La Compassion

De plus, les chandeliers sont aussi un symbole de la compassion. À travers le récit, on mentionne les chandeliers à plusieurs reprises pour rappeler à Valjean la promesse qu’il a faite à l’évêque. Enfin, à la fin, lorsque Valjean meurt, les chandeliers de l’évêque sont allumés à son chevet et leur lumière éclaire le visage du vieil homme, signe qu’il a réussi à accomplir sa mission (devenir un homme honnête, aimant et ayant de la compassion). La boîte avec les vêtements de Cosette est un symbole

La mort de la Lison est en effet décrite comme celle d'un monstre mythologique : l.23 « immense », l.24 « la géante », l. 26 « ce colosse », l.28 « énorme ». II – Une mort pathétique Le narrateur suscite chez le lecteur un sentiment de compassion envers la Lison, mais aussi envers son conducteur, auquel il a tendance à s'identifier, la scène étant vue à travers Lantier. 1) Les derniers instants Expressions de la durée l.7 allait en mourir, futur périphrastique (à l’imparfait car

la compassion. Dans cet extrait les auteurs nous poussent à éprouver de la compassion pour Germinie, ils nous décrivent en détails le parcourt que Germinie a du accomplir pour pouvoir rembourser ses dettes. « Elle avait quêtes, mendiés, arraché pièce a pièce, presque sous a sou. » Cette citation nous montre a quelles point il a été difficile pour Germinie de récolter cette argents et a quel point elle est désespérée. Durant la lecture de cette extrait nous somme envahi par la même compassion qu’éprouve

homme était très mal habillé, qu'il ressemblait à un voleur s'étant évadé de prison. Il lui dit que l'homme lui faisait peur. La femme s'exclama avec authenticité : - Tu n'avais pas de compassion pour cet homme ! Tu le trouvais laid et u n'aimais pas ça tête, c'est ça, un oint s'est tout ! - Si, j'avais de la compassion pour cet homme et c'est vrai qu'il n'était pas beau. - Tu as eu peur de cet homme ? Ah ! Tous ce qu'il voulais c'était manger et dormir car il avait faim et qu'il était fatigué, repris

toute réflexion sur la solidarité, sa nature, son sens, ses enjeux, semble porter sur l’humanité. En ce sens, « agir par solidarité » est une manière d’humaniser la vie En effet, la solidarité n’est ni générosité, ni charité, ni fraternité, ni compassion. Elle commence par cette tendance à aller vers l’autre, à lui « porter secours ». Quand on compatit, on n’est pas confronté au même mal que l’autre en face de nous. On compatit quand je on se sent indemne, sain et sauf devant l’autre accablé.

ballade poème à forme fixe dt le titre peut évoquer un ton léger (chanson): or ici il y a une grande solennité (décasyllabes) + appel insistant qui lui donne un caractère de supplique. - une supplique = une prière pathétique qui vise à susciter la compassion auprès des hommes /auprès de Dieu. / apostrophe : « Frères humains » (v.1) recours aux liens de fraternité pour émouvoir le lecteur ainsi qu’à la notion d’humanité afin d’obtenir sa bienveillance et son pardon. / nombreux verbes de demande :

constitué de 7 quatrains qui alternent décasyllabes et pentasyllabes à rimes croisées, présente deux mouvements : les 4 premières strophes scandées par l’anaphore « parce que » disent et expliquent l’opinion du poète. Les 3 dernières appellent à la compassion. Je vais vous lire le poème.J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et

intellectuelle et introspective. Tout d’abord, Emile Zola cherche à toucher le lecteur grâce au pathos, c’est à dire qu’il joue ici sur les sentiments animant le texte afin de le convaincre. C’est ainsi que nous retrouvons premièrement un appel à la compassion pour le cheval qui prend parole à travers ce personnage singulier. Il utilise l’image d’un animal vieux et malade, au seuil de la mort et prononçant ses derniers mots pour créer de l’empathie. Notamment à l’aide d’une phrase d’accroche marquante

regard critique sur la guerre. Chacune montre un exemple des dégâts que la guerre peut causer. Dans «L’Attaque du Moulin », deux des personnages principaux meurent. Ceci illustre les morts inutiles que cause la guerre. Le lecteur éprouve aussi de la compassion pour Françoise, qui a perdu son père et son fiancé. Cela montre l’absurdité de la guerre. De plus, un comique de situation ridiculise la guerre : au début, ce sont les Prussiens qui attaquent le moulin et les Français qui le défendent et à la fin

avec la suprématie du chêne) et Caucase (hautes montagne d’Asie), l’effet recherché et de valoir sa grandeur, donc voici : « […] mon front, au Caucase pareil.» De plus, dès le tout début, le chêne emploi un ton dramatique il montre un sentiment de compassion mais en même temps il ne se cache pas de lui rappeler les avantage qu’il a sur le roseau : «Vous avez bien sujet d’accuser la nature.» Donc enfin bref, l’invincibilité apparente du chêne est présente par sa suprématie envers le petit roseau vulnérable