L'Oppression

différente des deux autres genres. La littératurepermet également d’agir, de critiquer et de s’opposer au pouvoir, ainsi la philosophie des Lumières a participé à la remise en cause des mentalités, de même la parole poétique a fédéré uneopposition à l’oppression nazie durant la Seconde guerre mondiale. Enfin Victor Hugo se sert de la littérature comme vecteur de combat contre le pouvoir. L’apologue est un genre littéraire à l’intentionmoralisatrice, souvent sous forme de fables ou de contes philosophiques

retrouvent parfois en danger. Si ces pouvoirs éprouvent le besoin de se protéger de la littérature engagée, cela signifie qu’elle a une énorme influence. La littérature engagée est le moyen intellectuel en possession des auteurs pour lutter contre l’oppression en défendant des droits fondamentaux comme la liberté, l’égalité et la tolérance. Elle peut dénoncer des crimes ou des complots : avec l’Archipel du Goulag publié en 1974, l’auteur engagé russe Alexandre Soljenitsyne dénonce au monde entier le

traits essentiels de la justice : son impartialité et sa stabilité (l’image de la balance). Or ce sont aussi les caractères de la Justice de Dieu. La justice humaine elle est donc partiale et arbitraire. Bien plus, elle ne fait souvent que justifier l’oppression et l’injustice. « La force a contredit la justice et a dit que c’était elle qui était juste. Et si, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste ». Toute justice humaine donc injuste ; il lui suffit d’être

dernière réunion des états géneraux en 1614 jusqu'à la suivante en 1789. Présence de plus en plus affirmée de l'État. XVIIe s: réformes XVIIIe s: Montesquieu, séparation des pouvoirs pr la fin de l'oppression, mouvements des encyclopédistes, lutte contre le dogmatisme religieux, contre l'oppression politique, Rousseau "Le contrat social" conception rigoureuse de la démocratie totale ---> agitation des idées Création des Etats Unis : aidée par la monarchie française, c'est un système républicain

meilleur (la liberté) ou pour le pire (l’oppression). Le défi relevé par Tocqueville consiste à déterminer à quelles conditions, dans une société, l’égalité pourrait coexister avec la liberté, c’est-à-dire à quelles conditions les hommes pourraient être à la fois libres et égaux. Tocqueville est en un sens un « pessimiste » : il ne croit pas que le développement de l’égalité des conditions va, de lui-même et nécessairement, saper les bases de l’oppression politique. Au contraire, il pense que la

des années 1980, Batalla analyse la résistance des ‘Indiens qui font face à une oppression culturelle et civilisatrice et pas uniquement un conflit économique. Par cela, nous observons que l’oppression était dirigée directement sur l’identité des indigènes. Par rapport à l’analyse de Batalla sur l’oppression culturelle et la résistance des Indiens, selon Viqueira, la colonisation n’a pas eu le même effet partout et pas de manière uniforme. En revanche, il n’est pas d’accord avec l’idée qui dit

Clémenceau tient face à la colonisation. Dans ce texte, Georges Clémenceau parle d’un cout humain trop élevé : « Regardez l’histoire de la conquête de ces peuples que vous dites barbares et vous y verrez la violence, tous les crimes déchainés, l’oppression, le sang coulant à flots, le faible opprimé, tyrannisé par le vainqueur ! » Il nous parle d’un monde sanglant, basé sur la loi du plus fort. »La conquête que vous préconisez, c’est l’abus pur et simple de la force que donne la civilisation scientifique

rire pour séduire. Le rire est souvent un rire contre autrui il peut être moqueur « Battez-moi plutôt, et me laissez rire tout mon soûl ! » (Molière, Le Bourgeois gentilhomme) : rire peut servir de moyen de défense contre les atteintes et l'oppression il offre un refuge salutaire à l'individu qui un jour a besoin de mettre une barrière entre le monde et lui. Savoir rire de soi, accepter qu'on rie de soi, ne serait-ce pas autant de promesses d'une vie sociale apaisée ? le rire est bon pour

parler de l’influence qu’a le protectorat sur le peuple, ils dénoncent une réalité importante qui cause du mal aux classes inférieures. Cela est le cas dans les romans “Les Misérables“, “En rouge et noir“ et “Salambo“. Les auteurs parlent de l’oppression qu’exerce la classe riche sur le peuple. A leur époque, les soldats et les riches avaient beaucoup plus de pouvoir que le peuple. Les paysans étaient détruits petit à petit par le protectorat mais ils ne réagissaient pas. Victor Hugo a très bien

l’homme est supérieur car il est // doté d’une âme ce qui lui donne le statut de sujet, tandis que l’animal n’est qu’un objet inexistant. Toutefois, M.Serre y voit une relation de complémentarité .Or le rapport actuel est basé sur la domination, l’oppression et le non respect de la nature généreuse à // notre égard. Généreuse certes, mais elle peut être nocive aussi !ce qui remet en question la valeur intrinsèque que lui attribue M.Serre, ainsi L.Ferry trouve que la valeur de la nature dépend du type