensable, qu’il appartienne à la rhétorique, à la linguistique, à la stylistique, voire à la philosophie