La Conception Du Devoir Dans Antigône

statut moral des animaux, c’est-à-dire de la responsabilité des Hommes à leur égard. Elle pose les questions suivantes : Sommes-nous responsable visà-vis des animaux ? Quelle est notre responsabilité morale face à eux ? Avons-nous des droits et des devoirs concernant les relations que nous entretenons avec eux ? Ont-ils des droits ? Notre traitement des animaux est-il satisfaisant et moralement acceptable ? Ces questions sont anciennes mais n’ont été que récemment constituées en discipline universitaire

transgressent. Les sanctions sont : - d’ordre corporel (extra-pécunières, en nature. Loi du tallio (bible) « œil pour œil, dent pour dent » retrouvé sous formule moins percutante dans la loi des 12 tables (texte romains) qui remonte a env. 450 av. J-C, conception la plus ancienne et la plus fortement ancrée dans les collectivités d’aujourd’hui. - d’ordre pécuniaire (amende) Si l’idée de sanction est impossible à dater, si l’idée de peine se perd dans la nuit des temps, la fonction assignée par la sanction

affranchissement est correct, l’esclave va suivre la condition de son ancien maître (si le maître est citoyen romain, l’esclave le sera) L’esclave qui est affranchi va garder des liens avec son ancien maître : un patron : l’esclave va devoir le respect à son ancien maître, lui devoir des journées de travail, voter pour lui, s’il meurt sans héritier c’est le patron qui aura sa succession. Le patron lui accorde une protection, aussi juridique Esclave affranchi : libertinus : celui qui a retrouvé sa liberté

affirmées par la constitution. - Alors que dans une définition plus large, les libertés publiques seraient certes affirmées par la constitution mais aussi à d’autres niveaux de la pyramide des normes juridique comme la loi. C’est d’ailleurs une conception traditionnelle des libertés publiques qui renvoi à la loi dans la logique de la IIIe république. Il faut évoquer aussi le rapport entre libertés publiques et Etat ; la question serait la suivante : est-ce qu’il faut un Etat fort ou un Etat faible

lecture de cours, vous avez la motivation personnelle sans être perturbés par le bavardage des autres puisque vous êtes seuls devant votre écran mais leur absence vous renvoie justement à cette solitude; de plus, vous suivez le cours et vous faites les devoirs à votre gré, vous êtes en complète autonomie mais n'a-t-on pas besoin quelquefois d'une stimulation extérieure pour se forcer à apprendre? La question de l'enseignement à distance avec "l'outil magique" que représente internet est ouverte également;

La justice est au cœur du droit. La justice est un mot fédérateur et légitime l'action de la puissance judiciaire... Mais mot galvaudé, comment savoir ce qui est juste? Plusieurs conceptions de la justice présentes dans le discours des juristes. [pic] La justice selon l'école du positivisme juridique : Conception du droit d'après laquelle le droit se ramène à ce qui est posé comme tel par l'autorité légitimement instituée pour se faire. Dans cette école de pensée, la règle légitimement posée

mortels ». Cocteau. Bref, au destin individuel. Le chœur, témoin civique, a moins d’importance. Sept pièces sur cent vingt trois nous sont parvenues. Parmi elles : Antigone : (-440). Encore une histoire de sépulture. Créon outrepasse son pouvoir. Devant, sinon l’absence, du moins le silence des Dieux, Antigone en appelle au droit parental. Elle mourra, mais la cité lui donne raison. Œdipe-roi : (-421 ?). Titre grec : Oedipos-tyrannos. Il se croyait un « tyrannos » (roi élu par acclamations)

Ils peuvent s’exercer à la fois sur des personnes et des objets. Les fondements du droit: Qu’est-ce qui justifie le caractère obligatoire du droit ? C’est un point important pour les juristes, car cela illustre le lien qui existe entre une conception humaine et la définition du droit. En effet, dans tout grand système de pensée, le droit occupe une place importante. A) Les théories du droit naturel ou jusnaturaliste 1) Définition général 2) Evolution de ces doctrines : droit naturel

est correct, l’esclave va suivre la condition de son ancien maître (si le maître est citoyen romain, l’esclave le sera) jonas L’esclave qui est affranchi va garder des liens avec son ancien maître : un patron : l’esclave va devoir le respect à son ancien maître, lui devoir des journées de travail, voter pour lui, s’il meurt sans héritier c’est le patron qui aura sa succession. Le patron lui accorde une protection, aussi en mmatière juridique Esclave affranchi : libertinus : celui qui a retrouvé

pouvoir assorti de la menace de sa révélation. Les secrets n’ont pas tous la même vocation. Certains sont le fondement même de la liberté individuelle : jardin secret, protection de la vie privée ; d’autres sont liés au devoir de réserve tel que celui auquel sont assujettis les professionnels de santé ou de certaines administrations… C’est lorsqu’il devient nocif en court-circuitant la transmission ordinairement établie de façon intergénérationnelle, que le secret