L Obéissance Est Elle Compatible Avec La Liberté

A certaines périodes de l'histoire, plus rarement aujourd'hui, des hommes se sont cru le droit d'aliéner la liberté d'autrui, en achetant ou en vendant d'autres hommes comme esclaves. Une telle pratique consiste à faire de l'autre sa propriété, comme s'il était une simple marchandise. Cela revient à le dépouiller de son humanité si, comme le dit Rousseau, "renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme". Il y eut même des philosophes, comme Aristote, pour justifier l'esclavage en expliquant

pour accéder à la Liberté. En faite, il faut dépasser la Liberté Primitive pour atteindre la Liberté Sociale (cf : aussi Rousseau). Il faut passer du possible / impossible → permis / non permis. Elle est donc le moment négatif, parce que nous sommes soumis à des règles. Pourtant moment nécessaire pour accéder à l'humanité. La discipline pour se donner un plan de conduite. Le but est d'apprendre à se soumettre à la loi de la raison. L'homme possède la Liberté et la Raison. Il doit

destruction de la nature(agriculture) ayant un retour sur l’être humain (risque de destruction de l’humanité) => exigence de buts et moyens compatibles avec un avenir sur terre (2013) Pblm du travail : organisation du travail n’est-elle pas une instrumentalisation, une exploitation de l’être humain ? Marx : le travail est-il une aliénation ( perte de liberté, perte de l’humanité) => Idéal de justice dans le travail. Pblm échange : l’échange sous-entend l’égalité. Activité intentionnelle et

Introduction générale : La sociologie : discipline récente XXe siècle (1913). > En 1789 : les fondements de l’ordre social ne sont plus pensés par les individus comme le fruit de la volonté divine. En 1848 : Objet de la question sociale est de rendre compatibles démocratie et capitalisme. Au départ, discipline liée à la philo. Jusqu’en 50, où licence a été créée à l’initiative de R. Aron. En France, 800 chercheurs en socio La sociologie : Mise en évidence des contraintes sociales qui pèsent sur

Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche des Docteurs de l’Eglise – – Augustin : le libre arbitre est nécessaire pour comprendre le péché tout en dédouanant Dieu Thomas d’Aquin : le libre arbitre est nécessaire pour sauvegarder la responsabilité morale Les libertés Le problème du libre arbitre ● L’approche moderne de Descartes ● La raison et la volonté est la cause du libre arbitre. L’action libre est une action autogérée. Le pouvoir de juger suppose que le sujet

comme l'élu de Dieux sur Terre. C'est un roi de « droit divin ». L'église et le roi sont alliés, il existe un soutiens entre eux. La religion catholique est la religion d'État donc seul ce culte est autorisé. En France avant 1789, il n'y a pas de liberté des cultes : interdictions de pratiquer des cultes différents a celui déjà mis en place, interdiction de posséder certaines terres → parallèle avec l'édit de Nantes. Définition → Clergé : Ensemble des ecclésiastique qui sont rattachés a une Église

bénéficient à ce titre de droits et de libertés fondamentales. -ces droits et ces libertés ne leur sont pas toujours applicables comme ils le seraient à des citoyens ordinaires et donnent lieu à des régimes dérogatoires spécifiques. La jurisprudence a plutôt tendance à considérer les fonctionnaires comme des citoyens spéciaux (ce qui rejoint la thèse de monsieur Hauriou). Depuis plus de vingt ans, elle a précisé le cadre juridique des droits et des libertés des fonctionnaires exprimés par le statut

que nous croyons un être : le rapport à autrui est réduit au minimum. Le stoïcien considère que chacun doit accomplir son devoir, jouer son rôle du mieux possible dans une pièce de théâtre dont nous ne sommes pas l’auteur. Le stoïcisme semble compatible avec la politique, mais c’est sans égard à quelque chose d’extérieur : le stoïcien est libre sur le trône comme dans les chaînes (Epictète et Marc-Aurèle). Le stoïcien est citoyen du monde, de la Cité gouverné par la providence divine. Il est ainsi

assuré du fait qu’un plus fort ou qu’un plus rusé que lui lui impose sa propre justice ? Et n’en va-t-il pas de même pour ce dernier ? « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maitre, s’il ne transforme sa force en droit et son obéissance en devoir...» nous dit Rousseau dans le Contrat social (L1). De sorte que la justice du plus fort apparait bien plutôt comme une justice irréalisable et donc illusoire. Si l’on veut établir une justice véritable, ne faut-il pas alors plutôt fonder

liberté5 ; parce qu’on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques, pour les exécuter tyranniquement. Il n’y a point encore de liberté, si la puissance de juger n’est pas séparée de la puissance législative et de l’exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire ; car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d’un oppresseur