La Bêtise Humaine

litteraire du 16 eme siecle mettant l’homme au centre du monde et considere que tout homme est detenteur d’un potentiel intelectuel important . La vulgarisation du savoir permet donc l’epanouissement de ce dernier. Carateristiques : - Foi en valeurs humaines Foi en la société Foi dans le progrès ( en tout genre) L’homme renvique desormais son idendité propre ,ses opinions il n’est plus faible ( simple créature) Et reclame une defense de ses droits fondamentaux Symbole : Homme de Vitruve de

porte un regard critique et ironique sur son personnage apparaissant comme le symbole de la bêtise humaine et étant ridiculisé par sa description physique et mentale, puis par son comportement et ses réactions. Tout au long de l’extrait, le personnage est rabaissé et humilié. À défaut de pouvoir rendre toute la réalité, l’idéalisme n’a pas sa place dans un monde où triomphent les intérêts mesquins et la bêtise.

connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans La Femme de trente ans en 1831. C'est en sa mémoire que Flaubert a sous-titré l'œuvre mœurs de province, faisant référence à la nomenclature de la Comédie humaine. Emma Rouault est la fille du riche fermier M. Rouault. Elle est élevée dans un couvent. Elle rêve d'une vie mondaine. Elle devient l'épouse de Charles Bovary, qui malgré des études de médecine est un simple officier de santé.. Emma est déçue

sa conquête du bonheur et de sa destinée. Ces obstacles qu'il doit à chaque fois surmonter le conduisent à réagir en homme de raison pure et de logique. En contrant le merveilleux, Zadig (et par là même Voltaire) démontre d'une façon cinglante, la bêtise de la superstition. En voici un exemple probant. Le seigneur Ogul, souffrant d'obésité, s'est vu prescrire par son médecin un basilic cuit dans de l'eau de rose. Ogul fait rechercher par ses esclaves femmes ce basilic, animal merveilleux qui pourra

revendique la lecture de la Bible dans le texte et même d’être capable de commenter le texte. Inversion vision valorisante des Anglais => Beaucoup plus intellectuels. L’abbé avoue lui même ne pas toujours comprendre ce qu’il lit (l.28) => signe de bêtise intellectuel et absence de curiosité intellectuelle. II ) la critique du chauvinisme (ex : la France est meilleur que tout) Français : Les personnages font des français des êtres supérieurs (l.10) : pas né en France donc pas de sens communs

par le fait d’avoir des frères et sœurs plus grands, nous sommes considérés en fonction d’eux. Nous sommes la sœur de celle qui fait des bêtises et donc nous ne valons pas mieux qu’elle ! » « Certains profs accordent plus de temps aux très bons élèves qu’aux moins bons. » « Je trouve injuste que certains élèves soient catalogués dès le début. J’ai fait des bêtises en début d’année et maintenant, même avec une vraie excuse, les professeurs ne me croient pas. » Je pense qu’il est plus motivant pour

Lignes 91-92 : Il a un bon esprit. On peut se demander si ce portrait ne fait pas celui d’un philosophe des Lumières. Micromégas est sans doute l’illustration de certaines valeurs importantes pour les Lumières, l’ouverture intellectuelle et humaine. III – Une dénonciation du monde réel. a) La confusion réalité-imaginaire. Le narrateur a commencé son histoire comme un conte avec des personnages et des lieux imaginaires. Mais Voltaire s’amuse à faire des références de notre monde : pays

philosophique. II. Une virulente critique mise en place grâce à la caricature L'univers du conte est détourné et mis au service d'une critique philosophique. Les personnages sont caricaturés afin de mettre en exergue leurs défauts ou bêtises. Pour faire ressortir la bêtise et la pédanterie du discours de Leibniz, il abuse de connecteurs logique comme aussi, et, si, donc, car… La "métaphysico-théologo-cosmonigologie" (nigaud) blâme l'enseignement de Pangloss donc celui de Leibniz. Voltaire sort les

s'éveille à l'amour * Horace = le jeune étourdi * Arnolphe= le barbon monomane. Un barbon est un vieil homme amoureux d'une jeune fille qui ne l'aime pas. Il est monomane, il a la folie de la possession. C'est un pervers qui dénature un être humain pour le rendre esclave de son désir et de sa volonté. (III,2, 679-685) Agnès : C’est un personnage en évolution, elle passe de la jeune  gourde à la femme émancipée. Explicable certes par sa naissance qui l’a dotée d’intelligence, par son

attraper les êtres humains d'en bas, ils avaient de grandes jambes pour piétiner les maisons, les forêts de mes protégés et ils avaient aussi de grands yeux pour observer ce qui devront terroriser. Je vous dis touts ces détails pour que vous comprenez qu'ils sont gigantesque tellement immense qu'ils ne voient qu'eux, mais moi je suis différent je suis petit mais grand d'esprit, je suis petit mais gentil,  mais c'est sûrement ma petitesse qui me rend si aimable avec mes amis les êtres humains. Revenons !