La Chambre Des époux

d’âge pour des motifs graves : la grossesse de la femme. La loi ne pose pas d’âge maximum au mariage. 3) La santé des époux. Etre en bonne santé n’est pas une condition du mariage. Jusqu’à la loi du 20 décembre 2007, la loi exigeait un certificat prénuptial : avant la publication de ce qu’on appelle les bans, c’est-à-dire du projet de mariage affiché à la mairie, chacun des époux devait remettre à l’officier d’état civil un certificat médical attestant que l’intéressé avait été examiné en vue du

Commentaire d’arrêt : Droit civil , LES NULLITÉS DU MARIAGE : La décision de justice qui nous est présentée est un arrêt de la Prémière chambre civile (audience publique ) de la cour de cassation, en date du 13 decembre 2005 . Elle aborde le thème de la nullité du mariage . 　 En l’espèce , les époux concernés , se sont maries le 11 decembre 1995 . Le soir de son mariage la conjointe apprend que son mari a commis un adultère . Son mari entretenait une liaison avec une autre femme

à l’autorité parentale qui a supprimé la notion de chef de famille et conféré aux deux époux la direction morale et matérielle de la famille. La loi du 11 juillet 1975 réformera la procédure de divorce en introduisant le divorce-constat à côté du divorce sanction en réinstaurant le divorce par consentement mutuel déjà connu des révolutionnaires. La loi du 23 décembre 1985 instaurera l’égalité entre les époux dans l’administration des biens des enfants mineurs et prévue l’autorité parentale conjointe

vidéocassettes en 1996 (A) et puis - après cet arrêt (B). A Avant 1996 - application de la cause objective La jurisprudence a donné le sens objective au mot <<cause>> jusqu’à 1996. Par exemple dans l’arrêt de 20 novembre 1974, Cour de Cassation, 1re Chambre Civile. une partie voulait acheter une machine à crédit. Après qu’elle a pris le crédit, la machine n’était plus à vendre. La cour a décidé que pour le prêt la cause était remise de l’argent, pas achat de la machine. Alors, la cour a lié la cause

Droit des obligations Commentaire d'arrêt de la chambre mixte de la cour de cassation du 9 juillet 2004. La nullité du contrat est la sanction encourue lorsqu'un défaut affecte la formation du contrat, celle-ci contrairement à la caducité (frappant un acte valable lors de la conclusion du contrat) entraîne un anéantissement rétroactif du contrat. Cet anéantissement rétroactif du contrat commande à une restitution intégrale et réciproque, et renvoie les parties à la situation avant la conclusion

le bénéficiaire ; Attendu que le 26 octobre 1989, Roger Y... est décédé en laissant à sa succession son épouse et M. Christian Y... qu’il avait adopté ; que par testament authentique du 17 mars 1989, il a, d’une part, révoqué toute donation entre époux et exhérédé son épouse, et, d’autre part, gratifié Mme X... d’une somme de 500 000 francs ; que M. Christian Y... a soutenu que la cause de cette disposition était contraire aux bonnes moeurs ; Attendu que pour prononcer la nullité de la libéralité

Commentaire d’arrêt Chambre civile 2, 5 juillet 2001 Il s’agit d’un arrêt de rejet rendu par la deuxième chambre civile de la Cour de cassation en date du 5 juillet 2001. Cet arrêt est relatif à la relation adultérine avec un individu marié. En l’espèce, Mme X, l’épouse, découvre l’infidélité de son mari avec Mme Y et assigne donc cette dernière, ayant eu un enfant avec M. X, en justice dans le but d’obtenir la somme de 300 000 Francs à titre de dommages et intérêts sur le fondement de l’article

demander la nullité de l’acte de vente de leur maison, ou du moins des dommages et intérêts du fait de la construction d’un complexe sportif à côté de leur maison, construction qui leur a été cachée par le promoteur ? Le contrat de vente entre les époux Gauthier et le promoteur est un contrat synallagmatique à titre onéreux. L’article 1108 du Code Civil pose quatre conditions essentielles à la validité d’une convention : le consentement de la partie qui s’oblige, sa capacité de contracter, un objet

cas celui-ci peut être demandé. En effet, la 1ère Chambre civile de la Cour de cassation a rendu un arrêt de principe en date du 11 janvier 2005 venant préciser les modalités d’application d’un divorce pour faute.Une femme a formé une demande de séparation de corps contre son époux en lui reprochant différent griefs, qui avait lui-même auparavant reconventionnellement demandé le divorce pour faute. Cette femme assigne son époux afin d’obtenir afin d’obtenir le divorce intenté contre celui-ci

à l'esprit que de tout temps le but assigné au mariage a été de perpétuer l'espèce humaine. Le mariage présente une double nature, c'est à la fois un contrat et une institution. C'est un contrat car les époux se lient l'un à l'autre par un accord mutuel. C'est aussi une institution car les époux ne sont pas libres de donner à leur union le contenu qu'ils désirent. Chapitre 1. La formation du mariage : Comment et pourquoi se mari t-on ? Section I. Les conditions de formations du mariage Sous-section