L Orgueil Defaut De L Humain

I- La fonction du rire Le rire à plusieurs fonction selon Voltaire c’est un état physique que tout être humain possède . Le rire permet aussi de dénoncer comme le montre et le document 2 et l’image inconograhique. Le rire est présent dans toutes les époques cependant c’elle-ci est intéreptré différemment. Selon Voltaire l’homme est le seul animal qui rit et qui pleure, il va même à dire que l’homme est un animal orgueilleux de se faite il emploi un rire malin qui est la joie de l’humiliation

soleil. Par la suite ces métaux ont été associés à un des 7 péchés capitaux. Plomb = Saturne = avarice Etain = Jupiter = gourmandise fer = Mars = colère cuivre = Vénus = luxure mercure = Mercure = envie Argent = Lune = paresse or = Soleil = orgueil Notons que la préhistoire classe une partie de l'évolution de l'homme par les métaux. Apres l’âge de pierre, l’homme passe par différent âge métallique. L’âge de cuivre, puis traversant l'âge du bronze pour finir par l'âge du fer. Ensuite commence

excessive). Il fait parti des courtisans. Renard : conforme à la tradition du roman de renard : intelligence et dissimulation 2) Parallélisme entre le monde animal et le monde humain     Les animaux sont personnifiés (narine, mine, grimace, flatteur, rhume, odorat, vocabulaire de la monarchie). La Fontaine utilise des mots humains pour caractériser les animaux.-> La Fontaine nous communique ses idées par le biais des animaux. Il évite la censure en utilisant l’argumentation indirecte. Il fait une critique

appartenant au classicisme. « Le Rat et l’Eléphant » est une fable du livre VIII de son recueil Fables, publié en 1678 dédié à Madame de Montespan, la maîtresse du roi. Dans cet apologue, deux personnages animaliers reflétant les comportements humains sont mis en avant. Un rat apercevant un éléphant partir en voyage se questionne pourquoi les personnes sont admiratives des éléments les plus imposants. Dans un premier volet d’analyse nous étudierons en quoi cet apologue se présente comme

ego, qui fait qu’il va chercher à nous faire plaisir en minimisant nos défauts ? Certes il peut être sincère, honnête. Mais pour vraiment se connaître, un ennemi, dans sa sincérité cruelle ou son indifférence à mon orgueil, ne peut-il pas être un juge plus implacable, et plus pertinent de mes actes ? Notre ami met en avant nos qualités, cependant fait-il le travail nécessaire pour que je puisse prendre conscience de mes défauts, de l’origine de mes erreurs ? C’est possible, mais ce n’est pas systématique

cette manière, il peut conférer des traits de caractère humain aux personnages qui dialoguent : la fable est une pièce de théâtre ( citer la prise de parole du tigre au vers 14 et au vers 16, puis celle du gladiateur au vers 20). On peut ainsi affirmer que le singe, qui prend l’habit du tigre, est un imposteur, un personnage fanfaron, orgueilleux et cruel comme le prouve le vers 4 mais également le vers 6 et 7 qui font transparaître son orgueil. Il parle beaucoup plus longuement que le belluaire (

livre des essais de Montaigne traitant « de la vanité ». Le mot « vanité » vient du latin « vanitas » et évoque le défaut d'une personne vaine, satisfaite d'elle même et étalant sa satisfaction (synonymes : autosatisfaction, complaisance, orgueil). Il mêle les thèmes de la vanité et du voyage : c'est le thème du voyage qui permet de mettre en avant la vanité, la légèreté de la nature humaine. Dans ce texte argumentatif, Montaigne se fonde sur son expérience personnelle du voyage (qui l'a conduit entre

mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : “ J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. ”Il sort.Extrait de : On ne Badine pas avec l’Amour - Alfred de MussetAnnonce du plan Commentaire littéraire La répartition de la parole : On remarque que c’est Perdican qui monopolise la parole alors que plus haut dans la scène, c’était

alors que lui se sent supérieur. Dans tout les cas, il est persuadé de sa supériorité. Les mots « emmanché », «longs pieds », « long bec », « long cou » (v.1-2) montre la hauteur du héron ce qui prouve son air hautain. « mais »(v.9) oppose son orgueil et la facilité qui s’offre à lui et « il crut mieux faire d’attendre »(v.9) montre que le héron fait le difficile. « il vivait de régime et mangeait à ses heures »(v.11) avertit au lecteur que le personnage se prend au sérieux. « tanches » (v.14)

n’a aucun défaut lui même, et critique l’ours, qui clame également être parfait, mais critique l’éléphant, qui critique la baleine, et ainsi de suite. C’est alors que Jupiter intervient à nouveau sous le nom de "Jupin": il aurait renvoyé les animaux, après les avoir consulté, car aucun ne s’est plaint de sa propre personne, il n'ont fait que se critiquer les uns les autres. Jupiter se rend donc compte que les animaux sont incapables de voir leurs défauts, et au contraire voient les défauts des autres