La Banque Populaire Et Le Crm

Bancassurance européenne, réseaux postaux et gouvernance patrimoniale et sociale Mots clefs : Architecture ouverte, banque postale, chargements d’acquisition et de gestion, conseils en gestion de patrimoine (CGP), progiciel de gestion intégré (PGI) solvabilité, systèmes d’épargne, prévoyance, retraite (EPR) Les bancassureurs sont devenus des acteurs incontournables du panorama financier européen. En France, quatre bancassureurs figurent dans le classement des dix premiers groupes en terme de

forestières, des arts graphiques et de l’emballage (Fifage). Pour ce dernier, l’absence de soutien des établissements financiers est un véritable obstacle. «Les banques encouragent les opérations à court terme. Or, notre secteur a besoin d’investissement structurel. L’industrie du papier est très capitalistique et demande un soutien permanent des banques pour les investissements dédiés à la rénovation et à l’augmentation de capacité» , poursuit le président de la fédération. Si bien que si un industriel

qui a pour fondement les va- leurs critiques (efficacité, coût, sécurité, rapport qualité-coût). On voit qu’il devient un client difficile à satisfaire. Or, le critère marchand est la satisfaction client. L’avenir semble être Le «social CRM» qui permet de converser de manière ludique avec la marque. Le Héros ordinaire Celui-ci s’improvise sur la toile « web-journaliste » en menant ses petites enquêtes pour diffuser et commenter à son

un lien direct entre le client et le fournisseur. Cette préoccupation a donné naissance à de nouveaux concepts à la fin des années 1990 comme la mercatique relationnelle, la mercatique individualisée ou encore la « gestion de la relation client » (CRM – Customer Relationship Management). Lorsqu’on évoque le terme « concept de fidélité », il est primordial de différencier entre fidélité absolue et relative. En effet, nous devrions accepter en premier lieu que la fidélité n’est pas nécessairement

un environnement ouvert 20 1.3.1 La montée de la criminalité informatique 20 1.3.2 Le facteur humain 20 1.3.3 La gestion des identités 21 1.3.4 Les processus de sécurisation 21 Partie 2 : MA Banque et la construction de son système d’information 23 2.1 Création d’une entreprise étendue : MA Banque 23 2.2.1 Les objectifs du partenariat 23 2.2.3 Un accord Gagnant – Gagnant 26 2.2 Mise en place d’un SI étendue : JAVEL 28 2.2.1 La construction d’un système d’information : un enjeu stratégique

d’un :1. Journal de banque : C’est un document qui indique l’ensemble des opérations (encaissement règlement…) entre la société concernée et sa banque au cours d’une période d’un mois .1. Un état de rapprochement : L’état de rapprochement indique l’ensemble des opérations effectuées et dégage les différences qui existent entre l’extrait de la banque et le journal banque établi par la société. L’état de rapprochement permet d’établir un solde par banque et d’analyser la situation

Banques Octobre 2010 / NMO/EBO 0ABF11 NAF rév.2, 2008 : 64.11Z, 64.19Z, 64.30Z, 64.92Z, 64.99Z Graphique clé Produit net bancaire (PNB) unité : % des variations annuelles en valeur Prévisions Xerfi / Source : Commission Bancaire (données historiques) 30% 25% 20% 15% 10% 20,0% Prévisions 2011 Evolution du PNB Contexte financier Croissance du PIB +8,0%  +0,8% 8,0% 5% 0% -5% -10% -15% -20% 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010p 2011p Tendances 2010 (*) Evolution du PNB PNB banque

l’entreprise. Cette particularité fait qu’à chaque client correspond un service particulier et personnalisé. Tout cela favorise l’utilisation du marketing relationnel. B. les logiciels de la gestion de la relation client « les logiciels de GRC » ( CRM = GRC en anglais), custommers Relationship manager. Ils sont issus du développement des bases de données et d’un besoin d’optimiser la démarche commerciale pour aller vers + d’efficacité et 1e + grande personnalisation du contact commercial. L’adoption

UA VA Pour comprendre le CRM……………………………………………..…..…68 Les trois parties du CRM………………………………………………...78 bÑ°Ütà|ÉÇÇxÄ M Äx àÜt|àxÅxÇà wx Ät vÉÅÅtÇwx‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹A‹AJL TÇtÄçà|Öâx M utá° áâÜ Äx w°v|á|ÉÇÇxÄ‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹AA‹‹JL `âÄà|vtÇtÄ xà vÉÄÄtuÉÜtà|y M |ÇàxÜtvà|ÉÇ täxv Äx vÄ|xÇà õ àÜtäxÜá àÉâá Äxá vtÇtâå ÑÉáá|uÄxá‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹‹AAKC III. Secteurs d’application………………………………………………..……………80 IV. V. TA UA VA WA XA YA ZA Pourquoi le CRM……………………………………………….….…………….81

profil des magasins populaires   Un magasin populaire est un magasin de détail à rayons multiples d’une surface moyenne de 1500 m2 vendant en libre-service ou en présélection un assortiment large et peu profond d’articles de consommation courante. En plus des secteurs textiles et bazar, le magasin populaire offre généralement des rayons alimentaires, qui selon leur surface peuvent constituer un supermarché intégré. Implanté le plus souvent en centre-ville, le magasin populaire n’est pas un discounter