La Colere Argumentatif

suppose qu’il s’agit d’un honnête homme). L’élévation s’avère en effet paradoxale : elle est le résultat de la « bassesse » et de la « complaisance » (l. 11) des courtisans. Là encore, l’ironie est palpable.=> Le texte n’est jamais ouvertement argumentatif. La Bruyère utilise la parataxe asyndétique : les phrases ne sont liées entre elles par aucune coordination. L’auteur n’explicite ni la logique de sa progression, ni son jugement : il se contente de décrire, laissant seulement affleurer ici ou

les personnages. C’est lui qui attire les personnages les uns vers les autres, il est facteur de cohésion, mais aussi de division. Il induit les notions de compétition, d’adversité, mais aussi d’émulation. Il est lié au plaisir, mais aussi à la colère, à l’emportement, c’est un incroyable stimulateur d’émotions, tant positives que négatives.http://eduscol.education.fr/eduscol.education.fr/ - Ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports - Juin 2021 4 Retrouvez éduscol sur VOIE

La question de l’homme : diversité et évolution des genres argumentatifs I. Un mythe fondateur de l’Antiquité : Le terme « mythe » vient du grec « muthos » qui signifie récit, fabe. Le mythe est un récit fabuleux, il met en scène des êtres qui incarnent des aspects de la condition humaine sous une forme symbolique. Le mythe d’Œdipe est l’un des plus connus. Au Vème siècle avant J-C, la tragédie de Sophocle contribue à diffuser l’histoire d’Œdipe. Le mythe : Il est le fils de Laïos, lui-même

l’autre : en droit[5], un bon argument doit être recevable universellement, par tout être rationnel. Toutefois, un discours n’est pas toujours argumentatif. Qu’est-ce qui permet de reconnaître un discours argumentatif ? Il apparaît que tout discours peut être envisagé selon deux axes : selon les rapport entre les interlocuteurs (violence, colère, gentillesse, question, promesse) ; selon les rapports qu'il entretient avec la réalité, l’objet de la conversation (de quoi on parle). En examinant

(«que ne vous»), phrases interronégative, question réthoriques,... *registre ironique: liste les prétextes d'un mari volage *important lex.de la pass° -->agit comme elle l'attendrais de Dom Juan 4) Colère d'une femme trompée (2 dernières répliques) mot «ciel» = colère, elle explose *mépris: tutoiement, «insultes» *deux interrupt° Réact° héroïne tragique: impuissante, fait souhait de mahleur, projette sa puissance à venir --> Elvire = perso dominant: touche tragique

étudiée en mars, après une séquence consacrée à la lecture intégrale de Inconnu à cette adresse, de Kressmann-Taylor, et avant une séquence sur la poésie engagée. Cette période de l’année est donc essentiellement concentrée sur l’étude de textes argumentatifs de genres très variés. Objectifs : Lecture : entrer dans le récit, confronter la nouvelle au fait divers dont elle s’inspire, analyser des portraits, repérer les éléments créant une tension et un effet d’attente, les fonctions de la description

être plus pressé que Dieu »), la simplicité du vocabulaire (verbes simples comme voir/visiter/aimer/savoir ...) – un manichéisme outrancier dans un système d'antithèses élémentaires qui frappent les esprits (exemple l.36/38 : « bien »/ « mal » , « colère »/ « pitié », « peste »/ « salut », « meurtrit »/ « élève », « châtient »/ « apaise » l.58/59) c) Une véritable mise en scène théâtralisée (ceci participe aussi à la force de persuasion du sermon) Excellent orateur, le père Paneloux est aussi une

argument – contre argument. 3ème origine : Ethos, Logos, Pathos. 3 pôles d’abord on essaye de persuader quelqu’un, une foule. Puis c’est une personne qu’on va essayer de persuader et puis on le persuade en faisant passer un message. Logos contenu argumentatif. Ethos qui ? Pathos à qui ? Impossible de ne pas communiquer. Impossible de ne pas avoir de message. Est-ce qu’on cherche nos arguments dans ce qu’on est ? Est-ce qu’on cherche nos arguments dans la manière dont on fait naitre nos émotions dans

être plus pressé que Dieu »), la simplicité du vocabulaire (verbes simples comme voir/visiter/aimer/savoir ...) – un manichéisme outrancier dans un système d'antithèses élémentaires qui frappent les esprits (exemple l.36/38 : « bien »/ « mal » , « colère »/ « pitié », « peste »/ « salut », « meurtrit »/ « élève », « châtient »/ « apaise » l.58/59) c) Une véritable mise en scène théâtralisée (ceci participe aussi à la force de persuasion du sermon) Excellent orateur, le père Paneloux est aussi une

louer les sentiments humains. • L’épique : Ce registre chante les valeurs communes à une société. L’action peut se dérouler lors d’une guerre, mettant ainsi en scène un héros (tel qu’Achille, Hercule…) • Le polémique : Met en scène un argumentatif fort, incluant de véritables attaques, mais aussi de l’exagération, et de la simplification. • Le didactique : Il est l’expression d’une certaine volonté d’enseigner. • L’oratoire : Fait pour convaincre ou persuadé, il est utilisé