La Bientraitance Educateur Specialise

réflexions terminologiques Une histoire récente La structure juridique Un travail collectif : un groupe d’adultes face à un groupe d’enfants Le personnel de la petite enfance à Genève et la formation professionnelle Les personnes formées : Educatrices/Educateurs du jeune enfant Les personnes sans formation reconnue dans le domaine de la petite enfance : Auxiliaires Aides 7 13 15 17 17 19 21 23 23 24 26 27 28 29 32 33 34 34 34 35 3 MARIANNE ZOGMAL LES FINALITES PEDAGOGIQUES EN CRECHE ET LA

aux types de risques psychoprofessionnels. L’attractivité et la fidélisation dépendent de la bientraitance des usagers mise en place dans les organisations. Cette bientraitance repose sur la capacité des cadres de proximité à mobilier et à développer les compétences de leurs salariés, les outils mis à leur disposition et de la qualité de l’accompagnement du salarié. Bientraitance de l’usager et bientraitance des salariés sont interdépendantes. Les favoriser et les développer permet aux entreprises

rendre complémentaires. Cette évolution méthodologique a aujourd’hui des conséquences sur l’ensemble de l’animation et introduit des possibilités accrues de coopérations avec d’autres professionnels comme ceux de la filière éducative (AMP, éducateurs spécialisés etc…) et des soignants. Le GAG a toujours considéré qu’il était un regroupement d’animateurs et d’associations d’animateurs et qu’il n’avait pas toutes les compétences. Adoptant le fonctionnement classique d’une association (président, trésorier

pour leurs précieux conseils et leurs encouragements tout au long de cette formation. Je remercie également toute l’équipe soignante de la résidence “Mariemont Village” : Madame Dicensi Mélina, Infirmières, Aides-soignantes, Kinésithérapeutes, Educateurs et Logopède pour la richesse des échanges que j’ai eus avec eux, le temps qu’ils m’ont consacré et de m’avoir transmis leurs savoir-faire pendant mes stages, ainsi que tous les résidents qui ont fait partie intégrante de mon apprentissage.

(informelle) propre aux sociétés, mais aussi aux organisations, aux professions, aux individus en fonction de leur parcours. Ainsi, un commercial dans une société informatique ne définira pas de la même manière le bien-être au travail qu’un éducateur spécialisé dans un IEM. C’est pourquoi les spécificités professionnelles doivent être connues et prises en compte dans le cadre d’une démarche d’action sur les risques psychosociaux. C’est également pourquoi il nous est apparu important de donner des

orientations différenciées ? 452 4 Conclusion : la division socio-sexuée des savoirs et du travail 454 CINQUIÈME PARTIE APPROCHES POLITIQUES, PHILOSOPHIQUES ET THÉORIQUES DE L’ÉDUCATION 457 38 État et éducation (C. Lelièvre) 459 1 Un État éducateur et centralisateur 459 2 La mise en place d’une administration publique 461 3 La question de la laïcité : public/privé 464 TABLE DES MATIÈRES XIII 39 Groupes d’intérêt et politiques de l’éducation (A. D. Robert) 469 1 Syndicats, identités

les contraintes engendrées pour l’ensemble de la famille par leur frère ou sœur polyhandicapé ? La vie en établissement ou la vie avec l’établissement médico-social Lorsque la famille fait le choix de confier son enfant à un établissement spécialisé, là aussi, la situation elle-même met toute la famille en position de vulnérabilité extrême. Le manque de places en structures spécialisées et donc de choix pour la famille ne fait qu’empirer la situation. Il me semble indispensable de travailler

pré-orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . > Les unités d’évaluation de réentraînement et d’orientation sociale et professionnelle (UEROS) . . . . > L’AGEFIPH . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > Les appuis spécialisés pour les personnes sourdes . . . . a Le maintien dans l’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > La visite de pré-reprise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > L’inaptitude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

parcours professionnels des usagers selon leurs souhaits et capacités, on assiste à un effacement partiel de cette dichotomie. Dans ce modèle d’organisation, les fonctions d’éducateur et de moniteur d’atelier sont beaucoup plus décloisonnées. Les éducateurs spécialisés prennent ainsi part au processus d’adaptation des postes, rôle d’habitude dévolu aux moniteurs d’atelier. A l’inverse, ces derniers sont beaucoup plus impliqués dans le processus d’accompagnement des usagers dans la construction de leur projet

place dans un deuxième temps ; dans le service de dermatologie le groupe de paroles est possible à mettre en place. L’absentéisme est constaté dans tous les cas. Le turn-over également sauf dans les deux services d’anesthésie où les personnels sont spécialisés et ont donc peu de facilité de mobilité. 45 5. La problématique Il y a quelques années j’ai accepté un poste d’infirmière en Maison de Retraite. J’y ai passé une grande partie de ma carrière professionnelle en y prenant la responsabilité