La Chambre Claire Roland Barthes

Journal de Nagasaki et Madame Chrysanthème (1887) ................................................ 24 b) Paul Claudel : Cent phrases pour éventails (1926) ................................................................................. 29 c) Roland Barthes : L’Empire des signes (1970) ......................................................................................... 33 II. AMÉLIE NOTHOMB ET LE MYTHE DU JAPON.................................................................................

dans un monde sans concession, sans choix et sans compromis, et de la reconnaissance du caractère nécessairement illusoire de cet espoir. Lucien Goldmann, 1959 Tout l'effort de Phèdre consiste à remplir sa faute, c'est-à-dire à absoudre Dieu. Roland Barthes, 1960 ... Cette Phèdre composite est autre chose qu'une somme : la conjonction de la culpabilité et de la pureté, qui est aussi Leur double exclusion, est un paradoxe, qui définit un être original. [...] En s'incorporant ses devancières, elle

Transactions.indbDE LA PHOTOLITTÉRATURE Jean-Pierre Montier Les articles que le lecteur trouvera ici exposés à sa sagacité sont le fruit d’un travail qui n’aurait pas tout son sens s’il ne cherchait à innover, et qui ne saurait non plus produire quelque nouveauté sans être lui-même en évolution. C’est pourquoi il faut commencer par situer ces travaux d’une part au regard de la continuité qu’ils assument avec les précédentes recherches, et d’autre part en fonction des innovations qu’ils tentent

Sur Racine Roland BarthesSur Racine Roland Barthes 1 LES GRANDS LIEUX TRAGIQUES 1 La Chambre : antre mythique, lieu invisible et du silence, lieu qui ce sait redoutable et dans lequel se trouve la Puissance, ambiance menaçante, les personnages ne parlent de ce lieu indéfini qu’avec respect et terreur, ils osent à peine y entrer, ils passent devant avec anxiété 2 L’Anti-Chambre : lieu de l’attente, intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur c’est à dire ce qui est caché et ce qui est dévoilé,

trancha une oreille. Quelques mois plus tard, il entra de plein gré à l'asile de Saint-Rémy-de-Provence où il peignit avec acharnement. De cette période date un grand nombre de chefs-d'œuvre, dont les Blés jaunes (1889, National Gallery, Londres), la Chambre de Vincent à Arles (1889, Musée d'Orsay, Paris) et la Nuit étoilée (1889, Museum of Modern Art, New York).En mai 1890, l'artiste quitta le Midi et rejoignit son frère Théo à Paris et quelques temps après, le 27 juillet 1890, il se tira un coup de

de “production théâtrale.” Or nombre de poèmes hébertiens sont axés sur la préparation d’un rituel particulièrement angoissant, mystérieux et secret[7] vers une “descente aux enfers” comme dans “Les Tombeaux des Rois” (52), “Inventaire” (25), “La Chambre fermée” (35), “Vieille im­age” (27) entre autres, poésies oniriques à la limite du cauchemar. Ces cérémonies se déroulent dans des espaces clos, oppressants et inaccessibles dans lesquels se tiennent de singulières cérémonies chargées de sensualité

sembler tout autre s'il est pris en photo, puisqu'à travers cette photographie il est possible de voir ce paysage à travers le regard du photographe qui ne le verra forcément pas du même oeil que nous. C'est d'ailleurs ce que défend Roland Barthes dans La Chambre Claire : le photographe a pris une certaine photo pour certaines raisons qui peuvent sensibiliser le spectateur qui peut découvrir en son oeuvre un "punctum", un détail qui le frappera, et qui donc le fera réfléchir et lui fera découvrir de


mais
un
aristocrate
français
du
dix‐septième
siècle
:
«
poli,
même
 























































 1
Joseph
Seronde
and
Henri
Peyre,
Three
Classic
French
Plays.
(Washington
DC:
Heath
 and
Company,
1935)
:
179.
 2
Roland
Barthes,
Sur
Racine.
(Paris:
Editions
du
Seuil,
1963)
:
72.
 
 
 précieux,
et
tourmenté
par
l’amour.
»3
Plusieurs
choses
textuelles
sont
révélatrices
de
 la
contemporanéité
de
la
pièce.
Par
exemple,
la
longueur
du
monologue.
Les
critiques


lexical de la blancheur. On assiste à une propagation de la blancheur, propre et figurée. Cet avènement du blanc répond à cette nouvelle forme d’écriture « blanche » et « neutre » qu’évoque Roland Barthes dans Le degré zéro de l’écriture. S’exprimant sur l’écriture du silence de Stéphane Mallarmé, Roland Barthes en vient à analyser cette nouvelle forme qui touche l’ère moderne littéraire : Dans ce même effort de dégagement du langage littéraire, voici une autre solution : créer une

CORPUS D’IMAGES Figure 1 Figure 2 Figure 3 Figure 4 Figure 5 Figure 6 Figure 7 NB : Ces photographies étant anonymes et non répertoriés, je suis dans l’incapacité de fournir des légendes pour ce corpus. BIBLIOGRAPHIE : BARTHES Roland, La Chambre claire : Note sur la photographie, Gallimard, 1980, coll Cahier du cinéma. SONTAG Susan, Sur la photographie, Bourgois, 2008, coll Enonciations. JOLY Martine, Introduction à l’analyse de l’image, Armand Collin, 2006. HIRSCH Marianne, Family