La Bêtise Humaine

qui s'impose aux hommes et qui les dépassent. Cependant Giraudoux n'écarte pas la responsabilité des hommes ; il souligne le rôle de la bêtise humaine dans la montée de la haine et le déclenchement des conflits ( Cassandre dit : je ne vois rien Andromaque, je ne prévois rien, je tiens seulement de deux bêtises, celle des hommes et celle des éléments ). La bêtise des hommes c'est : le fanatisme incarné par Démokos, le chauvinisme ou le nationalisme incarnés par les vieillards et Démokos, la xénophobie

professionnelle « contamine » leur vie privée), signe qu’ils sont soupçonneux à l’égard d’autrui (comique de dérision) .même métier .mêmes pensées qui traduisent leur lassitude de tout (champ lexical de la fatigue et de l’accablement l. 40-41) et leur bêtise (ils s’expriment par idées reçues l.24, 40). Noter que ce roman devait servir de préface au Dictionnaire des idées reçues qui ne sera publié qu’en 1911. Conclusion : B et P sont des marionnettes entre les mains du narrateur, des personnages de farce

qui montrent des enfants blessés, la plupart du temps sur les photos c’est des soldats morts ou blessés ou vainqueur. Je l’ai choisis également car elle me touchait, ces enfants terrifiés, terrorisés. Cela montre toute l’horreur de la guerre et la bêtise des chefs d’états, eux n’on aucun contact avec la guerre, ils dirigent, alors que les enfants, les femmes, eux n’ont strictement rien demandés, ils ne sont pour rien dans l’horreur qui se déroule devant leur yeux, ils sont impuissants et innocents

mathématique ». (l 19 et 20) champ lexical des mathématiques : « mesurent, calculant, clepsydres » (horloge à eau fonctionnant sur le principe d’écoulement régulier de temps), « petites formules, table mathématique ». Erasme met l’accent sur la bêtise humaine et l’incroyance de ces personnes. En effet, elles passent leur temps à calculer leur temps de purgatoire après leur mort : énumération avec gradation descendante : « calculant sans la moindre erreur siècles, années, mois, heures ». (l 19 et 20)

dans l'alcool et préfère certainement rester fixer sur le problème au lieu de l'accepter et de penser à autre chose. Personnalité : Il déteste la bêtise humaine, c'est un homme direct, il a une tête dure. Il doit toujours faire à sa tête même s'il le sait que ce n'est pas correcte. Il est surprotecteur. Il est très intelligent. p. 33: bêtise jacassante et militant- p.244 : les ectoplaasmes qui se prennent pour des cerveaux -p.390 p.64-p.417: Grande intolérance p.66: surprotection vis-a-vis

Zola et Maupassant. >HISTORIQUE DU MOT Le terme de réalisme désigne depuis longtemps la tendance à reproduire le réel en art. Mais au XIX° siècle, il devient un courant organisé qui se donne pour mission de comprendre les comportements humains et les fonctionnements sociaux. Et quand, avec Zola, il cherche à le faire avec une rigueur proche des sciences éxperimentales, il devient le NATURALISME. >L'ORIGINE DU MOUVEMENT Il veut rompre avec un certain romantisme qui cultive trop

l'anti-sémitisme, à la bêtise et à la cruauté humaine, sinistre présage à l'aube d'un siècle qui, certes, a vu bien pire. Et 65 ans plus tard, alors qu'il est devenu un romancier reconnu, auteur de "Belle-du-Seigneur", pour tenir sa promesse à l'enfant de dix ans qu'il fut, errant seul et perdu dans les rues de Marseille, il écrit "Ô vous, frères humains", dont il emprunte le titre à François Villon, sans aucun espoir que ce livre change quoi que ce soit à cette étrange espèce qui se dit humaine... Et il l'écrit

culture par le fascismeDivision entre les artistes : les collaborateurs et les résistants pendant l’occupation de la FranceAdhésion de plusieurs intellectuels au Parti communisteContexte idéologiquePhilosophieInfluence de Kierkegaard : l’existence humaine est remplie de contradictions qui suscitent l’angoisse sans qu’il y ait de loi générale pour expliquer le rôle de l’homme. Conscience de la condition absurde de l’homme comme premier pas dans l’affirmation de sa réalité existentielle Exercice 3.2Note

place dans un monde où triomphent les intérêts mesquins et la bêtise. Emma est une victime. Les vrais coupables ne sont pas punis : Rodolphe n’éprouve aucun remords et dort du sommeil du juste, Lheureux n’y a jamais vu qu’une « bonne affaire ». Allons plus loin encore, les coupables sont récompensés, honorés : Lheureux a fait fortune et s’est installé à l’enseigne “les favorites du commerce”, son nouveau magasin ; Homais, parangon de bêtise satisfaite, « vient de recevoir la croix d’honneur ». Le roman

disposition de l’esprit qui attribue un caractère comique à un fait venant de se dérouler, ou à des paroles entendues. Cette faculté d’interprétation est une spécificité humaine, ce qui fait écrire à Rabelais, en reprenant la pensée d’Aristote, que « le rire est le propre de l’homme ». Le rire est ainsi une expression universelle chez l’être humain, même si dans la forme les rires sont différents, certains par exemple étant plus sonores que d’autres. Mais son origine est singulière parce qu’il est lié à une